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Anonyme
8/5/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'adore, c'est tout simple. Vous m'emportez et je me laisse aller.
Il y a plein de trésors ou de pépites dans votre poème. "Voyageur, voyageur, là-bas Où est la rive, où est l’amour Mêlant le sens et ses atours ; Où est le fleuve où est le lit, " "Promeneur, pirate ? l’écho S’attarde le long des rues blanches, L’air joue là-bas, Dans ces pastels de paradis, " Et les magnolias aux rondeurs de hanche... Je ne cite que celles-là, sinon je recopierai 90 % de votre texte. Admiratif et reconnaisant. "L’air est dansant ; qu’est-ce, une vie ?" Oui avec cette vision des choses lorsqu'elles s'écrivent comme vous le faites. |
Lulu
14/5/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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"Quelques mots pour seulement voyager", et l'on voyage, en effet, le temps d'une lecture, que l'on connaisse ou non les lieux évoqués. J'ai bien aimé ce poème qui présente un joli rythme. On pourrait en faire une chanson, ai-je pensé.
Bravo pour ces quelques mots. |
Anonyme
31/5/2014
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Bonjour Edgard
Dés les premières lignes on est embarqué comme dans "Syracuse", la superbe chanson d'Henri Salvador Il y a tant à voir, tant à vivre Plutôt que disserter, je préfère cueillir quelques vers "Les magnolias Ont de tièdes rondeurs de hanches On voudrait bien vivre deux vies…" "Dépêchons-nous ! Le cœur se noue, on a la fièvre, Il faudrait bien deux ou trois vies." "Déjà, l’âme nue, on se quitte, Pour un mot creux on serait quitte ; Cette éternité de passage, C’est bien plus qu’un amour d’un sou !" Merci Edgard pour ce beau voyage dans l'Histoire des arts et dans les fantasmes. Et bravo |
Arielle
31/5/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai beaucoup aimé ce voyage qui tangue entre fascination et mélancolie. Des destinations qui font rêver mais une seule vie pour les atteindre. Le temps cet ennemi impitoyable semble narguer le voyageur :
"Dépêchons-nous ! Le cœur se noue, on a la fièvre, Il faudrait bien deux ou trois vies" Les anaphores appuient juste ce qu'il faut sur la nostalgie dans laquelle baignent ces octosyllabes dansants brisés ça et là avec bonheur. Je me demande, devant l'image des "magnolias pensifs et lourds", si tout le voyage ne tient pas dans l'esprit du narrateur immobile qui se contente de rêver sa vie, voguant sur la magie des mots. "Pour l'enfant, amoureux de cartes et d'estampes, L'univers est égal à son vaste appétit. Ah! que le monde est grand à la clarté des lampes!" |
Anonyme
31/5/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Edgar,
"L’air est dansant ; qu’est-ce, une vie ?" Certainement un très beau voyage. Celui auquel vous nous invitez avec des images superbes aux parfums exotiques à souhait, souvenirs sucrés, indolentes résurgences "Mêlant le sens et ses atours" Une croisière dans "l'éternité de passage" où il fait bon se laisser glisser. Merci infiniment pour cette goulée d'air riche et belle. Cat en partance pour une deuxième vie |
Myndie
31/5/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Edgard,
Votre poème vibrant de belles harmonies internes, nous emmène avec bonheur loin de l'ordinaire et des réalités et surtout, tente de nous affranchir des contraintes du temps, auxquelles les allusions ne manquent pas ""il faudrait suspendre l'instant" "dépêchons-nous" "il faudrait bien deux ou trois vies" et ma préférée " l'éternité de passage". Je ressens un sentiment d'urgence, appuyé par les nombreuses exclamations qui émaillent le texte. Les destinations esquissées semblent appartenir au rêve tellement elles sont lointaines, exotiques, mais vous avez l'habileté de jouer des ressources vocales pour en exprimer toute la richesse. Jeu vocal encore par l'abondance des consonnes : v qui suggère le mouvement, bl, l, qui amènent une certaine nonchalance, cette lascivité évoquée à la 3ème strophe. Et c'est ainsi tout le long. J'aime beaucoup votre poème, à la fois plein de douceur et d'intensité. |
Anonyme
31/5/2014
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Je vous avoue ne pas avoir du tout voyagé avec votre poème. C'est le rythme qui est beaucoup trop rapide pour moi. Vous nous emmenez au Nord, au sud, à l'est, à l'ouest dans un tourbillon de mots et de lieux que nous n'avons pas le temps de découvrir. Ce n'est pas la conception du voyage et de la vie que j'ai. Je me trouve essoufflée et finalement, je n'ai rien vu ou plutôt rien retenu de tout ça. |
newman
31/5/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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bonjour,
mon commentaire est identique à celui de tizef. je me suis senti embarqué dans ce périple et dans ces mots employés propres au voyage,et dans chacun de ces paragraphes nous croyons naviguer d'un pays à un autre. ce que je reproche un peu ,c'est la rapidité employée, nous aurions savourer un peu plus intensément ce magnifique voyage. merci. |
Robot
31/5/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai ressenti ce poème comme un voyage rêvé, c'est l'idée d'un voyage et je la trouve bien présentée. Comme si le voyageur s'exprimait sur des images et laissait vagabonder à la fois son imagination et ses désirs.
Voilà comme j'ai vécu ce texte. Oui il faudrait bien deux ou trois vie pour "voir" en profondeur tout cela. |
Anonyme
2/6/2014
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour,
Pour ma part j'ai lu ce texte avec plaisir, me laissant aller par le rythme saisissant et certains vers qui m'ont marqués particulièrement. Je n'ai aucune critique à donner, et merci pour ce poème. |