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David
19/1/2015
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Il y a un joli rythme mais qui s'épuise sur la fin à mon goût, c'est pas très homogène et surtout pas croissant, tout est dit dès le début, le préambule par exemple ( Nous autres poètes, disait Frédéric Dard... ) raconte l'histoire comme les mauvaises préfaces. Le thème emprisonne le poème sur une actualité qui sera sans doute remplacée par d'autres prochainement, j'ai pensé aux poèmes que j'ai pu lire après le Tsunami en Asie du sud-est par exemple, je préfère des écrits plus intemporels. |
Francis
26/1/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un matin comme tous les autres avec son mouvement pendulaire et la fourmilière qui s"éveille. Un matin pas comme les autres quand l'autoradio brise la bulle et que le pare brise semble voilé. La pluie ou les larmes ?
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Pimpette
14/2/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Superbe!
Exactement la poésie que j'aime! Tres simple et très fort! De l'émotion à chaque vers A foison... "C’est l’moment d’filer dans les îles ! entre deux changements de files, j’ai entendu qu’ils ont tiré pour dégommer la liberté… On rage…" Discret comme il faut. Parfois on aime un poete pour son teste...ici c'est l'auteur que j'aime derrière le poème. Je note très haut. |
Anonyme
14/2/2015
a aimé ce texte
Passionnément
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Un bel hommage à un évènement des plus tragiques.
Je trouve ce poème d'une grande intelligence, tant par les images décrites que par la scène en elle-même. "On roule/On ring/On rêve/On rage/On rush/On reste/On vit". Chaque strophe est un bijou ("elle a sniffé ses blancs moutons" ; "la nuit dégueule dans les gouttières" ; "La Montparnasse part en sucette" ; "pour dégommer la liberté" ; "le sang gicle sur les glaïeuls" ; "sur le périph entre deux rives" ; "Mais peut-on rouler sans amour ?" A cette question je répondrai : "oui, malheureusement !" Un grand moment de lecture... |
papipoete
14/2/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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bonjour Edgard; Un poème tout en saccades comme le dirait un extra-terrestre venant d'un pays où le mot "guerre" n'existe pas?
On avance sur le périph' à la va comme j'te pousse, coincé dans la voiture, à supporter les décibels de la sono de la voiture d'à côté, à sniffer l'échappement de celle de devant. Parfois on rêve en voyant s'illuminer cette tour désertée de son personnel, que des besogneuses de la nuit font reluire sous leur chiffon. A hauteur d'Aubervilliers, un flash hurle dans le poste! des barbares ont envahi Pari!s! Kalash' contre crayons, ils ont tué des faiseurs de rires, des rois de la caricature! leurs plumes là-bas trempent dans le sang! La voiture d'avant redémarre, on gagne quelques mètres, et l'esprit gamberge; on veut bannir l'humour comme sous ce drapeau noir? Ce genre de versification collerait bien à la musique rap, et bien qu'elle ne soit pas mon genre préféré, je la chanterais avec Vous! L'avant-dernière strophe est ma préférée |
leni
14/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Edgard
Un flash sur le periph superbement construit on roule on ring...on rage...belle idée et mon quatrain préféré ierrots, ne lâchez pas vos plumes ! la douleur s’est faite trop vive sur le périph entre deux rives aux grains garderons-nous la lume* ?… On reste… grand bravo salut à vous Leni |
Anonyme
15/2/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour
J'aurais mieux vu ce texte dans la rubrique chansons ou slams. Mais j'aime bien chaque petit tableau de la vie parisienne qui me remémore un peu la chanson de Dutronc. Avec son verbe qui change à chaque fois en fin de strophe comme une réflexion de l'esprit, cet écrit n'est pas sans charme. |
Michel64
16/2/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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D'accord avec Hananke, j'ai lu sans faire attention au genre et j'ai cru être dans une chanson. J'aurais très bien vu ça avec un break musical roulant bien au bout de chaque strophe, bien rock et servant de refrain. Peut être quelqu'un d'inspiré vous demandera la permission d'en faire une chanson. Je l'espère car le texte en serait magnifié.
"Mais peut-on rouler sans amour ? meunier, ton moulin se déglingue, les abrutis deviennent dingues, il faudrait garder son humour…" |
Robot
22/2/2015
a aimé ce texte
Beaucoup
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Oui, un texte dont le style se prête bien à une diction et une rythmique en slam. Beaucoup d'expressivité, de force, et des propos imagés qui soutiennent l'ensemble.
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