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Anonyme
14/9/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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"De gravir à ton âme et de m’y arrimer" ça c'est super!
Pas académique mais tres bon évoquant montagne et océan en un deux verbes... Bravo Belle déclaration pour le reste plus académique et conscensuelle Mais tendre et doux |
Anonyme
14/9/2008
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Si avec ça il ne vient, cherche ailleurs: c'est un cœur de pierre.
Tes mots coulent bien et sont agréables à l'oreille. on sent qu'il y a du travail et de la recherche. Pour mon gout personnel, j'aurais aimé que tu pousses plus les images dans leurs retranchements. Je trouve que cela donne de l'espace qui permet au lecteur de s'immiscer, de la cohérence et d'éviter l'emploi trop fréquent des mots de liaison (qui, tel, comme...) qui alourdissent. A ce titre les deux strophes centrales sont plus poétiques; dans les deux autres je sens trop le propos initial prendre le dessus; |
Anonyme
14/9/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Quel bonheur, si la poésie n'était qu'à avoir quelque chose à dire et le mettre en mots rimés !
Mais voilà. C'est un peu plus que ça. Ici, bien des images sont puisées, certes dans un fonds poétique commun.. j'ai rien contre. Encore faut-il trouver le petit plus qui ajoute de la beauté. Banalité ? "Mon cœur s’est englué dans une immense peine" "J’ai l’envie de te plaire autant que de t’aimer" "De gravir à ton âme et de m’y arrimer" "Viens étouffer en moi la puissance du feu" oui certes.. un peu trop facile mais aussi.. Non. Rien ne l'est vraiment. Ce sont les mots pour dire la banalité qui le sont. Et puis.. "dépose en mon âme" quoi donc ? Quelques réussites sonores aussi. bravo pour la musique! "Je réclame ta Voix aux murmures du Vent Je guette ta Venue aux Portes du Printemps" Voilà. Ce fut tout de même un plaisir et merci d'offrir à lire |
Absolue
16/9/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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C'est doux, simple, agréable à lire. Merci pour ce petit moment de tendresse...
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Anonyme
14/11/2016
a aimé ce texte
Pas ↑
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Je vous ai lu et relu, et par instant certaine tournure de phrase manque fluidité, déjà dès la première strophe, "qui vient de ces rumeurs que l'aquilon amène", (qui, que, pas très joli à l'oreille), ensuite dans les deux phrases suivantes, la lecture n'est pas aisée.
"De gravir à ton âme et de m'y arrimer", là encore cela paraît "lourd". Que de "au" - aux murmures du vent - aux portes du printemps - au charme de la fleur - au pistil Que de "ton, te, ta, t', toi, tes" C'est un poème que devrait être retravaillé, il y a aussi ce manque de ponctuation qui là encore essouffle la lecture, je trouve ce texte disgracieux dans son ensemble, ce qui a bridé mon ressenti. |