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bulle
4/11/2010
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime beaucoup l'atmosphère de ce texte.
Les lignes sont portées de manière tellement originale, que je me suis demandé si nous étions face à un tableau, ou en situation réelle, en Italie même. En fait, j'ai surtout la sensation d'être passée à travers le cadre ou de l'autre côté du miroir, transportée par des couleurs, des odeurs, et le rêve, pourquoi pas. Ce vers-ci particulièrement, me paraît être la clé centrale : "Il nous faut aller sous le papier peint" Quoi qu'il en soit, il reste au final un bon moment de lecture. |
Anonyme
7/11/2010
a aimé ce texte
Un peu
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Ton badin, sous le signe de la confidence, d'un texte qui nous invite à une ballade romaine... Les propos susurrés nous parviennent à peine tant l'écho me semble trop peu assourdissant. Bref un ressenti un peu mitigé.
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Anonyme
7/11/2010
a aimé ce texte
Un peu
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je ne suis pas tombée sous le charme de ses vacances romaines, tout n'est que description. des descriptions trop brèves, il manque une histoire, le ressenti du narrateur face à ces lustres, ces fontaines, ces papiers peints.
exemple cette strophe: "Au-dessous, où le papier peint se décolle, La villa Borghese a fermé ses portes. Il y a des photos d'animaux, Les fleurs et les feuillages frémissent, Sous les feuilles, les insectes grouillent." j'aurais aimé savoir ce que les photos d'animaux, les fleurs et les feuillages vous évoque. il manque cette ambiance qui m'aurait permis de voyager entre les vers. |
Lunastrelle
8/11/2010
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé cette manière de narrer, ce n'est ni pompeux comme on aurait pu s'y attendre, ni trop descriptif. J'ai eu l'impression d'avoir une "liste" d'instantanés, liés par ce fil conducteur, cela nous fait presque oublier que ce ne sont "que" des vacances romaines... En bref, on a été porté beaucoup plus loin que ces dernières...
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Arielle
13/11/2010
a aimé ce texte
Bien ↓
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Une curieuse ambiance sur ce mur devant lequel on rêve... On s'y promène à plusieurs niveaux, plusieurs échelles aussi.
Un texte qui exalte à sa façon le pouvoir de l'imagination. Quelques répétitions : feuilles-feuillages, insectes, auraient facilement pu être évitées. |
i-zimbra
24/11/2010
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Entre ceux-là et le gros que la princesse avait au palais... Mais elle ne doit pas être avec Gregory Peck – déjà elle ne penserait pas à dormir.
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Anonyme
16/7/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Voir les "Vacances romaines" de cette manière est vraiment très originales, cela nous entraîne bien plus loin, qu'une simple visite de ces monuments et lieux, bien sûr à voir, mais "aller sous le papier peint", en voilà une étrange curiosité qui ne manque pas d'attiser mon avis d'en savoir davantage.
J'entends ici cette phrase "Ah ! si nous pouvions dormir sur le mur ..." alors me vient cette phrase "Ah ! si le mur ou les murs pouvaient parler, il(s) nous en apprendrai(ent) encore bien plus, loin de ce parcours touristique. J'ai aimé l'ensemble de l'écrit, qui me parle, ayant visité pratiquement toute l'Italie, je ne l'ai jamais vu sous cet angle là, c'est bien dommage... |