|
|
Anonyme
29/9/2021
a aimé ce texte
Bien ↑
|
Je n'ai pas vu l'intérêt des six vers d'introduction, n'ai pas apprécié cet écran entre moi lectrice et l'histoire à la fois cocasse et touchante (ai-je trouvé) de ce bêta de chevalier devenu spectre par pure maladresse. Le "ton" médiéval m'a paru bien saisi, et certains endroits franchement réussis, par exemple :
Vint Brunhilde chevaucher Pâle et pourpre à mon côté En silence ; et l'avant-dernière strophe. Sinon, je crois que la partie parlée du poème, quand la chaste rose invite le vaillant lys à l'effeuiller, m'apparaîtrait plus souple et naturelle, avec un léger débraillé bienvenu au vu de ce qui est dit, sans la majuscule systématique en début de vers. |
papipoete
14/10/2021
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
|
bonjour EtienneNorvins
Ne serait-ce que pour le parler, ici conté par Dagobert Parsifal, j'avance un oeil puis l'autre curieux de ce récit chevaleresque ! Et la belle Brunhilde, de s'avancer sur son noble cheval, et tomber sous le charme de ce...hobereau un brin puceau, lui proposer non point l'entendre à travers ses faits d'arme, mais d'au lit montrer quelque audace... de quoi choir du destrier, en mourir et ne revoir Madame que par l'esprit ! NB bien sûr que telle langue ainsi ne se parle plus, mais quel plaisir pour moi d'en lire quelques échos ; surtout sur ces batailles perdues à l'épée, et celle que le Chevalier put gagner au creux d'un lit galant ! L'auteur y glisse une once de grossièreté ( déballer la prose, jactance ) où l'on sourit, et à travers cette histoire, mêle au final un soupçon de prétention ( Brunhilde à un autre se donnant, ne verrait en lui que son cher Parsifal ! ) Je vois un texte bien troussé, et les deux acteurs jouer leur rôle à la perfection ! la 5e strophe posant le décor, avec ses deux vedettes ( vaillant lys et chaste rose ) m'est savoureuse ! ensuite, la répétition des divers " preux " titille les zygomatiques ! on en re-demande ! |
EtienneNorvins
22/10/2021
|
|
Atom
23/10/2021
|
Franchement, j'ai un peu de mal avec ce genre de poème dont le fond (et parfois la forme) me parait suranné.
Même si bien sûr pourquoi pas ? Mais du coup je m'interroge sur le pourquoi de l'utilisation de l'écriture inclusive pour le mot - immortel.le .C'est assez déroutant. Il y a des références à Perceval et la quête du Graal dont je n'ai encore rien lu... Le poème ne me parle décidément pas. |