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Gemini
25/9/2015
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Je suis venu pour le titre, mais je n'ai pas trouvé le clopant. (Mais peut-être était-ce leur dernière cigarette ?) J'ai trouvé la ponctuation hésitante : virgules parfois oui-parfois non. Ces défauts rendent parfois le sens tendencieux : est-ce le soleil ou la mort qui profite des douceurs de l'amour ? (si la virgule y est, c'est le soleil, sinon c'est la mort). Le geste centenaire du soleil qui s'éteint est centenaire par rapport à qui ? J'aurais peut-être mis un "s" à demain (sans demains ni regrets).
Enfin, les ifs cédant à "L'entaille basilaire des jalouses Parques" est pour moi trop imagé. Après, il reste une atmosphère, atmosphère (Arletty), qui ne m'emporte pas. |
Anonyme
25/9/2015
a aimé ce texte
Bien ↑
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Une oeuvre subtile mais plutôt étrange sur un thème peu évoqué car difficile à traiter. Thème délicat, donc, servi par des images fortes propices à la réflexion.
Wall-E |
Anonyme
25/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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J'ai fait de votre écrit plusieurs lectures, et je suis frappé par la justesse de vos mots, ils viennent créer une émotion plus que bouleversante, car j'ai fini par visualiser ces deux êtres, leur geste irréversible.
Cruelle cette phrase, elle résonne en moi "la vieillesse enfumée de perfusions". J'avoue que j'ai trouvé curieux ces parenthèses, dans cette phrase "au(x) lendemain(s ) emboucané(s)" et je n'ai pas compris votre intention. J'ai été frappé par cette phrase " pour un instant ils ont tendu leurs rêves d'enfants à portée de rire, car c'est à deux que se soulève comme un battement de cœur l'âme de l'humanité", elle est à la fois l'insouciance avec l'enfance évoquée et plus raisonnée dans l'évocation "de l'humanité". Ce quatrième paragraphe pose le décor, le déroulement de l'action, c'est comme un choc, l'impression d'assister à leurs derniers instants, je suis le spectateur, d'un acte terrible et terrifiant. "Et se hissant au-dessus de la vie, les deux amis les deux amants amorçaient leur course sans demain ni regrets comme une promesse immortelle livrée sous la pluie.", étrange de ressentir leur complicité en cet instant, confirmer par la fin de ce cinquième paragraphe, "Pourtant d’une même voix le couple tombait en vers.". Devient alors plus marquante et se fixer profondément cette phrase "Ils valsèrent une dernière fois dans les nuages gorgés d’éclats et l’encéphalogramme s’aplanit tendrement dans la chambre encore palpitante de leurs échos enracinés.", phrase qui confirme l'irrémédiable ... " À l’aube flottera le chassé-croisé des souvenirs amoureux. " Je ne saurais dire pourquoi je trouve dans le phrasé de cette dernière phrase une impression de plénitude exprimée. Malgré les quelques petits défauts de ponctuation par ci par là, votre texte m'a plus que captivé, il m'a donné des frissons, il est de ces textes que j'appelle "vrai", qui crée un trouble sans pareil. Parler de la "mort" n'est pas chose anodine, et le faire avec autant de sensibilité, de retenue, il est difficile de rester indifférent. |
Raoul
4/2/2017
a aimé ce texte
Bien ↓
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Ayant découvert un autre texte de vous, je passe sur celui-ci dans la foulée.
Plus surréaliste, mais plus poussif aussi. Pour moi, la pléthore d'adjectifs ajoutés et de conjonctions tuent la dynamique du texte. C'est inventif, ça j'apprécie, mais la grammaire m'a tuer (comme dirait l'autre) À vous relire. |