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EtienneNorvins
9/1/2022
a aimé ce texte
Pas
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Pardon d'être peu réceptif. Je n'y lis qu'une liste de courses, fussent-elles amoureuses, avec des allusions certes humoristiquement 'oniriques', mais qui restent pour moi sans tête ni queue, malgré l'allusion à un sexe fort. Cela culmine dans la dernière strophe, où je bute sur l'ablatif (latin ?)... et ne saisis pas la chute anglaise.
Bref - en souhaitant meilleure chance à ce texte, auprès de lecteurs et lectrices mieux embouché.es ! [en EL] |
Miguel
11/1/2022
a aimé ce texte
Pas
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J'aurais besoin d'une bonne explication de texte. Je n'aurais pas aimé avoir à commenter ce poème en examen. Je cherche en vain un sens à ces alliances de mots. Je crois comprendre qu'on me promène d'âge en âge (de jeunettes en canoniques) et de lieux en lieux (de bureaux en petites îles) mais ça ne va pas plus loin. Solipsisme, tautologie,, paradigme et ablatif, ça me rappelle mes études, mais j'ai l'impression d'avoir bien régressé depuis : je ne vois pas ce que ces mots font là. Une autre fois, j'espère être plus réceptif.
Miguel, en eL |
Robot
13/1/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Ce qui m'a attiré sur ce texte c'est le rythme que les mots entrainent à la lecture et je trouve que c'est un poème qui se prête bien à l'oralité.
Celà dit, il ne brille pas forcément par la clarté du discours mais je pense que l'essentiel est dans l'agencement des mots qui créent le mouvement cadencé de la diction. |
papipoete
21/1/2022
a aimé ce texte
Pas
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bonjour dom1
Une versification sur l'idylle, où je penserais trouver des mots doux, et autres câlineries ; de l'herbe ou un sofa ; des succès ou des échecs... Peut-être que ce texte est plein de tout cela, mais le vocabulaire employé relève du parcours du combattant ! Seul le premier quatrain parle un français ordinaire, mais la suite se complique, ôtant tout plaisir à le savourer ! J'espère vous lire une autre fois, me délectant de chaque vers ! |
Lotier
20/12/2022
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Une substance aussi portée par le substantif vogue bien dans l'air du temps. Le verbe suppose un sujet. Son absence permet de gommer toute responsabilité, de désincarner le jugement, de tuer les personnages (les quelques rares personnes sont plus objets que sujets) et, plutôt que le dualisme, c'est l'individualisme qui ressort. Curieux pour une poésie qui se nomme Idylles…
Tout cela pour une dénonciation ? Celle des amours de circonstance ? L'énumération choisie ne me convainc pas. |