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Anonyme
14/2/2014
a aimé ce texte
Bien
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Bonsoir Emilia. Un poème édité à point nommé, je reconnais bien là l'élégance du Comité Editorial.
Pour en venir au texte, les états d'âme d'une compagne de poète en ce jour béni des amoureux... et des commerçants, je suis assez réservé. Je trouve que tout ceci est un peu tiré par les cheveux et certains quatrains sentent les forceps, stigmates d'un accouchement laborieux. Certes les rimes sont bien présentes, les alexandrins bien mesurés avec de plus quelques jolis vers comme par exemple le premier : "Jouant sa sérénade aux belles esseulées". A ce propos ne serait-ce pas la profusion des rimes en "é" qui mettent à mal ce poème ? Je ne saurai le dire mais je n'arrive pas à entrer dans votre jeu de femme quelque peu désabusée. Peut-être aurait-il fallu faire plus court, peut-être que le sujet ne correspond pas vraiment à ce qu'un lecteur attend de la St Valentin... Bref, j'avais vraiment apprécié vos deux premiers poèmes parus sur Oniris mais celui-ci n'est pas, à mon grand regret, de la même cuvée. Bien pour le travail que ça représente mais pas de plus value pour l'ensemble... A la prochaine chère poétesse... |
senglar
14/2/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Emilia,
Circonvolutoire pour avoir voulu coudre trop de souliers ce poète cordonnier a oublié qu'il avait déjà chaussure à son pied. Sa belle lui pardonnera de n'avoir finalement offert ici et là que quelques espadrilles :) Saint-Valentin oblige ! Faut s'accrocher quand même pour suivre ce coeur méandrique (mais charmant) hein Emilia :)) brabant |
placebo
15/2/2014
a aimé ce texte
Un peu
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Comme Alexandre, certains vers ont manqué de naturel pour moi.
Ça donne un charme ancien mais niveau émotion je reste à quai. Un texte qui n'avance plus trop vers les 2/3. Je lis que c'est un texte de circonstance destiné à égayer, je pense que le but est atteint. Bonne continuation, placebo |