|
|
Proseuse
3/6/2017
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
Bonjour,
On parle souvent que -la poésie- doit faire voyager ! Alors, voilà bien de la poésie ! :-) Il n' y a pas grand chose à expliquer, on embarque avec vous sur les mots et le ... tour est joué ! Merci , j' ai beaucoup aimé |
Anonyme
19/6/2017
|
Je n'ai pas réussi à entrer véritablement dans le propos. Non plus que je n'ai pas ressenti la relation avec le qualificatif du titre.
Peut-être que quelque chose m'a échappé... |
papipoete
19/6/2017
a aimé ce texte
Un peu
|
bonjour Ethimor,
C'est un voyage onirique avec survol de l'océan, d'un humain, d'un oiseau ? NB il émane de ce texte des passages ou le lecteur se perd dans le mélange d'impressions, de sensations, et il pourrait s'abimer dans les flots ! Le premier vers surprend avec sa forme " survolant de/ces ... " |
Sebrutus
19/6/2017
a aimé ce texte
Un peu ↑
|
La forme des vers et strophes font penser à des vagues, parfait pour divaguer poétiquement comme vous le faites. J ai plutot bien aimé. La mer et ses
|
Marite
19/6/2017
a aimé ce texte
Beaucoup
|
Belle et séduisante rêverie poétique. Les vers irréguliers s'adaptent merveilleusement aux ressentis éprouvés à la lecture. Aucune fausse note, la seconde strophe est ma préférée. Oserais-je dire que cette "Nuit talismanique" recèle un soupçon de magie ?
|
jfmoods
22/6/2017
|
Écrit en vers libres, le poème ne s'en prête pas moins à un jeu d'échos, parfois distants, à la rime. L'intertextualité charienne du titre ("Nuit talismanique") invite le lecteur à s'immerger dans la magie d'un moment auréolé de mystère (métonymie : "lèvres sibyllines"), éminemment balsamique (négation catégorique : "ne me quitte plus", adjectifs qualificatifs : "intense / et vulnéraire"). Le regard domine la perspective ("Survolant", "perdu dans la foule / des nuages innocents") avant de s'y fondre. Le thème de l'eau du large, propice à l'ouverture sur l'immensité d'un ailleurs, sert de fil conducteur au poème ("océans oubliés", "vagues", "reflets d'opalines", "remous", "iodée", "mer", "houle", "écume", "mon Pacifique imaginaire"), ouvrant la voie à une fête des sens (vue : "scintillement", "lumière", odorat : "parfum", "fragrance", goût : "m'abreuver", toucher : "embrasser les lèvres", ouïe suggérée : "une tempête inconnue", "battue par la houle"). Le choix du passé simple plutôt que du passé composé ("je vis", "je plongeai") pour accompagner l'imparfait (forme impersonnelle : "il émanait") appuie, avec le complément de temps ("À cet instant"), sur la prégnance de l'évocation. Cette nuit n'en est plus tout à fait une puisqu'elle mord déjà sur le jour et sur le faisceau de promesses qui l'accompagne ("l'aube naissante").
Merci pour ce partage ! |