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Robot
2/10/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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Le thème est intéressant mais il y a des erreurs de construction, surtout si on oralise le texte.
Par exemple: "Tu seras belle à croquer dans cette robe rouge fendue qui mettra tes courbes à nu posée sur des talons élevés" A l'oral, si on ne sait pas que posée est au singulier on a l'impression que ce sont les épaules nues qui sont posées sur des talons élevés. Cette strophe irait mieux ainsi: (Tu seras belle à croquer posée sur des talons élevés dans cette robe rouge fendue qui mettra tes courbes à nu) La poésie est aussi faite pour être dites, surtout quand elle utilise le tutoiement qui est porteur d'une parole. |
papipoete
12/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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contemporain
Quand tu auras déjoué tous les pièges de ton long chemin, traversé des déserts, des sables-mouvant , me voyant sans que je te fasse un signe, tu me reconnaitras ... NB je suis tenté de fredonner la musique de Francis Lalanne, en vous lisant, vos vers s'y prêtant parfaitement . Des mots brodés de dentelle pour peindre cette femme venue de si loin, de nulle part, que la vie et les hommes ont maltraitée ( 3e quatrain ) et qui fera rêver l'auteur ( 4e quatrain ) papipoète |
wancyrs
13/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Quand on a aimé éperdument, qu'on a su pertinemment que l'être aimé était faite pour nous mais qu'en retour on a pas reçu à juste valeur l'affection de celui-ci ou celle-ci, et que par amour on l'a laissé aller vadrouiller un peu partout avec l'espoir qu'il ou elle nous revienne, alors on peut comprendre ce texte. J'ai aimé la simplicité de vos mots, leur franchise, cet absence d'orgueil face à l'être aimé(e) et cette immense compassion, cette compréhension sans borne... cette envie de reconnaître et de reprendre cette personne qui malgré la souffrance qu'elle nous a fait subir, on continue d'en pincer pour.
Votre texte me parle. Merci ! |
Anonyme
18/10/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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La lecture de cette poésie m'a fait penser à << l'Enfant Prodigue >>, et auussi << La femme du boulanger >>
"Elle " aura voulu assouvir sa soif de vivre et de connaître. "Tu seras en morceaux de glaise et de roseaux tant la vie t’aura nourrie du meilleur et du pis " "Et tu me souriras On se reconnaîtra.. " |
Anonyme
18/10/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Vos écrits sont comme un rendez-vous improvisé,
il y a l'émotion, l'inattendu, la découverte. J'aime les maladresses de votre écriture, elles la rendent encore plus attachante. Pour moi, le premier temps fort de ce moment de lecture se trouve dans : " Tu seras en morceaux de glaise et de roseaux tant la vie t’aura nourrie du meilleur et du pis " Des mots qui me sont très parlants, je ne sais pas si "On se reconnaîtra...", mais dans cette strophe, moi je me reconnais, car chaque vie est faite ainsi ... Le deuxième temps fort dans : "Et tu me souriras On se reconnaîtra ..." Vous parlez des choses qui vous touchent avec sincérité et par ricochet cela nous touche à notre tour. |
Anonyme
20/10/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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Je suis assez intrigué par ce poème.
Le fantasme (si l'on en croit l'exergue) serait ici de rencontrer une femme venue de loin, une femme brisée par la vie, une femme paumée. La description de cette femme me laisse penser qu'il pourrait s'agir d'une de ces filles à qui l'on promet la lune et que l'on oblige au final à se prostituer. Mais peu importe. La dernière strophe : Et tu me souriras On se reconnaitra... laisse croire que la vie du narrateur est elle aussi en miettes et que quelque chose est en train de se passer entre ces deux êtres brisés. Comme un Amour naissant qui pourrait peu à peu recoller tous les morceaux ? Je pense ceci étant que ce poème aurait pu avoir plus de force sans la recherche de rimes. En y allant carrément dans le vers libre. |