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Robot
12/3/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Un beau texte ou la poésie rejoint la réflexion. Il ne nous raconte pas une histoire mais un vécu. Des images parlantes qui philosophent sur la destinée, qui interrogent aussi le passé pour tenter de déceler l'avenir.
Ce texte m'a passionné au point de le lire une deuxième et une troisième fois. Robot en espace lecture. |
papipoete
25/3/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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bonjour Donaldo
Je la revois Marnie, loin de son Amérique de tours, gratte-ciel où les maîtres de l'or, offrent une arme à un enfant, pour Noël ou autre anniversaire ! Découvrant Paris et son passé, sa Grande Dame à la fière flèche, et moi tel " un de ses curés " qu'elle prenait par la main, à la découverte d'un autre monde, ses ruelles, ses quartiers pittoresques. Puis un jour, sa main lâcha ma main... NB je ne suis pas certain ( une fois encore ) mais je crois que la Belle Américaine dort désormais au-dessus des States, de la France, et d'ailleurs... au-dessus de là où l'on vit. Le héros si triste, regardant son Paris, croit voir s'effondrer les Tours Jumelles, comme Notre Dame, dans lesquelles le béton a la même couleur, la même poussière...comme ce futur que des enfants purent égayer mais... Je pense que Marnie se serait faite à Paris, même pourquoi pas à Lutèce... Notre auteur a plusieurs plumes à son arc, et nous le démontre encore ici avec ce texte mélancolique. |
Jemabi
25/3/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Un long et riche poème, très bien construit, récit poétique ou courte nouvelle qui aurait pu trouver sa place dans la rubrique "Réflexions/Dissertations". Le souvenir de Marnie l'américaine est amené à partir du paysage urbain parisien, toute l'histoire qu'il recèle et qui en fait sa valeur, puis l'opposition avec l'Amérique dont le passé est encore récent et qui ne peut donc avoir qu'une mémoire restreinte. Tout cela est vu à travers le prisme d'une histoire d'amour entre deux amants qui n'habitent pas sur le même continent, que tout éloigne mais rapproche aussi, comme se rapproche insensiblement le paysage urbain américain dans un Paris dont le mode de vie est désormais très américanisé.
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Geigei
25/3/2023
trouve l'écriture
très perfectible
et
n'aime pas
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Le fantôme de Marnie, une américaine jouant l'écervelée, hante un français, érudit autoproclamé et démonstratif.
Ce poème, si ce texte en est un, ne m'a procuré aucune émotion, aucune surprise. Les sens y sont absents et les sentiments aussi. Sauf si l'admiration pour un fat qui se considère comme le seul "voyant" de la Ville Lumière est un sentiment. Les autres étant "aveugles". J'ai appris que la loi sur la vente d'armes est permissive aux États-Unis. "Avec moi, elle ne vivait pas dans une publicité géante où des gentils enfants blonds vivaient de chips et de soda sous un ciel merveilleux et un soleil généreux." Pourquoi l'a-t-elle quitté ? L'ennui ? L'impression de vivre avec Stéphane Bern et Lorànt Deutsch en même temps ? |
Edgard
25/3/2023
trouve l'écriture
convenable
et
n'aime pas
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Je n'arrive pas à entrer dans ce texte, que je trouve plein de clichés et de sentences à la louche.
" Les lumières, les fenêtres éclairées et les phares des voitures brillent en autant de touches d’une vie intense et variée." Je trouve cela un peu banal. "Dès le coucher du soleil, la crasse, la vulgarité et l’insolence laissent place au romantisme et à l’éternité de cet immense musée habité par des millions d’aveugles." Je trouve le jugement quelque peu péremptoire et hâtif. Le portrait et les pensées de le jeune femme américaine me semblent bien caricaturaux: "des millions de bouches grandes ouvertes vénéraient le dieu Réussite, la déesse Richesse et leur cour parée d’artifices." Enfin il me semble voir des contradictions des les propos: « Tu es un de leurs curés », "Marnie adorait m’écouter raconter cette histoire" "Avec moi, elle ne vivait pas dans une publicité géante où des gentils enfants blonds vivaient de chips et de soda sous un ciel merveilleux et un soleil généreux." Je n'arrive pas à savoir si cette jeune femme découvre avec plaisir Paris ou si elle met en avant la vie américaine...les deux étant caricaturées, à mon sens. Que de clichés... Pardon, mais je ne trouve pas grand chose de poétique, attachant ou même instructif. |