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Anonyme
3/12/2021
a aimé ce texte
Pas ↑
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Bonjour,
En première et globale lecture, j'ai vu un exil doré. L'actualité ne nous sert pas beaucoup d'exemple de cette sorte d'exil. En ceci, ce texte est intéressant, pour la réflexion induite. Mais aussi pour ce qui n'est pas explicitement dit : l'exil ? Un bien ou un mal ? Cependant au niveau de l’expression poétique en elle-même, je n'ai pas eu mon "comptant de sensations". En effet, sur un format si court, il me semble que le texte tourne un peu en rond et reformule trois fois en ces trois phrases une même idée avec les mêmes mots et notions. Plus long peut-être ? Et avec d'autres termes que ce "soi" lancinant ? Bonne continuation, Éclaircie |
Queribus
4/12/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Un texte étonnant qui fait assez bien, en très peu de mots, le tour d'un problème complexe. La démarche est originale et plutôt réussie à mon humble avis. Bravo Il serait intéressant aussi de traiter le texte sous une autre forme classique ou autre et de comparer.. Bien à vous. |
Cyrill
10/12/2021
a aimé ce texte
Un peu ↑
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J’ai bien aimé ce poème à ma première lecture pour sa musicalité.
Un exil bien plus doux, consenti et espéré que celui auquel sont contraints des milliers de gens dont ces vers me parlent en creux, me dis-je. Il me semble toutefois que cet exil intérieur, cet « endroit où flâner » demeure assez superficiel, ne tient pas ses promesses. Un peu comme s’il avait manqué le train et que l’espoir ne se confronte à rien. La légèreté l’emporte avec ‘l’hydravion, et je garde l’impression finale d’être embarqué dans une croisière touristique plus que dans une réflexion sur mon intériorité. |
Robot
10/12/2021
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Aprés lecture de ce poème il me reste une idée certes, mais il me semble que le traitement du thème manque de profondeur. Un peu trop effleurée l'idée aurait mérité d'être un peu plus développé que ces quelques lignes un peu répétitives.
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papipoete
20/12/2021
a aimé ce texte
Bien ↓
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bonjour dom1
L'exil selon que l'on en a l'idée ; idée qui place de concept loin, tout près ou en soi ; le tout analysé en quelques lignes. Sur le fond, je suis d'accord avec l'auteur, quand on peut s'exiler dans la cabane au fond du jardin, ou dans la pièce d'à côté. On peut l'être en soi, se réfugiant au fond de nos entrailles, comme seul au monde ! NB pour finir, l'exil sera sans fin certes oui ! Cela dépend de sa " couleur ", selon qu'on migre en Suisse, sur un îlot tahitien... mais hélas, migrer depuis longtemps signifie " boat-people ", radeau pneumatique surchargé = naufrage ! Un mot que j'espère, nous n'aurons jamais à expérimenter...vu que selon certains, nous vivrions actuellement en " dictature !!! " Je trouve le sujet un peu torturé, et le tout en une prose un brin courte. |
Marite
20/12/2021
a aimé ce texte
Un peu
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Indépendamment de la vision où nous enferme une actualité qui, trop souvent, occulte bien d'autres sujets, l'exil est aussi tout ce qui est décrit dans ce texte que j'aurais plutôt orienté vers la catégorie Réflexions/Dissertations où le récit aurait pu être plus étoffé ... En effet, je n'y ai pas trouvé d'images ou d'expressions poétiques.
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Provencao
21/12/2021
a aimé ce texte
Un peu
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" l'exil était idée " de là, n’est-il pas permis de penser que l’exil érige le lieu bien plus qu’il ne le présume ? Pour être légitime, une telle approche de votre écrit devrait montrer que nulle pensée ne précède le départ qui nous y soustrait ou l’émulation qui nous y porte. Et s’il devait s’avérer que l'endroit s’offre toujours comme le lien élevé d’un exil, c’est à mon sens , là, la réalité même de notre histoire au monde, valeur de soi qui nous constitue.....
Ah plaisir de vous lire Cordialement |