|
|
Lebarde
8/3/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
|
L’idée de rapprocher des parallèles est originale et chacune des strophes tente de le faire sans vraiment y réussir. C’est du moins ce que j’ai perçu dans cette poésie libre.
Dans le premier quatrain ce sont les rangs de vigne dont le raisin transformé en vin pourrait relier au lit?? J'invente peut être! Dans le deuxième, ce sont les fils, perchoirs à oiseaux qui relient par la fée électricité? Je me trompe? Dans la troisième, l’axiome « par un point on ne peut faire passer qu’une seule parallèle et une seule » qui permet au professeur de transmettre son savoir? Dans la quatrième, les rails du train qui relient les êtres? Dans la cinquième, une conclusion qui semblerait confirmer mes hypothèses. Sur la forme je suis moins enthousiaste. Des vers de sept syllabes, bien mais pourquoi certains en ont Six,huit, et même neuf voire dix: ça gâche un peu! Des rimes de temps en temps et rarement suffisantes, je n’aime pas trop non plus même si rien ne l’interdit. Des hiatus a éviter. Conclusion appréciation mitigée même si la lecture est globalement plaisante. En EL Lebarde |
Anje
21/3/2020
a aimé ce texte
Bien
|
Une série de quatre charades en quatre petits vers chacune. Je n'ai peut-être pas fait le bon rapprochement à chaque fois et la poésie est restée en parallèle sans rejoindre vraiment mon monde du rêve. Amusant est l'adjectif qui m'est venu pour qualifier ce court poème. Et j'attends d'en connaître les clés, les solutions. A bientôt donc.
|
papipoete
21/3/2020
a aimé ce texte
Bien ↑
|
bonjour dom1
l'oeil du poète s'attarde sur ces 2 lignes, telles la vigne, les rails qui s'entendent si bien, et pourtant jamais ne se rejoindront... pour ne plus faire qu'une ! NB le sujet est brillamment traité, et illustré, et l'ambiance est heureuse, ouf monsieur Covid ! hors de ma vue ! En d'autres temps, vous pûtes faire aboutir ces 2 fers sinistres, qui se rejoignaient à... Auchwitz, mais non une autre fois ! la première strophe est ma préférée |
Vincente
21/3/2020
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
Un poème de rapprochements impensables, avec des parallèles unifiant des entités, identités et autres formulations. Mais ce parcours insolite a un gros inconvénient, il se permet des enchaînements qui tirent plutôt dans tous les sens. Ainsi d'une strophe à l'autre, l'on prend part à des propositions plus que paradoxales, la narration se soucie d'abord des jeux de mots qui, à défaut de l'argumenter, la font rebondir ; c'est aussi une façon d'avancer...
Il faut malgré tout reconnaître que c'est assez amusant, un brin loufoque, débridé et l'on arrive tout de même à découvrir des justifications dans l'exercice ; enfin à peu prés "pour peu" que l'on s'accommode des capillo-tractions (v2/v3 – v6 – v16). L'auteur semble s'être lancé, plutôt égaré à mon sens, dans un "rapprochement" improbable entre poésie et conjectures, deux entités progressant en parallèle, rapprochées par des jeux de mots et de concepts, comme les traverses des "rails" de chemin de fer les associent tout en les maintenant à distance. Si le projet était bien celui-ci, alors c'est réussi, sans me réjouir pour autant, sinon, je m'interroge sur ces "traits en harmonie / Qui s'en vont vers l'infini" et autres formulations… |