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Corto
3/7/2022
a aimé ce texte
Un peu
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Etant bon connaisseur de Paris j'ai lu volontiers ce poème.
Que l'auteur me pardonne mais je n'y ai pas trouvé Paris... Sur la forme il y a comme une volonté de traiter une image-cible à chaque vers, ce qui aurait pu être une bonne idée si les évocations étaient plus spécifiques à Paris. Je reste perplexe. |
inconnu1
3/7/2022
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour,
Je vois ici plus une chanson (énième) sur Paris qu'une réelle poésie contemporaine. C'est frais, mais cela manque parfois d'originalité : même quand vient la crise on aime paris ; et si le ciel est gris, on aime paris... Ce qui me gêne aussi, c'est qu'alors que vous essayez de conserver un rythme en hexasyllabes, parfois surviennent des pentasyllabes alors même que vous n'étiez pas obligé : Mêm' quand vient la crise ; Que le ciel est gris... Bien à vous |
Lebarde
3/7/2022
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bien sûr Paris, c’est tout cela et bien des choses encore et c’est pour cela, son esprit cosmopolite, ses rires ses pleurs, sa liberté assumée, qu’on aime Paris.
Mais alors , beaucoup trop d’imperfections dans l’écriture dans la forme, dans la syntaxe, dans l’expression et même dans l’orthographe pour aimer vraiment ce poème dans l’état. Je suis désolé. En EL Lebarde |
Donaldo75
5/7/2022
a aimé ce texte
Bien
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J’ai trouvé de la musicalité dans ce poème ; certes, je ne suis pas persuadé que Paris se détache dans ces vers car les références et les sémaphores culturels sont assez vagues – hormis l’évocation du boulevard Voltaire et de Pigalle – surtout quand on pense à la chanson de Jacques Brel « les prénoms de Paris » où l’auditeur voyageait dans Paris la capitale de l’amour. Ceci étant dit, nous sommes des amateurs ici ; alors, j’ai imaginé ce texte en chanson et ça a fonctionné. Et puis, j'aime le message derrière la chanson, celui véhiculé par les deux derniers quatrains ; il fait du bien en ces temps de sinistrose où beaucoup nous annoncent la fin du monde, de la civilisation européenne, de la Terre, de Dieu même, du coup Paris reste là, éternelle, un phare dans ce ciel bien sombre. En plus, au moins on n'a pas les Vélib'.
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Anonyme
13/7/2022
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonjour,
Une ode à la plus belle ville de l’Univers, Qui est par ailleurs la mienne, Edouard Je me suis dit : Chouette, mémère ! Tu vas pouvoir grimper sur l’armoire J’avoue séant, avoir vite déchanté On eut pu appliquer vos vers À n’importe qu’elle autre cité Mais point à la Ville Lumière Oncques ne lui rendez hommage Et je me vois bien en larmes De raturer votre terne image Anna qui aime Paname |
Annick
13/7/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai lu le poème une première fois et j'ai trouvé qu'il ferait une chanson légère qui pourrait correspondre à n'importe quelle ville, si ce n'est la précision "De Voltaire à Pigalle".
Et puis, je me suis penchée sur l'exergue, date à laquelle a été écrit ce poème : fin novembre 2015. C'est ainsi que j'ai pu relier toutes ces évocations qui paraissent au premier abord anodines, aux attentats, (attaques simultanées) du 13 novembre 2015. Mais ce thème reste en arrière plan puisque le propos était avant tout une marque d'affection, d'attachement, pour ce Paris pluriel : "quand on aime...on aime Paris". Un poème agréable à lire, au sujet plus grave qu'il n'y paraît. Du moins, voilà comment je l'ai compris. Merci. |
papipoete
13/7/2022
a aimé ce texte
Un peu ↑
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bonjour Edouard
Quand on aime profiter des plaisirs de la vie, on aime Paris ! Quand en nous règne la tolérance, admet les différences, on aime Paris ! NB je trouve cette ritournelle bien réductrice ; tout ce que vous énumérez qui ferait aimer Paris, existe au nord et sur les autres points cardinaux de notre France ! Je pourrais citer une ville qui connut beaucoup d'émigrés, se métissa et alla de l'avant grâce à ces citoyens-là ( je n'en nomme point, pour ne pas léser une autre cité ou région ) Un texte idéaliste pour évoquer Paris, mais des stagiaires, des visiteurs arrivèrent à détester Paris, pour diverses raisons. techniquement, vos lignes parfois usent du " tu écris comme tu parles " mais j'aime quand-même des passages " quand on accepte l'autre..." mais l'ensemble me parait trop simpliste |
senglar
13/7/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Edouard,
"Fluctuat nec mergitur", ils en ont d'la chance les titis. Pourtant moi je dis "Parigots tête de veau !". J'aime le rire, j'aime la liberté, un peu moins le riz (à cause de la baguette peut-être), j'accepte l'autre (pas forcément le parvis, trop de courants d'air), je suis compatissant et optimiste. Pas nécessaire d'habiter Paris pour ça. Et pourtant, diantrement sympathique votre poème. Allez ! Je me range derrière la bannière. Suis pas tête de chien pourtant ! |
Anonyme
13/7/2022
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C'est un peu court pour un sujet si vaste !
J'y suis resté six mois et en garde un souvenir de grandeur, de grandiose, de hauteur, de longues perspectives, d'avalanches de concerts, le prestige du Louvres... et tous les films français l'ont été à Paris. Moi aussi j'aime Paris mais pas comme vous. |
Anonyme
14/7/2022
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Modéré : Commentaire ne collant pas au texte lui-même.
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StephTask
15/7/2022
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Je ne vois rien dans ce poème qui est spécifique à Paris (finalement citer Voltaire et Pigalle permet de se raccrocher aux branches). On y voit des clichés très franchouillards comme la baguette, les bals etc…
Si j’ai bien compris les strophes sont composées de 3 hexasyllabes et conclues par un pentasyllabe et la diérèse sur le ci/el sauve les 6 pieds. En revanche le Mêm’ me semble tiré par les cheveux. Je pensais être ébloui par la ville lumière et sa Tour Eiffel, aspergé de rimes sorties d’une fontaine Wallace au pied de Montmartre ou recouverts de tickets de métro parlant dun amour cadenassé sur un pont. Une autre fois peut-être… |