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Anonyme
11/10/2013
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Pensant (à tort) avoir identifié l'auteur de ce poème, je ne l'ai pas commenté en Espace Lecture, mais me suis promis de le faire si publication.
Parce qu'il m'a beaucoup plu ! J'ai adoré ce ton allègre, virevoltant, léger pour parler du tragique. J'ai trouvé en plus des expressions charmantes et insolites : "jolis bras d’opale" "des hanches Aux rondeurs de voyelles" "ce charme d’avalanche"... C'est très charmant, cette ambiance bucolique pour parler de la mort qu'on rejoint en fin de compte parce qu'elle a l'air bien gentille, et puis que ça va bien, quoi, marre de ne rien pêcher jamais ! Le rythme sautillant s'accorde à merveille avec le propos et les liasons mal-t'à propos. Adorable et glacé comme un bassin clair de torrent sous le soleil... du très beau boulot, pour moi. Un léger bémol pour la longueur : il me semble que vous pourriez raccourcir légèrement l'ensemble pour qu'il soit encore plus alerte ; tel quel, le mouvement me paraît un poil ressassant. |
Pimpette
11/10/2013
a aimé ce texte
Passionnément
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NON!
IL est beau ce dernier vers! Quand on est vraiment en poésie, en gaieté, en amour....on a souvent envie de mourir...c'est le bon moment... Tout le reste est très réussi et je jubile! La poésie de notre époque est là, toute légère, fragile, LIBRE! "Ce p'tit nuage qu'elle met toujours en moi! Pimp' heureuse Je ne cite rien du tout...inutile... |
Anonyme
11/10/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Edgard.
Une description inhabituelle de la Camarde, et de loin ! Ici, jolie femme envoûtante " légère qui danse et qui tourne ". On aurait presque envie de la suivre et tant pis si c'est un aller simple... De belles images tout au long (il l'est peut être un peu) de ce texte. " Petits seins lisses Comme des lunes blanches ". C'est celle que je préfère hihi. |
placebo
11/10/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Votre texte m'a donné envie de me remettre à l'apprentissage du vocabulaire, c'est un travail de toute une vie :) Je ne connaissais ni jaspiner, ni vair, bayadère. Rien que pour ça, merci.
J'aime beaucoup l'expression dans l'ensemble, le terme de libre me semble coller parfaitement à cette poésie. Il y a des accents paysans, d'autres aristocrates, avec derrière une sorte de candeur. Thème récurrent mais très bien renouvelé. Bonne continuation, placebo |
senglar
11/10/2013
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Edgard,
Se faire la belle, '''entre le ciel et l'eau''', le contrejour et le miroir qui laisse deviner une sirène. Ne pas se jeter à l'eau, les sirènes sont des menteuses, celle-ci vous repêchera pour vous abandonner sur la rive. Les pêcheurs ne sont jamais pris au sérieux, ce sont des amoureux du dimanche. Entortillé comme du fil à pêche mais le tintouin emporte un sourire complice :) Senglar-Brabant |
pieralun
12/10/2013
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Un p'tit mélange de Brassens (j'avais l'plus bel amandier du quartier.......un joli p'tit ecureuil en jupon....), un soupçon de Renaud, un p'tit air de Trenet.
Je suis très admiratif: comment arrivez avec vos petites abréviations, vos p'tits mots lâchés comme cela presque au hasard de la ligne, à faire quelque chose d'aussi frais, d'aussi joli, d'aussi coloré? Je suis très admiratif: comment arrivez vous à rendre la Mort si légère, finalement attrayante, en la dévoilant avec juste ce petit vers de chute, un petit vers de génie. Je suis très admiratif, car non content de nous servir un texte truffé de poésie, vous aidez Pimpette à faire courir un vent de fraîcheur sur notre site Bravo Monsieur! Et chapeau bas. |
Anonyme
7/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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La souffrance nous permet de prendre conscience que nous sommes en vie. La joie que nous allons mourir. (S’y mouille qui s’y penche).
Vous le dites ici à votre manière et, finalement, cela m'a beaucoup plu que vous me permettiez d'en reprendre conscience. J'ai préféré y lire l'amour d'une femme contrairement à d'autres... Je n'aime pas trop cette manière -un peu titi parisien- de zozoter, d'imposer les liaisons et d'élider (j'pêche...) mais il y a une telle sincérité que vous exprimez ici quelque chose d'humainement universel. Pour les hommes amoureux d'une femme ou de la mort ? Cela ne revient-il pas au même si c'est vraiment absolu... ? Merci. |
Francis
7/3/2015
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Mais qui se cache sous ces appâts ,un oiseau lyre, une sirène, une jeune fille au bain, la faucheuse déguisée en oiseau de paradis ?
Faut-il s'attacher au mât ou succomber ? Assis au bord de l'eau, le vieux pêcheur a beaucoup aimé l'endroit pour "mourir". |