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Anonyme
17/9/2008
a aimé ce texte
Bien
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Au début j'ai eu peur d'un texte un peu "gnan-gnan" sur l'amour.
Puis continuant la lecture, j'ai apprécié les idées développées, même si regarder en arrière n'est pas un sujet qui m'attire. Certaines images sont un peu "simples" (le sablier pour le temps par exemple), mais finalement le tout est fluide. Par contre je trouve étrange que ce soit classé en moderne plutôt qu'en vers libres. |
David
18/9/2008
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour Domino,
Je regrette un peu des ruptures de rythme, à la dernière strophe notamment. Je veux dire que pour presque tout le poème, je n'ai pas eu à me demander si je devais avoir une lecture poétique, au sens de "classique", ou prosaique ; sauf à la fin. Il manque peu de travail pour que les deux lectures se confondent, tous les vers ont six syllabes sauf : "Une pensée qui se rend" "La frange de la destinée" "Un souffle qui passe" Et à la dernière strophe "Les yeux peuvent se fermer" "La ronde doit continuer" Pardon de corriger mais il n'y a que six vers sur vingt quatre, c'est rageant. Sinon le poème est plutôt sombre mais cette image : "Un passé qui s’entasse Et s’appelle carrière" Elle m'a bien plu, l'idée de lourdeur est présente mais contrebalancé par le lieu "carrière" d'où s'extrait des matériaux de construction. |
Anonyme
20/9/2008
a aimé ce texte
Bien
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Oui, le fond est très bon, tu t'expliques bien et poétiquement.
Après, pour la forme, c'est pas mal aussi, mais il m'a semblé que le rythme était perfectible… En tous cas c'est un bon texte, qui sait sortir des clichés et de la banalité. |
Anonyme
10/11/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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"Le temps", le poète cherche toujours à lui donner dans ces écrits, une immortalité, une définition qui aussi pourrait le rendre plus flexible, il tente de l'apprivoiser, belle tentative mais peine perdue, le temps n'en fait qu'à sa tête.
Ce poème a des imperfections dans sa forme, mais le fond est convaincant, ce qui atténue un peu ces effets. J'ai aimé cette strophe : " La frange de la destinée S’effiloche en premier Et le grain par poignée Remplit le sablier. " Superbement dit, image très intense. Puis cette autre : " Le vide se remplit D’un infernal espace ; La journée se tiédit Et se voile la face. " Vous avez su donner de l'originalité à ce sujet si souvent traité par la simplicité de votre phrasé. |