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Proseuse
14/5/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour,
Un poème ... palpable ! j' aime beaucoup ! la première strophe donne tout de suite le ton et les yeux et les mains n' ont plus qu' à cheminer dans vos mots ! seul le titre avec "3D" me gêne un peu , par définition la sculpture est en trois dimensions et l' expression 3D donne ici une impression de technicité moderne plutôt que le façonnage de l' artiste .. mais c' est peut-être un peu chipoter ! Merci pour le partage |
Alcirion
25/5/2017
a aimé ce texte
Bien
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Sur le fond, je n'ai pas compris grand-chose mais ça ne me dérange pas vraiment ici, et en général également.
Pour moi c'est une tentative surréaliste réussie dans la forme et la construction. Les vers sont courts et on sent un certain travail pour l'assemblage, les coupes. Le rythme est tout à fait cohérent. Le point faible, c'est que les idées et les images ne me parlent pas beaucoup parce que le propos de l'auteur m'échappe. C'est sans doute de ce côté-là qu'il faudra concentrer vos efforts (j'en parle en connaissance de cause) pour livrer des clefs. L'obscurité réussie passe par -là. A vous relire. |
Anonyme
25/5/2017
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Je n'ai pas aimé le titre : "3D" ! Je n'ai pas non plus aimé le poème car le style ne me parle vraiment pas. Je n'ai pas du tout saisi le sens du texte, ni où l'auteur(re) a voulu nous emmener, mais pour ma part je n'ai pu voyager nulle part. Trop de vers épars, de mots "hachés", du coup les images manquent de substance.
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Robot
26/5/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un texte qui évoque Camille Claudel de manière singulière. Peut-être difficile à saisir si on ne connaît pas le parcours de cette grande artiste sculptrice. Quelle différence sa délicatesse avec les sculptures massives de Rodin son amant et la légèreté de ses oeuvres.
Mais je trouve très belle cette évocation notamment ce beau passage: "Il est beau ce pied que tu façonnes et la main que tu déchires est une étoile On devine assez l'essaim que tu visites et les coups tordus de la roche" Il dit tout à fait ce que j'ai ressenti en voyant les travaux de Camille Claudel au musée Rodin. "3D", c'est le titre, mais je crois qu'il y a une quatrième Dimension perceptible dans l'oeuvre de Camille Claudel: Le sentiment. |
Pouet
26/5/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bjr,
J'aime bien le style. On commence avec une expression de vieille femme qui ne peut plus se baisser "Que la terre est basse ". On change le "Amen" par un abîme... On se demande ce que le rap vient faire là-dedans, on trouve un joli "cou" d'éclat, on sculpte avec la folie des mots... Il reste une sensation, de l'émotion aussi. On passe sûrement à côté de trucs mais ce qu'on retient est ma foi intéressant. |
Absolue
26/5/2017
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En effet, cela se lit en 3D. Beaucoup d'aspérités dans ce poème, que je trouve peu fluide. Je suis particulièrement sensible à la musicalité, à l'atmosphère et l'émotion qui se dégagent d'une poésie...ce que j'ai du mal à retrouver ici. Trop moderne pour moi.
Ce passage-ci me parle plus: "Il est beau ce pied que tu façonnes et la main que tu déchires est une étoile On devine assez l'essaim que tu visites et les coups tordus de la roche" |
Anonyme
31/5/2017
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Bonjour Dynamot,
je n’ai pas compris les termes suivants dans le contexte des vers où ils figurent : « rap », « tome »… À part cela j’ai beaucoup apprécié l’écriture de ce poème, de ce que j'ai aimé je devrais citer tout le reste…donc je vais essayer de parler de ce que me dit ce poème. La difficulté du travail de l’artiste, la lutte entre celui-ci et la matière qu’il arrache à la terre en somme, de l’aven, de la vallée des impatients, des gorges, il extrait et façonne peut-être d’autres gorges, à vouloir baiser, à force de baisers, comme si la motivation de ce travail difficile, physique, violent même et qui fait violence au corps de l’artiste aussi, comme si cette motivation était l’amour…de l’amour comme unique force, unique énergie à opposer à la matière et à la mort pour en extraire ou pour l’animer, l’élever à la vie. « Dans la ride un avenir de saint »…magnifique image qui condense en quelques mots toute la compassion pour le visage, le visage marqué par le temps, le visage aimant, aimé, le visage comme porte vers l'âme. « ton ventre atteint les battements de corps » superbe quand vous parlez de sculpture... puis l’artiste déchirant une main stellaire…celle de l’artiste ou celle qu’il façonne…très belle image aussi. Je cesse de décortiquer - mais il y a matière...beaucoup...- pour conclure : tout dans ce poème est un mouvement qui nous mène de la terre au ciel et de l’intérieur vers l’extérieur, à la fois un voyage et une rencontre, et une symbiose… une réunion et une union. Un chant d’amour magistral et toute proportion gardée un chant général ! Et un grand hommage à l’artiste. Bravo, si je puis dire, mais en réalité je reste contemplatif de votre talent et de ce que vous avez mis de force calme dans ce très beau poème, et je n’applaudis pas, je me recueillerais plutôt si j’avais le temps, mais là je dois aller faire une course à la gendarmerie… J’espère pouvoir vous relire bientôt (et désolé pour mon départ précipité...) EDIT : je me rends compte (et c'est drôle) que quand je vous commente y'a toujours une question de timing, un truc à faire qui m'éloigne un peu trop vite, du coup je devrais étoffer mon commentaire, car je n’ai pas développé assez posément et j'ai peur d'être un peu confus. Si oui vous me direz. |
Anonyme
31/5/2017
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Je n'ai vraiment pas apprécié ce texte. Il me semble que des mots sont captés et posés là, comme pour occuper le vide.
Cela doit venir de moi, puisque nombreux sont ceux qui ont aimé, jusqu'à la passion. Pourtant j'ai lu plusieurs fois, cherchant un sens, une progression, un thème ... ....Que la terre est basse et vivre un lapidaire effort On dirait que l'argile aimerait se taire ........??????????????????? |