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lucilius
3/2/2017
a aimé ce texte
Pas
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Je dois sans doute être inculte mais je ne vois pas ce qu'une manifestation biologique comme l'autolyse peut avoir de criminel : un légume ou un fruit talé est en autolyse... ; alors je perds complètement pied quand je lis ce passage : "l'autolyse est un crime par celui qui s'exprime en ces mots de sanglots en ces larmes de vers qui explosent en feu jaillissant de travers..." et je ne vois pas où l'auteur veut en venir, ni quel message il cherche à émettre ;
"En ce geste insensé qui contraint mon cerveau à penser à tes yeux..." : de quel geste insensé parle-t'il ? Il y a pour moi trop de nébulosités dans ce texte pour le rendre digeste et compréhensible. |
Marite
16/2/2017
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Un peu de mal à percevoir la densité de la douleur qui peut figer celui ou celle qui reste après un suicide. Car c'est ainsi que je comprends cette autolyse. Peut-être une sorte de fuite en se raccrochant aux mots pour ne pas affronter la souffrance ... le déchirement ... la culpabilité ? Je suis restée à l'extérieur de expression poétique.
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Proseuse
16/2/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour Dom1
Votre poème est fort et intense, le sujet abordé n' est pourtant pas facile, c' est vrai que faire le deuil d' un proche qui s' en va est douloureux, mais quand le suicide en est la cause, à la douleur s' ajoute l' incompréhension et parfois même l' idée d' avoir été " abandonné" qui peut faire germer un sentiment de colère, votre poème dit très bien et de bien belle façon, tout ces sentiments ! j' ai été touchée par vos mots Merci du partage |
Anonyme
16/2/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Ce texte est un peu verbeux et ne me parle pas vraiment. Beaucoup d'approximations et l'exposé des idées est tortueux à souhait mais en revanche vous avez commis un distique qui sauve l'essentiel en ce qu'il nous livre un pur trait de poésie:
tu rejoins la cohorte de ceux qui partent ainsi sans refermer la porte C'est bien dit et il est dommage que ce beau distique barbote au milieu d'un clapotis de mots inaudibles (pour moi s'entend) |
Anonyme
16/2/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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La douleur de celui qui reste est exprimée ici par des images fortes.
Mais j'ai du mal à faire la relation entre " L'autolyse " et ce qui semble être un suicide : " en ce geste insensé ". Et c'est ce qui me gêne dans ce texte. |
Anonyme
17/2/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Poème très touchant qui exprime à la fois l'incompréhension de celui qui reste, et la douleur. Douloureuse incapacité à employer les mots crus. L'autolyse est un "crime" s'il a ici le sens de suicide. En quoi ce poème est-il "nébuleux"? Il est seulement allusif...moi, j'aime.
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dom1
17/2/2017
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Modéré : commentaire de l'auteur sous son propre texte (si besoin, ouvrir un sujet dans "Discussion sur les récits")
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Anonyme
19/2/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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L'évocation de la mort dans son aspect "figé" est excellemment décrite. L'image de l'ambre renforce cet aspect (non pas pour la couleur, plutôt jaune), mais pour son caractère fossile.
L'autolyse a plusieurs significations. Par rapport aux propos évoqués dans la dernière strophe, j'opte évidemment pour l'aspect suicidaire de celui (ou celle) qui reste figé(e) dans une prison de verre à attendre la mort, "enfermé" équivalent à une petite mort, pour être plus précis, mais une mort lente et assurée... Les images sont fortes et d'une grande beauté, ce qui peut paraître contradictoire avec le sujet, mais non, car la poésie est capable d'insuffler sa force même dans la mort, donc bravo ! Wall-E |
Queribus
20/2/2017
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour Dom1,
J'ai trouvé à ce poème un côté fort et intense mais aussi trop abstrait et verbeux avec des mots et des expressions incompréhensibles. Comme d'autres, cependant, j'ai beaucoup apprécié: tu rejoins la cohorte de ceux qui partent ainsi sans refermer la porte. D'une manière globale, j'aurais aimé plus de simplicité avec des mots et des expressions "qui accrochent tout de suite" et vont droit au but au travers de phrases plus simples. |