|
|
roxyleen
27/2/2007
|
petit vers très courts,
un beau combat contre l'injustice, drame de trahir l'amour, par des moments de supplice |
Anonyme
19/11/2007
a aimé ce texte
Beaucoup
|
J'adore ton poème !
Je pense que roxyleen s'est trompé en parlant de "trahison d'amour". Le vers : "Saisissant l'homme, tu le poignardas", selon moi, ne se réfère pas à l'homme en tant que "mâle", mais à l'homme en tant qu'être humain. Elisabeth décrirait davantage la haine et les regrets d'une adolescente qui broie du noir et qui s'insurge contre le monde, l'humain et la réalité. Si la narratrice ne peut pas s'envoler "vers l'éternel", c'est que le monde qui s'impose à elle est bien trop limité. De plus ce monde est représenté par une foule d'inconnus inquiétants, "ils", des tortionnaires, des pervers et des brutes, qui sont "dangereux", "narquois" et qui "torturaient ton âme". Le point de vue d'Elisabeth est très ténébreux. C'est ce qui me plait énormément. |
Bidis
19/11/2007
|
La perte des illusions peut engendrer la violence. Voilà ce que pour ma part j'ai compris. Et les images pour le dire sont parlantes et fortes.
Mais la forme ne m'a pas plu. Je ne note pas, parce que je sais que la forme, pour un poème, c'est extrêmement subjectif. |
scoulibri
20/5/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Une petite perle perdu dans les confins d'Oniris...
J'aime la monté en tension. Un poème qui commence comme une déclaration d'amour ou la description d'une mère devant l'évolution de son enfant et qui fini en drame. Les images sont parfois communs mais la rythmique atténue la sensation de commun |
Anonyme
2/3/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
La progression lente de l'inattendu provoque comme un choc émotionnel, difficile d'accepter cette évolution si dramatique dans la vie de cet enfant, où l'on s'attend plus à lire un avenir prometteur.
Dans ce poème, bien écrit, voilà un destin brisé sans retenue, l'abominable conduit à la démesure, les mots dévoilent avec justesse, cet état de fait. J'ai aimé le fond comme la forme. |