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Anonyme
5/2/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Le champs lexical du froid et de la neige est, c'est le moins qu'on puisse dire bien exploité... Trop exploité?
Sinon j'aime bien la progression et la chaleur réconfortante de la fin. |
Anonyme
5/2/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Etonnantes, ces phrases nominales, comme des miniatures juxtaposées. C'est déroutant, mais après tout: pourquoi pas?
Pourquoi le vent est-il qualifié de "stupide"? Je ne sais si c'est l'absence de rimes qui fait ça, mais je ne trouve pas ce poème bien musical, et même un peu heurté. |
David
9/2/2009
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour Epervier,
Merci pour le nouveau mot déjà, "arbres gélifs" veut dire "Qui a été fendu par les grandes gelées". Le blanc de l'hiver sous la neige pour évoquer des états d'âmes plutôt noirs c'est pas mal, la succession des "mots par deux", qui est là dès le début, mais je n'ai pas compris de suite que ça faisait le poème est déstabilisante : les "frivolités poudreuses" jouent de frilosités. |
epervier
10/2/2009
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La poésie a ce sens particulier d'offrir des images avec les mots,
il s'agit de les saisir, de les comprendre et surtout de comprendre l'écriture du créateur et d'apprécier les émotions émises. amitiés québécoises, André, épervier |
Ephemere
10/2/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour, j'aime bien l'évocation mais n'en aime pas trop la présentation : ces mots solitaires sans verbe me semblent une facilité.
J'ai appris un mot merci mais je n'en ai pas la même définition : "susceptible de se fendre sous l'action du gel". FMR |
Anonyme
12/3/2016
a aimé ce texte
Pas
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Les mots sont posés et rien ne se passe, car c'est flagrant le manque de verbes se fait cruellement sentir, images figées, qui ne suscitent aucune émotion.
Je n'arrive pas à être à l'écoute de ce poème muet, cela me donne l'impression que l'auteur est dans une écriture sphérique inaccessible au lecteur. Le poète a beau crier il est inaudible. |
Mourmansk
13/3/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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Je n'ai pas beaucoup apprécié ce texte lors de ma première lecture.
Après relecture, il a fait son petit effet: j'ai froid. |