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Miguel
11/2/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Un hymne à la nature, au retour vers elle, si prégnant qu'on a l'impression, en le lisant, de percevoir les senteurs de la forêt. On s'y voit, on y est. L'asyndète du vers 12 est un peu maladroite, le champignon est un peu incongru, mais le dernier vers, avec son énumération d'éléments, est rafraîchissant.
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Anonyme
12/2/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
Bon texte forestier où l'on devine l'auteur vraiment attiré par tout ce qui est bois. Je regrette l'inversion : Dix coulent les couleurs car elle ne s'impose même pas pour la prosodie. On sent l'homme qui devient arbre au contact des troncs séculaires. C'est joliment raconté et je ne comprends pas le néo mais ça n'ôte rien à la qualité de ce poème. |
inconnu1
1/3/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Très beau poème bucolique. Techniquement, c'est parfait je n'ai pas constaté de faute prosodique qui aurait empêché le classement en classique.
Sur le style, il est élégant sans être surfait. quelques belles trouvailles comme le costume de bois, une ambiance feutrée qui convient bien au thème. Quant à ce dernier, le retour à la nature, la symbiose entre l'homme et la forêt : le thème est sympathique et bien construit. Merci et bien à vous |
inconnu1
1/3/2021
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papipoete
1/3/2021
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Donaldo
L'auteur évoque le bois, le bois sur l'arbre pas encore abattu, et lui fait dire ce qu'il éprouve tant que, ni le bûcheron, ni les éléments n'ont eu le dessus sur son auguste stature. NB l'arbre ici parle, ressent des sentiments, que son maître de plume traite en un vocabulaire, dont je ne saisis pas tout le sel. Une fois de plus, Donaldo nous prouve l'étendue de son talent de scribe, conteur, de haut-vol ! |
Robot
1/3/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Salut Don,
Ce beau texte écolo m'a fait penser au film "Avatar" dans lequel les indigènes ont un lien physiologique avec la forêt et leur environnement. L'osmose avec cette nature est présentée avec beaucoup de sensibilité poétique. On rentre progressivement dans ce monde ou le narrateur va se fondre, fusion bien explicité par ce vers que je retiens entre tous: "Plus de bras, plus de pieds, je mute, j'hallucine, Je deviens la forêt, d'écorce et de racine." |
Capry
1/3/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
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Magnifique !
Délicat à commenter, tout est là. De belles images pour s'ancrer dans ce présent que l'on semble fuir en permanence. Devenir arbre pourquoi pas, accepter son état et offrir le meilleur de son hêtre à cette terre mère. Beau poème. Merci |
hersen
1/3/2021
a aimé ce texte
Bien
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Voici un enracinement qui a de la force.
J'ai des petites critiques, je peux ? :))) merci. En fait, je suis sans doute partiale et tentée d'apprécier l'image de ce beau champignon. Mais reprenons-nous, ne nous laissons pas avoir. Je trouve le rythme imprimé par toutes ces virgules un peu trop lancinant. Ce qui enlève de la force à cette terre qui cherche à attirer. deux fois "tente", c'est trop, l'hésitation doit être du côté du narrateur plutôt que de la terre. "Et son sein me nourrit", une autre image ferait disparaître la personnification (que tu veux sans doute) mais j'aimerais voir la terre autrement qu'une mère. Par contre, parce qu'on ne peut pas non plus passer son temps à dire ce qu'on aime moins, ce qui est très subjectif, le "rire feuillu", c'est excellent, vraiment. C'est un peu de cette dinguerie dans les mots que j'aurais aimé trouver tout du long. Bon, sinon le sujet est de ceux qui me vont bien. C'est vrai qu'on en passe du temps à fuir l'essentiel, dans une vie. Merci pour la lecture. |
Myo
1/3/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Une communion intime avec la nature que je ressens jusqu'au bout de mes racines.
Une atmosphère un peu magique pour un retour aux sources de la vie. Le 3e et le dernier quatrain sont magnifiques. "Dix coulent les couleurs, et puis cent et puis mille" est moins réussi, surtout que l'auteur parle déjà de cent couleurs au 1er vers. Un écrit dans lequel je me suis plongée comme dans un bain de verdure... et ça fait du bien. Merci ! |
Anonyme
2/3/2021
a aimé ce texte
Un peu
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-Arbres aux cent couleurs- dur à l'oreille et cent est répris plus loin. Facilement remplaçable
-Donnant à la forêt l'essence de ses bois- (Eviterait -forêt un-) Essence : Nature propre à une chose, ce qui la constitue fondamentalement D'autres petits détails, gênants pour la lecture. Quatrième quatrain à reformuler -Son nouveau- mieux que -dernier- Le thème ne semble pas justifier l'envolée du début. Joli dernier quatrain. En résumé, je ne fus pas emballé par cette lecture. |
Provencao
2/3/2021
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Plus de mots, plus de bruit, seule souffle la brise,"
J'ai beaucoup aimé cette rythmique capitale pour cette attraction : faire du coeur de cette délicieuse hymne à la nature, une vibration presque musicale, écrire ce que cet hymne peut arborer de couleurs, de parfums afin d'incarner l'expression de l'éveil vibratoire où prend place le géant forestier d'un langage se dotant de la sainte mère pour devenir le sublime reflet du lieu. Au plaisir de vous lire Cordialement |