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Ramana
2/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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La sensualité est une épée à double tranchant. Elle peut être selon la façon dont on la vit, descente dans la fange ou montée vers le ciel. Loin de la vulgaire satisfaction des sens pour eux-mêmes, celui qui sait puiser dans les délices de la chair le plaisir des dieux, manifestera que le vin ou le sexe peuvent amener à l'épanouissement de l'être et même à la spiritualité.
Je bois à vos amours et aux miennes. |
papipoete
4/11/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
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néo-classique
Rien au monde, ni dans le ciel, ne pourrait égaler ta beauté et en bacchanales le vin te rend divine ! NB un texte à consommer avec modération avec ces soirées où Bacchus fait des siennes, rend cette femme " si belle de nuit " ! Le second tercet est particulièrement enivrant ! Je suis embêté par le 8e vers dont " odieux " se dit " o/di/eux " ; en néo-classique qu'en est-il ? papipoète |
Provencao
6/11/2017
a aimé ce texte
Bien
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J'ai bien aimé ce sonnet où vous nous offrez un bel hymne sublime à l'amour sous toutes ses formes : " Brûle d'un fol entrain et d'un amour odieux. Dans ces perles où luit un éternel adieu, toi que la folie rend si belle de nuit !"
Les bacchanales d'amour s'ouvrent sur une éblouissante variation contemporaine d'une nuit d'été. J'ai bien aimé , les voix qui se font écho, et parce que l'amour a toujours deux visages; les points de vue qui se croisent projettent parfois des éclairages divergeants sur une même situation :" Car dans nos nuits d'été, c'est Bacchus qui te guide, Ô ma sombre païenne ! en ses obscurs fourrés Pour boire autant de vin qu'on en peut savourer " "Ô toi que la folie rend si belle de nuit !" merveilleux vers où des passions se dénouent ou se nouent ayant en commun des rêves et des peines, des désirs et des espoirs.... Au plaisir de vous lire Cordialement |
Anonyme
16/11/2017
a aimé ce texte
Bien
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Le côté très théâtral de ces vers, me rendent cette poésie
bien froide. Je perçois la qualité sans reproche du phrasé, mais hormis cela ce poème ne m'apporte pas de ressenti. J'ai simplement fait une très belle lecture, dont la plume semble bien élégante, éloquente, et dotée d'une vive virtuosité. Mais cela ne me suffit pas. |
Anonyme
16/11/2017
a aimé ce texte
Pas
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Je n'ai pas apprécié cette poésie, pourtant assez bien écrite, autant que je puisse en juger.
Ce qui me gêne c’est le côté antique (et un peu fade) de la chose…je me demande ce que cette poésie peut susciter pour un lecteur lambda comme moi…à part l’ennui, et même pour une belle de nuit un peu barrée. Peut-être, sans doute même, est-ce parce que je suis insensible à certaines références… Bachhus, les dieux…, le doux nectar…pour ma part tout cela résonne bien peu de la réalité que je connais, du doux nectar et des païennes… En général, j’hésite beaucoup avant de donner mon sentiment sur ce genre de poème, mais de temps à autre je m’exprime…c’est tombé sur vous…cela n’est pas personnel. Par ailleurs il y a des amateurs dont peut-être la belle de nuit…allons savoir...en tout cas je vous le souhaite. Cordialement |
Anonyme
16/11/2017
a aimé ce texte
Bien
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Oh,oh ! Le deuxième quatrain laisse entrevoir ces chaudes "nuits d'été ". Au diable les préjugés et les " dogmes du Cantique ".
Sûr qu'en compagnie d'une Bacchante " sombre païenne " ce n'est pas la canicule qui réchauffe ces nuits (sourire). |
wancyrs
17/11/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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"Ô toi que la folie rend si belle de nuit !" Me rappelle son équivalent dans la sagesse africaine :"La nuit tout les chats sont gris..."
Le propos est flatteur, les mots sont précieux, le tout empreint de douceur... |
Mokhtar
18/11/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je suis assez séduit par ce poème que je trouve esthétiquement réussi, même avec ce petit côté suranné cher aux parnassiens.
Il me semble que l'on doive relever la belle harmonie de ce texte qui "coule" avec élégance. Une petite réserve pour "odieux". Non pour la diérèse, qui pour moi s'efface par la rime avec adieu placé avant. Mais pour le mot lui-même qui sonne un peu lourdement. |