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Anonyme
17/1/2014
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Salut dom
J'ai tout de suite flashé sur le titre. Et je ne suis pas déçu. Certes, nous sommes en poésie, pas en cours de math, mais quand même, je vibre au seul énoncé de termes qui me sont chers : axiome, epsilon, infini, produit, carré.... Accessoirement calembourisés comme dans "addiction" ou dans le dernier vers. Ils servent ici bien sûr la métaphore amoureuse. Concession presque obligatoire en poésie "poétique" Mais tout compte fait j'ai bien aimé ce plaisant intermède CQFD Bravo dom, et merci |
senglar
20/1/2014
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour Dom1,
Surgénial mariage de mathématique et de poésie. Je relève "l'axiome ecchymoses" et "les tables d'addictions", la "somme des ombres" et les "mots qui soustraient" et aussi deux vers entiers : "Même si l'on somme, le carré n'amuse plus" "Le calcul est vite fait lorsqu'on ne s'aime plus" Vous avez suradroitement su jouer de la polysémie des mots au service de la perte des sens : J'EXCEPTIONNALISE ces corps pour lors parallèles bien certain (vérité géométriquement spatiale) qu'ils se recouperont à l'infini de la binarité. Lol Brabant Ah Non mais ! :D |