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bernalot
20/9/2007
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j'aime le choix de vos mots, précis et évocateurs suscitant chez le lecteur une succession d'images et de sensations très justes. J'aime la musicalité de cette poésie
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Couette
22/9/2007
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Ainsi vous n'aimez pas l'automne! malgré la bonne description de cette "punitive" saison vous ne parvenez pas à m'en dégôuter : celle-ci est ma préférée! Il n'empêche que j'ai apprécié ce texte!
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Anonyme
28/12/2009
a aimé ce texte
Vraiment pas
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Bonjour Epervier
J'ai commencé par lire à haute voix ce poème classique. J'y ai très vite renoncé. Je l'ai donc analysé pour voir ce qui nuisait tant à l'harmonie. Je n'ai pas eu à chercher longtemps. Les vers sont résolument hétérométriques mais les mètres sont si voisins qu'on se sent comme ballotés dans un véhicule sans amortisseurs. Vous n'hésitez pas à faire rimer un pluriel avec un singulier. (vacille/ pacotilles) et carrément un masculin singulier avec un féminin pluriel (éhonté/saccagées) enfreignant ainsi les règles de la poésie classique. L'écriture est maladroite. Des phrases sans verbes alternent avec d'autres où celui-ci est à l'infinitif. On devine que c'est voulu, que c'est votre marque de fabrique. Mais ça sent très fort le procédé. Du coup on en oublie ce que vous vouliez dire. Désolé, Epervier, mais votre "poésie classique" ne m'a pas convaincu. |
brabant
20/3/2013
a aimé ce texte
Beaucoup
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Pour la luxuriance du style, l'aptitude à capter un paysage et une saison, une faune, une flore, la richesse dans les mots et l'âme du vent, la présence du texte où l'on est en immersion, j'ai pensé aux descriptions de Rosny Aîné :)
Bravo pour votre style très travaillé, ouvragé, remarquable ! |
Anonyme
15/3/2016
a aimé ce texte
Un peu
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Ce texte présenté ainsi ne met pas en valeur le fond qui est éloquent, l'automne pas après pas annonce l'hiver, cette transition est source d'émotions très contre versée, douceur momentanée des couleurs, de quelques moments tempérés, puis douleur, le froid gagne, la vie dans la nature s'estompe peu à peu. Ici bien ressenti dans la description par instant, par exemple dans la deuxième strophe. Très belle phrase "Un désœuvré balaie une beauté certaine".
Pour la forme, ce poème serait à retravailler, pour le nombre de pieds déséquilibrés, les césures non respectées, et les rimes anarchiques. C'est ce qui crée un certain désordre et importune la lecture. |