Vraiment rien compris et pas du tout touchée par ces mots au compte-goutte qui n'évoquent pour moi aucune image.

Pourriez-vous expliquer "distinct blanc, brousse marée". Déjà dès le début du poème , je suis larguée.
Ensuite, pourquoi cette disposition des mots? Cela doit avoir du sens pour vous qui avez fait ce choix de présentation?

Je suis un peu perplexe face à ce texte, surtout face au premier quatrain. J'ai le sentiment qu'un sens est proche dans les deux suivants, et qu'il suffirait de peu pour qu'il affleure de manière claire, même confuse ou suggérée, mais cela m'échappe.

J'aime le rythme cependant.

Vos prochains textes seront peut-être moins "étanches". Je l'espère car on sent bien que vous avez des choses intéressantes à dire et les dire est essentiel.

Merci.

hmm, il y a une certaine saveur dans ces vers, j'apprécie l'ensemble, quelques retours à la ligne paraissent malheureux, comme bruit, ou fleuires, ou les me, en tout cas ça coule assez bien, sympa.

Bonjour Edgar. Je suis désolée, mais je n'ai pas compris ce poème...

La première strophe fait-elle référence au bilan des morts du séisme qui a eu lieu en Chine l'année dernière ? Bon ce qui m'a interpellé ici c'est : "des treize mille morts ensevelis" (Il suffit juste de taper ceci sur google et je suis tombé sur un article)

Le "il" de la deuxième strophe correspondrait au séisme. Je n'en suis pas certain en fait, car il y a des zones d'ombres dans ce poème : "astre mauve" par ex.
Ce poème est trop direct.

Bon je suis peut-être parti dans la mauvaise direction, mais dans l'ensemble, ce poème a de toute façon quelque chose qui me plait bien, m'interpelle.
Ne serait-ce que la forme et une ou deux images.

Je vais attendre d'autres textes de toi pour pouvoir te cerner. Là je cherche les clés.

Extrèmement hermétique, de fait le sens nous échappe. Tant pis, il y avait la volonté d'une mise en forme et en page particulière. Mais la compréhension m'échappe de : "distinct blanc/ Brousse marée" "Il bourgeonne/ Tel qu'un bras/ Avivant ses racines/ Fleuries"... On dirait des mots jetés, des jolis certes, mais assemblés, il ne me disent rien.

Sorry :)

Edgar, ce que vous évoquez me plaît bien.
Que de mille corps ensevelis sugisse une planche, planche de bois vert. Que cette conscience s'appuie sur les éclats de chacun et ne les étouffe pas.
Enfin, j'ai peut-être tout compris de travers ! mais je note en fonction de ma compréhension (même si j'ai dû réfléchir !).

Saisir la musique, le sel des mots posés. Je suis.

j'avoue que je n'ai pas compris grand chose non plus et que je n'ai pas été "embarqué" par la musicalité ou les images. En outre, la disposition donne l'illusion que chaque mot écrit a une importance solennelle, mais qui pour moi sonne creux, faute de clés pour en saisir le bienfondé, désolé.
Un petit mot introductif d'explication aurait peut-être été le bienvenu pour amorcer la compréhension et aider le lecteur à entrer dans le texte.

Alors là. Je commente. Je ne comprends pas ton intention et la cohérence et le lien des mots entre eux.

Hermétique, trop hermétique, je n'ai aucune clé et aucun indice qui me permettrais d'avoir un semblant de piste et ceci malgré ta phrase de présentation.

Je ne comprends rien ! L'auteur pourra peut être m'expliquer.

Aprés plusieurs lectures, c'est encore trop vague ! bonne continuation !

C'est bien d'avoir une présentation originale qui cherche a soutenir le texte, encore faut-il que celui-ci soit abordable à la compréhension, c'est vraiment très très hermétique.

J'avoue sincèrement n'avoir rien compris au sens que vous cherchez à donner à ces mots posés. Je suis plus que dans le flou, j'ai pourtant fait plusieurs lectures de votre poème, rien n'y fait, pas le moindre éclaircissement me vient.

C'est le deuxième écrit que je lis, j'avoue humblement avoir du mal à saisir le sens de vos écrits, il me paraît très obscur.
De plus je trouve que le titre me semble éloigné du contenu, ce qui est encore plus déroutant.