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Lebarde
2/10/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Commençons par ce qui ne va pas trop: la poésie présentée en classique ne satisfait pas aux règles qu'Oniris exige pour la catégorie:
- les rimes sereine/fontaines, cristal/étale, nuages/image, mer/amère cyclone/atones, grêle/ailes, geyser /désert ... - le non respect de l'alternance des rimes féminines/masculines, - les nombreux e non élidés (vétue/ de, magie/du ....maquillée de rosée ou ) qui rendent certains vers surnuméraires et la prononciation du vers 21 particulièrement hachée et artificielle, - la ponctuation aléatoire. Dommage sinon l'introduction des octosyllabes en fin de strophes est bien vue et l'ensemble ne manque pas de poésie. La version illustrée et récitée qui gomme ou atténue les erreurs prosodiques signalées avant, est en revanche très plaisante et relève bien l'affaire même si je trouve le rythme de la diction un peu trop lent à mon gout. J'ai beaucoup aimé l'écriture fluide, les images délicates, la douceur du propos. Bravo pour ce poème contemporain qui me plait bien. Merci pour ce joli texte sur un sujet original ne manquant pas d'intérêt. En EL Lebarde |
Anonyme
4/10/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Que de bien belles évocations sur un thème pourtant archi-rebattu, celui des éléments... peut-être s'agit t'il du premier texte d'un quadriptyque à venir ? Côté forme, hélas, ce texte n'est pas 'classique' : vous faites rimer pluriel et singulier (fontaines/sereine, nuages/image, grêle/ailes, cyclone/atones), quand vous ne faites pas rimer rimes masculines et féminines (cristal/étale, mers/amère). Et ces hiatus, "tu es" (vers 11) et "tu ouvres" (vers 19), quel dommage ! En Espace Lecture. |
inconnu1
9/10/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour,
Déjà sur la technique, il y a trop d'erreurs pour que ce poème puisse être proposé en classique, des e muets aux césures, des e muets non élidés qui créent un déséquilibre dans le nombre de pieds des vers. Vous faites rimer des rimes masculines et féminines... Nous sommes ici dans un bon poème contemporain, mais très loin du classique. Ensuite sur le thème, vous déclinez les différents aspects de l'eau. Il y a des mots rares et des expressions poétiques. Bien à vous |
papipoete
15/10/2022
a aimé ce texte
Passionnément
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Bonjour DominiqueD
Bienvenue tout-d'abord ! Je crois vous avoir vu en L.A. mais avec votre identité sous votre texte ; me trompé-je ? Votre texte parait, j'en suis heureux car il évoque ce qui est plus précieux que l'or, l'eau source de vie ( que Assagui traita d'autre part ) Et sous toute forme, cette onde sous votre plume, se montre évanescente, de cristal mais aussi folle de rage quand le ciel gonfle ses rivières, ou souffle ses déluges ! NB une cascade de lignes enchanteresses pour peindre cette richesse, qui peut filer entre les doigts, se salir de nos relents, et peut-être quand le monde ne sera plus, n'être que cette interrogation " y-eut-il de l'eau sur la Planète Bleue ? " la première strophe et la quatrième me plaisent particulièrement ! le 7e vers " perd les pédales ", alors que dodécasyllabes et octosyllabes s'accordaient si bien. Je ne sais sous quelle forme fut proposé ce texte, mais prosodie et autres fautes sont défaillantes. Mais ce n'est que véniel, et le texte n'en pâtit aucunement ! La vidéo de support est elle aussi, fort agréable ! |
Corto
15/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Voici un texte qui bénéficie mille fois de sa mise en video. Celle-ci est magnifique.
A lire seulement le texte on se rend compte que l'on perd beaucoup car les images proposées sont presque trop riches pour être assimilées directement. Ainsi: "Tu es l’âme qui veille à cette fange amère Où vie et mort sont face à face" ne m'inspire guère en lecture simple. Au total je félicite l'auteur d'avoir si bien traité ce sujet dont chacun sent qu'on traite ici d'un élément essentiel à la vie. |
Cyrill
15/10/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour DominiqueD,
Autant le dire tout de suite, je n’ai pas été emballé par la version oralisée et surtout les images un peu mièvres l’accompagnant. Pour ce qui est de l’écrit, je le sens couler comme l’eau dont il est question. Surtout à partir du troisième quatrain, où je sens que cette eau magique, précieuse, véritable don et décrite avec un certain pathos montre dans son reflet le pouvoir sur elle de l’homme, et en retour son pouvoir sur lui. Voilà ce que je lis dans vos vers, avec cet impression, en tant qu’humain, d’être partie prenante de cet élément. Une ode à l’eau réussie, que j’aurais peut-être aimée un peu plus franchement passionnée et vindicative, alors que nous la gaspillons. |
Lotier
16/10/2022
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J'ajouterai sur la forme l'interdiction de faire la liaison entre un verbe du premier groupe à la deuxième personne du singulier avec le mot qui suit.
Ce qui fait que le quatrième vers a 7 pieds… Solution possible : « Y glisses vive entre nos doigts » Attention aussi au « e » à l'hémistiche (vers 5, 6, 14, 21, 22, 24) Solutions possibles : (5) « Translucide ton corps » (6) « Au lit des fleuves comme au milieu des nuages » (14) « Tu fouettes les contrées aux fleuves moribonds » (21) « Écume, cataracte, oasis, pluie ou grêle » (22) « Opalescente neige, nues, vapeur, geyser » (24) « De vives eaux dans ce désert » Une autre solution serait de balancer tes alexandrins en 4-4-4 (par exemple le vers 1 s'y prête naturellement) mais ici, ce serait une complète réécriture. J'insiste sur ces points car ils fluidifient le poème et vu le thème… cela me semble important. |
wancyrs
16/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Salut DominiqueD,
Bel hommage à l'eau ; bel hommage à ce qui est un élément essentiel à la vie sur terre. Les images dans la vidéo sont bien choisies, et la voix + le tempo du narrateur apporte de la magie à l'ensemble : Merci pour le partage ! Wan |
Kemo
17/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Le texte est réussi, la vidéo également. La musique est sublime. Je trouve en revanche la voix, l’interprétation, trop propre, trop lue, trop documentaire. C’est dommage car cela entrave un peu l’émotion, pourtant forte dans les mots écrits, les images et la musique. Ce n’est que mon avis, et j’ai quand même beaucoup aimé votre création dans sa globalité.
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Yannblev
17/10/2022
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Bonjour DominiqueD,
Six quatrains d’eau, c’est un joli volume. Mais pas la mer à boire puisqu’ici vous parvenez, grâce à des évocations sensibles et révélatrices à rappeler l’importance vitale de l’élément. La forme parfois semblant saccadée rompt habilement le courant d’un texte qui par trop glisserait comme une rivière dans son lit et limiterait son objectif : l’eau sous toute ses formes. Je n’ai pas vu et ne verrai pas votre mise en images, je préfère en principe garder d’abord celles que m’inspirent la lecture. Ici elles me suffisent. Merci pour cette immersion. |
Miguel
17/10/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une ode très touchante à cet élément, à un moment où il se raréfie et où son manque risque de nous coûter cher(c'est notre faute aussi). De belles images, et cette personnification nous la rend plus proche encore.
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