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Anonyme
28/3/2022
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour;
J'ai bien aimé votre hommage au vent et notamment le fait que vous ayez précisé que c'est un phénomène naturel qui nous file entre les doigts et les jupes. Je tiens à vous dire qu'en temps que fille du Nord, on en connait aussi un rayon question Éole chez nous, il n'y pas que les gens du Midi qui en ont l'apanage, namédidon ! :) merci pour ce courant d'air fort rafraichissant ! Anna en EL |
papipoete
28/3/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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prose
Le soleil et la lune peuvent se capturer, à l'horizon du lever ou du couchant, dans la paume de notre main. Le vent lui, est insaisissable mais s'il peut nous bercer, il peut devenu tempête nous obséder, nous terrifier, se faire haïr dans ce midi... NB la Provence est si belle qu'on voudrait y vivre 12 mois d'affilée, mais quand se lève le Mistral, le tableau se gondole jusqu'à effacer cette envie... Il faut être du " pays " pour ne pas s'en offusquer, et le supporter comme un ami... pas moi ! Un joli tableau à la " Césane " où sifflent les tuiles romanes, où se courbent les peupliers... Chaque image est habilement montrée ! papipoète |
Anonyme
30/3/2022
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Pour illustrer mon propos, je me permets de détailler ci-dessous le rythme parlé de votre poème, en en conservant la ponctuation.
8 ; 8. 8 ; 8. 2, 2, 9, 8. 6, 6/8 ; 9. 6, 6/6/6 ; 6/6. 6/6, 6, 6 ; 6/6. 6, 6, 6/6, 6/6, 6, 6. 6, 6. 6/7, 6, 6. 6/6, 6/6, 6, 6, 7. 6/8 : 9. En cours de lecture j'ai pris conscience de l'écrasante majorité d'hexasyllabes et dodécasyllabes parlés et n'ai plus vu que cela ; en soi, un rythme aussi martelé dans de la prose, fût-elle poétique, tend à me détourner du propos parce que je ne cesse de chercher à l'appliquer. En l'occurrence, j'admets qu'il correspond plutôt bien au sujet. Mais qu'est-ce qu'il m'agace ! C'est peut-être le but, après tout, pour représenter le vent obsédant. De jolies images aussi, trouvé-je (pour peu que j'arrive à m'en rendre compte), le vent qui habille la lune et sifflote sous les tuiles, la mer vieillie par exemples. Des associations faciles : la nuit est opaline, les nuages gros et gris (ça fait tellement cheville, que je me dis), les jupons blancs et l'adjectif antéposé. Par ailleurs, la répétition se voit, à mon avis, dans fait claquer nos volets, nous faisant sursauter. Au final, je reconnais le soin apporté à l'écriture mais dois aussi indiquer que la lecture de votre poème ne m'a guère apporté de plaisir. |
Cyrill
6/4/2022
a aimé ce texte
Bien ↓
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J’ai été peu emballé par l’aspect démonstratif du début, qui m’explique la différence entre soleil et pluie, versus le vent, de façon pas très adroite.
La fin me paraît également manquer singulièrement de poésie « Tous les gens du midi connaissent bien ce phénomène » : on se croirait un peu dans un bulletin météo. Entre les deux, j’ai apprécié un joli développement que je verrais bien destiné aux enfants, en témoigne le vocabulaire ( gros nuages gris, le loup ) et des facéties comme les bateaux tous retournés. Accompagné des gestes adéquats. Le titre d’ailleurs m’a sans doute orienté dans ce sens. Il y a un rythme bien soutenu tout au long du poème, il permet une lecture orale sans accroc. Merci du partage. |
pieralun
6/4/2022
a aimé ce texte
Beaucoup
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Un petit coup de vent dans les voiles, un vent qui rafraîchit, qui ramène la mémoire quelques années en arrière et l’on retrouve Embellie.
Embellie et son adorable Ronde. Merci pour ce petit vent frais. |
Mintaka
6/4/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Embellie, je suis né et j'habite dans le midi mais je préfère de beaucoup votre poème au mistral lui-même. Pour moi il représente notre mauvais temps à nous. Mais il est vrai qu'il inspire de la sympathie, c'est sans doute son côté pagnolesque.
Pour revenir à votre texte, les images que vous faîtes défiler sont à la fois realistes et poétiques, mais il est vrai que le mistral est une métaphore à lui tout seul. J'ai bien apprécié l'ensemble, seul le rythme m'a un peu gêné , je ne sais trop pourquoi(je dois trop lire de poésies en vers) et la phrase 4 dont je ne saisis pas le sens quand vous dîtes:" Quand le temps est trop beau, il plombe le soleil en poussant de gros nuages gris..."annonçant la pluie pour faire court, alors que le mistral à plutôt l'habitude de les chasser, les nuages et d'apporter le beau temps. Ai-je mal compris? Merci pour cette évocation que j'ai bien aimée. |
Miguel
6/4/2022
a aimé ce texte
Bien ↑
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Cette prose rythmée et cette personnification du vent ont leur charme. On est proche du "vent fripon" de Brassens. Le ton est enjoué et l'on tombe sur quelques jolies trouvailles. C'est aérien et rafraîchissant.
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