|
|
Brume
7/11/2018
a aimé ce texte
Passionnément
|
Bonjour
Le genre de poème que j'adore. Et qui me laisse sans mots (sans voix). À la fois fort et sensible. À la fois délicat et débordant. L'émotion vole de vers en vers, et dans sa paume exhale " d'enivrant battement " . Je n'ai rien à ajouter. |
Anonyme
20/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Sublime!
J'ai trouvé là un composite d'échos de grands poètes que j'aime lire. Je ne vais pas les citer, ni détailler en quoi votre écriture me rapproche d'eux. Simplement, bravos! |
izabouille
21/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Déjà le titre est très beau, il donne envie de lire la suite.
J'aime bien la mélancolie qui se dégage de cette poésie et les images qu'elle donne à voir. Je l'ai relue par plaisir. J'ai particulièrement bien aimé la seconde strophe "au train où va le temps". Merci pour le partage |
INGOA
21/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Cette solitude intérieure qui ronge et détruit sous l'amoncellement des silences ou pire, des mots qui se noient sans écho dans le silence, a trouvé l'équilibre de sa partition dans cet effeuillement poétique.
Je trouve juste incongru l'emploi du point d'interrogation qui est la seule ponctuation du texte. |
Gouelan
23/10/2018
a aimé ce texte
Passionnément
|
Bonjour,
Les mots s'envolent comme des feuilles, la vie aussi. J'ai aimé la magie de vos mots. Ils nous emportent dans un tourbillon d'émotion. Il s'en dégage une force, une tristesse pour dire la vie qui nous emporte, l’éphémère. Merci pour cette lecture. |
Provencao
24/10/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
|
"Que retiendrai-je
De l’éphémère sublime, De l’enivrant battement ? Lorsque, cape blanche sur les épaules, L’hiver viendra me mordre De toute sa froideur" J'ai bien aimé ce passage où le temps est bien ainsi la condition du réel lui-même, c’est-à-dire de tous les événements car, sans lui, rien ne peut ni être ni devenir L’être-temps, la durée-éternité, en sa vérité comme présent de tout ce qui est et devient, ne peut être alors que le mouvement réel du réel "De l’énigme des oublis Du bruit des choses Des inexorables débordements" Au plaisir de vous lire Cordialement |
Anonyme
7/11/2018
a aimé ce texte
Passionnément
|
Il n'y pas que la forme qui compte en poésie, en voilà la preuve... une magie entre les vers et de l'alchimie entre les mots.
" l'intime invisible se déleste Du poids de tout De l'énigme des oublis Du bruit des choses Des inexorables débordements." j'ai beaucoup apprécié cette strophe. |
Marite
7/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Voilà, à mon sens, ce qu'est une vraie poésie libre ... Pas de mots mystérieux, pas de rupture de rythme, pas de rime mais un fil conducteur que le lecteur peut saisir dès la première strophe.Ce qui me plaît tout particulièrement ce sont ces vers :
" Au train où va le temps J’emprunte les contre-allées En écoutant le silence qui déferle ..." Mais l'ensemble est tout simplement harmonieux et le reflet d'une belle pensée. Seul petit détail qui, comme un minuscule grain de sable, m' a arrêtée à la lecture du premier vers que j'ai préféré lire ainsi : Après que les heures "soient" tombées, mais ma façon de lire est peut-être incorrecte. |
leni
7/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
|
eki C'est fort joliment écrit je relève abord deux perles
Au train où va le temps J’emprunte les contre-allées En écoutant le silence qui déferle Le vent mauvais me pousse plus loin AU train où va le temps SUPERBE l'intime se déleste du bruit des choses et la finale très réussie Et que je ne serai plus qu’une ombre portée Sur le rebord de la nuit Bravo Merci pour ce partage sALUT CORDIAL LENI |
papipoete
7/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
|
bonjour Eki
le temps va, tout s'en va, et les heures pleines se vident à fond de train . Et je m'en vais là où le vent mauvais me pousse, alors que le silence résonne à mes oreilles ... NB belle écriture, fort poétiquement posée " sur le rebord de la nuit ", et je jalouse l'auteur de si bien parler ... de l'éphémère ! 3 vers me ravissent particulièrement ; " lorsque cape blanche sur les épaules/ l'hiver viendra me mordre/ de toute sa froideur " |
Anonyme
7/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Un texte touten lenteur et retenue. J'ai apprécié la lecture des ces silences, ces non dits...Fluidité et rythme, calme et mélancolie.
Je n'ai me pas le "cape blanche " pour l'hiver, trop convenu et banal. Mais le reste est très bon. |
Anonyme
7/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Une belle écriture sans grandiloquence, des images choisies, confèrent à ce texte beaucoup d'élégance et de vérité.
La poésie comme je l'aime. " Au train où va le temps J’emprunte les contre-allées " bien en corrélation avec le titre. " Lorsque, cape blanche sur les épaules L’hiver viendra me mordre de toute sa froideur " Pour ne citer que celles-ci. J'ai beaucoup apprécié. |
Francis
7/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Une mélancolie qui berce le cœur du lecteur ! l'automne et sa lumière qui décline et ses lisières effeuillées et ses silences que les soupirs du vent transpercent... Peu à peu la vie se fige, s'embrume , même les souvenirs. Une belle plume. Merci pour ce partage.
|
fried
7/11/2018
a aimé ce texte
Passionnément ↑
|
J'aime cette belle introspection sur le theme de l'hiver qui approche.
