Aujourd’hui, je n’ai plus la force d’écrire,
Et dans un dernier soupir, je tente en vain
De te dire tout l’amour que j’ai pour toi,
Toute la passion et le désir que tu as réveillés
En moi, sans jamais te soucier de mon émoi.

Tu es l’ange noir de mon ciel nu et terne
Tu es le soleil rouge de mes nuits d’ébène
Et à jamais tu resteras ma vie, ma raison d’être,
Car c’est dans tes yeux que je me vois m’épanouir,
Sache que j’ai perdu, à jamais, toute envie de fuir.

Tu as fait mon cœur prisonnier de tes chaînes
D’amour ardent, et de passion souveraine
Je ne peux m’en délivrer et du bout des lèvres
Comme le souffle du vent, je ne pense qu’à
Te susurrer, inaudible, invisible, « je t’aime »…