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Anonyme
12/12/2017
a aimé ce texte
Pas
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Ce texte est bien, bien trop long.
Que de mots répétés, qui n'apportent pas grand chose, de plus, sinon faire que le texte perd de sa consistance. J'ai retenu l'idée, mais pas tout à fait la manière de la dire. Je n'ai pas trouvé de la poésie à cet écrit, c'est plus pour moi, une réflexion à haute voix qui nous est donnée de lire. Il y a trop de "blabla", ce qui ne permet pas d'apprécier la teneur de ce discours, qui n'en finit pas, de démontrer mais sans conviction, trop de mots tuent les mots. Texte embrouillé et embrouillant, je me suis égaré. Une petite citation "Trop de mots, tue la vérité", être plus simple, plus concis, permet de mieux se faire mieux comprendre. |
papipoete
12/12/2017
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bonjour Ethimor
Poésie libre, donc l'auteur fait ce qu'il veut en s'affranchissant de toute règle prosodique ! Mais ...il doit captiver le lecteur, et pour cela retenir sa plume quand elle se laisse aller à un trait qui n'en finit pas ! Pour écrire " les restes à venir ", vous n'avez pas dompté la muse qui put retenir le flot de votre écriture, et je ne parviens pas à rester attentif à votre thème, en suis fort contrit ! Une autre fois, j'en suis sûr, je vous lirai avec plaisir ! |
Anonyme
12/12/2017
a aimé ce texte
Un peu
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A mon avis, la densité de ce texte et les répétitions - qui n'apportent rien - lui nuisent beaucoup.
Bien sûr on perçoit l'idée exprimée ; il y a quelques images intéressantes, mais elles sont un peu noyées dans ce texte trop long qui gagnerait à être 'élagué'. |
Provencao
13/12/2017
a aimé ce texte
Bien
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Il me semble que le respect s'impose lorsque la poésie libre est choisie.
Que ce texte soit long, peu m'importe. Ce que j'ai aimé c'est la continuité du langage reposant sur un indicible. Vouloir saisir ce chaos par le langage même pourrait relever de la démence. Mais la poésie, et la liberté d'expression sont à elles seules une sorte de délire dont la fonction paradoxale serait de désigner par le verbe, de sauvegarder ce qui, à jamais, est celé dans le pli de l'impossible....et ces vers en sont le témoignage direct:" Reveille donc le silence joyeux quoique mélancolique, quoique révolté le silence le silence qui t’habite où tu t’abrites comme l’acteur dans son théâtre d’infortune l’acteur qui plutôt que souffrir préfère courir les abris les habits les masques les confettis et les mots" Au plaisir de vous lire Cordialement |
Brume
13/12/2017
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Ethimor
La première fois que j'ai lu votre poème je me suis vite lassée par sa longueur donc je me suis arrêtée en milieu de route. Je reviens vous lire car je comprends qu'il ne faut pas trop réfléchir en le lisant mais me laisser aller à vos mots et suivre le rythme effréné. Et du coup je n'ai plus ressenti le "poids " de la longueur. Attention je ne dis pas qu'il faut vous lire sans comprendre, je dirais plutôt que c'est en se laissant aller que vos vers finissent par prendre sens. Le verbe est trop dans un délire, qu'il serait délirant que le lecteur se perd dans la réflexion. Il y a de la cohérence bien sûr, mais l'expression est très passionnée! Je suis contente d'être revenue vous lire d'une autre façon car vos images sont superbes, fortes. |