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Anonyme
27/5/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Ah oui ! Une belle évocation, je trouve, expressive. Je regrette toutefois la répétition du mot "atours", et me dis que le texte gagnerait peut-être à un peu plus d'aération dans sa présentation ; des paragraphes plus courts, par exemple.
Je ne vois pas l'intérêt du trait d'union dans "bleu-mécanique". J'aime beaucoup la "miniature gigantesque" ! Très belle fin. |
Lunar-K
25/4/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Le détournement dans le titre et le jeu des couleurs à l'intérieur du texte entre le bleu et l'orange n'est pas sans me rappeler ce célèbre vers surréaliste de Paul Eluard : "La terre est bleue comme une orange". Sauf qu'il est davantage question ici du ciel, mais sinon l'idée y est, il me semble.
Je trouve que le titre, avec sa "mécanique", exprime bien mon impression globale : une description, originale, mais froide et machinale, beaucoup trop ! Je ne ressens rien à la lecture de ce texte qu'une distance objective trop poussée, aucune vie, aucune émotion, rien. Sinon dans la toute dernière phrase qui illustre bien ce que j'attend d'un tel texte : de la subjectivité ! Je suis désolé mais, même si cette description n'est pas dénuée d'originalité ni de métaphores intéressantes, je ne parviens pas à accrocher. |
Lunastrelle
25/4/2011
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Pourquoi pas... J'avais bien accroché au début du texte, mais au fur et à mesure que l'on avance, on se rend compte à quel point les mots, les images deviennent "scientifiques"... Qu'il y en ait un peu, d'accord, mais le problème c'est qu'il y en a un petit peu trop...
Du coup, le texte perd un peu en poésie et en sensorialité... La disposition des paragraphes gêne un peu. Était-ce pour montrer que ce bleu-mécanique est surchargé? |
Anonyme
10/5/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai bien aimé ce texte qui traduit une belle évocation de l'azur d'aujourd'hui. Le champ lexical est approprié et nous fait basculer dans une sorte de rêverie céleste. Comme l'auteur je suis très sensible au ballet des avions de ligne(ils survolent mon lieu de résidence, à 15 km de Roissy). J'ai pensé aussi à G.Bécaud avec sa chanson, Dimanche à Orly (datant de 1963)...
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Anonyme
10/5/2011
a aimé ce texte
Pas
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Pas du tout convaincue.
La prose, en ce qui me concerne, se doit d'avoir une richesse sonore, rythmique proche de la perfection. Ce qui est loin d'être le cas ici. Les phrases sont difficiles, voire laides à l'oral, ça manque de poétique pure, au profit de mots liens et autres images difficilement visualisables. Le retour du titre (2fois) dans le poème est (les deux fois) raté à mes yeux. La phrase (le vers) de clôture est faible, parasité par un champ lexical induit par l'oralisation, ce Alors tombe comme une mouche sur le cheveu dans la soupe... Donc, très verbeux, avec tout ce que le verbe porte de péjoratif quand il est mal utilisé... ça parle ça parle mais ça parle tellement et ça s'écoute tellement parler qu'on perd le fil du sens profond ... plutôt prose poétique que poésie prosée si on demande mon avis - ce qu'on ne fait bien entendu pas. Pour moi, ça manque simplement de rigueur poétique, de valeur poétique ajoutée... c'est plat. |
Pascal31
11/5/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Un poème que j'ai du mal à appréhender. Le jeu des couleurs aurait pu me plaire s'il n'avait pas été noyé dans un fatras scientifique auquel je n'entends rien.
De plus, quelque chose me chiffonne : Ces "vingt-neuf millions et trois cent vingt mille millièmes de secondes environ", répétées deux fois dans le texte, correspondent à quoi ? Bref, je suis davantage perplexe que charmé. |
Anonyme
11/5/2011
a aimé ce texte
Bien
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Au début je pensais que tu évoquais le ballet harmonieux des objets célestes, la danse infinie des sphères. Puis je me suis rendu compte qu'en fait de ballet cosmique on était dans une description imagée d'un aéroport. Passé une petite déception, je me suis dit que somme toute c'était plutôt original et bien écrit.
Quelques remarques : "Prenez le ciel vivant d'un bleu-mécanique. Il tourne de manière stable, et s'emplit du néant des mouvances cumulées." La phrase est belle, malheureusement illogique. Comment un néant peut-il emplir quelque chose puisque par définition il n'est rien ? "une structure aux atours pareils." A revoir. Pas très bien tourné et assez obscur. Tu parles des fractales ? "Vingt-neuf millions et trois cent vingt mille millièmes de secondes." Oulala, que c'est dur à lire dans un texte ! Deux fois en plus. Je pense que tu as voulu traduire la précision des chorégraphies aériennes mais ça donne l'effet contraire, on se perd dans ce chiffre à rallonge. |
Douve
11/5/2011
a aimé ce texte
Un peu
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Texte plutôt intéressant dans sa composition, j'ai apprécié le retour d'éléments (vingt-neuf millions et trois cent vingt mille millièmes de secondes : vivant d'un bleu-mécanique) qui semblent encercler le poème et lui donner ainsi une limite, un aspect de boucle bouclée.
L'écriture est plutôt sobre, très descriptive. Néanmoins, je regrette le recours à certaines images banales "ilôts infinis" "s'emplit du néant" "en perpétuel mouvement" "danse chaotique" "des étoiles pareilles à des astres(???)" Ce n'est pas mal écrit, mais, de la lecture d'une poésie, j'attends un impact quelconque, une émotion. Je n'en ai pas ressenti. |
chachnikov
12/5/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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bonjour,
chacun regarde les choses à sa manière mais comparer un avion à une entité céleste me parait être une image poétique sans fond, sans puissance, sans intérêt. Comme "bleu-mécanique", ces deux mots ensembles me paraissent trés fort et vous traitez le sujet, à mon avis, en édulcorant, en fabriquant. J'ai vraiment du mal à sentir la sincérité de vos mots. Je pense qu'il manque d'espace dans ce texte qui parle justement d'espace aérien, à moins que cela soit une volonté de l'auteur de nous faire sentir un ciel encombré. Le rythme du texte me parait bon. Pas de souci majeur à la lecture. bonne continuation |
Eric-Paul
14/5/2011
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Commentaire modéré
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Mona79
9/6/2011
a aimé ce texte
Bien
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Vous auriez pu mettre "dans une fraction de seconde" cela aurait été moins pénible à l'oreille. Sinon, j'ai trouvé ce texte peu poétique mais étonnamment structuré. On est surpris par l'aéroport, mais c'est bien vu.
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