J'aime ces quelques mots qui racontent comment un poète appréhende le vieillissement et l'approche de la nuit. |
Absolue
7/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Il y a du Bashung dans ce texte... Je ne saurai expliquer pourquoi... Une atmosphère particulière... C'est à la fin du poème que j'ai compris de quoi on parlait. Le temps qui passe, la vieillesse et finalement la mort froide et mordante. Alors je l'ai relu et je trouve ces vers fort beaux, le thème bien exprimé, tout en délicatesse et légèreté malgré la gravité du sujet.
"Que retiendrai-je De l’éphémère sublime De l’enivrant battement ? Lorsque, cape blanche sur les épaules L’hiver viendra me mordre De toute sa froideur Et que je ne serai plus qu’une ombre portée Sur le rebord de la nuit" Ce passage est mon préféré. "Éparpillant l’élan essentiel" me plaît moins, je le trouve moins mélodieux à l'oreille. Merci pour ce moment un peu triste. |
hersen
7/11/2018
a aimé ce texte
Passionnément
|
Eki,
Ton poème est très beau. Il y a comme une évidence à la lecture, mise en valeur par une forme libre très maîtrisée, il n'y a rien que je trouve à redire. "...tombées/" sans leurre sous les étoiles..." ce "sans leurre" est magnifique de projection qu'il implique au niveau du son, plus doux que "sans heurt" mais plus plein. Enfin, je ne vais pas détailler, il n'y en a aucun besoin. Bravo et merci ! |
Vincent
7/11/2018
a aimé ce texte
Passionnément
|
bonjour,
j’aurais écrit les heures soient tombées sinon je ne rajouterais rien au concert de louanges j'aime beaucoup votre texte comme nous tous |
Vincente
7/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Très émouvante évocation, fluide et à la fois dérangeante, mais sans mettre mal à l'aise, juste avec un bienveillant piquant surréaliste de cette inexorable réalité qui nous touche tous. En somme très élégant.
PS : au début, un soient tombées me semblerait plus approprié. |
Donaldo75
9/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Bonjour Eki,
Ce soir, je lis des poèmes publiés ces derniers temps ; certains ont déjà été commentés de ma plume en Espace Lecture et j’ai de nouveau commenté ici, comme si je les découvrais encore. C’est anecdotique, certes. Revenons-en à ta poésie. Il n’y a pas de débat de mon côté ; c'est un beau poème, avec des images fortes. Un seul point, mineur : la fluidité n'est pas toujours au rendez-vous. C’est mon impression de lecture. Est-ce le découpage ? Je ne sais pas. Tout ce que je peux dire, c’est que cette perception s’estompe à la seconde lecture, comme si le cerveau humain ajustait la première. Bravo ! Donaldo |
HTFelize
9/11/2018
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Romantique à souhait dans une écriture contemporaine, on se laisse bercer par cet envoûtant leurre des heures du soir.
On effeuille les souvenirs à la tombée de la nuit, on emprunte des contre-courants de vents stellaires vers des ailleurs enivrants. |
JcJaZz
12/11/2018
|
J'arrive tard et déjà beaucoup de commentaires
C'est un poème qui entre totalement en résonance avec la poésie que j'aime et qui me saisit J'aime à la fois cette profondeur et cette simplicité J'aime cette force des mots et la douceur, langueur qui se dégage des vers et du poème Merci |
LEPOETEPOETE
12/11/2018
a aimé ce texte
Passionnément
|
J'aime bien la nostalgie sentimentale qui se dégage de cette poésie libre et qu'il faudrait faire lire au monde entier ou publier dans des revues internationales
|
Eki
14/11/2018
|
|
4168
3/12/2018
a aimé ce texte
Bien
|
Bonjour. Il est rare que j'apprécie les vers libres à cause de leur caractère souvent déconstruit à mes yeux. Ici une seule lecture a suffit à ce que je me laisse porter sur les images et le rythme. Le versificateur classique que je suis vous applaudit. Les rencontres de mots y sont imprévues et convoyeuses d'un sens poétique comme dans "Au train où va le temps / J'emprunte les contre-allées" grâce à une ellipse heureuse du temps vu comme un boulevard par exemple ou une avenue. J'aime bien aussi l'hiver "cape blanche sur l'épaule". Cela change du "manteau blanc" qui ferait au contraire cliché. Bien vu.
|
Anonyme
31/1/2019
a aimé ce texte
Passionnément
|
Bonjour Eki,
Je viens à peine de m’en remettre. J’étais peinard à écouter Ça, sans rien demander à personne, quand vos mots sont venus s’y glisser : « Toujours demeure ce qui se dénoue Dedans où tout va Là où tout blesse » Je me suis laissé emporter. « Saisons effeuillées Longs soupirs Des jours qui se dérobent » J’ai sombré. « Que retiendrai-je De l’éphémère sublime De l’enivrant battement ? » « Du poids de tout De l’énigme des oublis Du bruit des choses » Avec rage j’ai déchiré le Lac de Lamartine. Jamais plus je ne m’y noierai. Je reviendrai ici emprunter vos contre-allées du temps qui passe. FrenchKiss A ramasser à la petite cuiller |
Anonyme
14/1/2020
a aimé ce texte
Passionnément ↑
|
Un chef d'oeuvre... abandonné là, en ligne pour le plaisir des lecteurs.
Tout y est juste, beau, mélancolique, évanescent. Le "je" se fond dans l'environnement dans un parcours sensoriel et presque philosophique. Et si ce n'est pas "L'hiver (qui) viendra me mordre", c'est moi qui suis mordue Eki de votre poésie. |