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fanny
10/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Une grande homogénéité entre le fond et la forme, le rythme citadin est parfaitement rendu dans un mélange de rapidité de mouvement et de rêveries bercées, enlacées par la ville qui permet à tous ceux qui savent en lire les hiéroglyphes de se perdre dans ses bras de lumières et de pénombres.
J'adhère totalement, merci pour ce rendu de l'atmosphère. |
Jemabi
14/5/2023
trouve l'écriture
perfectible
et
aime bien
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J'aime beaucoup les deux derniers vers, ils résonnent en moi, et cette résonance est de l'ordre de la poésie pure. Pour le reste, tout se qui précède, on est dans la gesticulation. C'est bref, c'est vif, mais cela suffit-il à insuffler du rythme et, surtout, de l'émotion ? Il est permis d'en douter. Mais comme je l'ai déjà dit, les deux derniers vers du poème sauvent l'ensemble et personnellement je reste sur cette bonne impression.
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jeanphi
24/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour,
Aïe, veuillez ne pas me tenir rigueur de mon interprétation erronée. Je viens réviser le commentaire que j'avais destiné à votre poème lors de sa découverte en espace de lecture. En effet, il semble que je me sois quelque peu avancé en lui attitrant pour sujet : le tag. Prendre des clichés de la ville endormie ... un sujet très vivant. Je trouve qu'il y a du rythme. Je découpe ce poème en trois phases, une énumération qui est une reformulation de la même 'maraude', une suite de métaphores ou vous prenez des clichés à l'aide de cette fameuse boîte (appareil photo ou mémoire vive) que j'associe faussement à une bombe de peinture, et enfin les dernier vers " Merci ... Je fumerai sur ton épaule " qui me fait dire que votre poème est dans l'action, très prégnant. Je verrais bien une forme plus longue. |
Provencao
24/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bonjour Etila,
Bienvenue, De cette virée nocturne vécue dans le " courir, glisser..." surgie de la construction des mots dans votre poésie et de toutes les confluences de sens, du ressenti , du tempo et du rythme qui y trouvent leur point d'accomplissement. Un tel instant, une telle fuite c'est là toute la puissance d'écriture, pour vous et pour nous qui l'accompagne comme son aura.... Au plaisir de vous lire Cordialement |
apierre
24/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Bonjour Etila ,
Une virée nocturne courte mais plaisante ! En quelques mots , on accompagne bien le narrateur ,je trouve que c'est très réussi. Mais deux fois le verbe "perdre " ,c'est beaucoup pour un texte très court Particulièrement apprécié les deux derniers vers : " Merci la ville de me perdre dans tes bras je fumerai sur ton épaule " Merci Etila d'avoir partagé cette virée nocturne ! |
papipoete
25/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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bonjour Etila
( madame ou monsieur ? ) D'emblée, ce poème m'évoque le film allemand ( cours Lola, cours ! ) et le héros foncer à coeur perdu dans ce dédale de rues, et saisir au passage toute trace, tout symbole... pour le dessiner dans une boîte à images ( Nicéphore Niepce ) NB ceci n'est que ma vision ( d'un oeil, le chirurgien m'opérera de l'autre à 9 H ) aussi, mon scénario n'est-il pas celui de l'auteur ? " je fumerai sur ton épaule " doit être un pétard de hakik, comme disait Gérard Coluche... |
Cyrill
25/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Je ressens comme un tourbillon à cette courte lecture. De l’urgence également, et un vif plaisir à partager le manège citadin et nocturne.
Le narrateur qui met la ville en boîte et la ville le prend dans ses bras, un échange de bons procédés en somme. Je vous ai suivi avec grand bonheur dans ce périple. Le dernier vers est très visuel, j’y vois un tableau de Chagall. édit : bienvenue sur Oniris ! |
Zeste
25/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Entre deux mondes où le jour pénètre l'obscurité, le jour, la nuit, la légende du temps.
A la tombée des nuits, l'enthousiasme aux couleurs vives d'une fée poésie, album de la jeunesse. La beauté, l'audace, la joie de vivre à croquer la vie! |
Edgard
25/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Court, vif. Les deux derniers vers donnent le ton et contraignent à une relecture qui n'est plus la même. (très bien trouvés ces deux derniers vers!)
Ça a un petit côté coureur, tagger, skateur qui me plait bien. Je ne sais pas pourquoi ça me fait penser à une toile de Basquiat. Une sorte de passage rapide, comme précipité, qui paraît sans construction et pourtant prend sens, accroche, s'incruste. "Jusque-là tout va bien" ! Attention à la suite, parce que j'ai tout de même cité Basquiat... (hihi...) |
Anonyme
26/5/2023
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Très belles suites de mots mystérieuses empreintes de sous-entendus. Pour moi le narrateur est égyptien par les hiérogliphes et sans aucun doute musulman par les lunes et les étoiles. Je me trompe ? Texte court, bref, complet et agréable à lire.
Félicitations Etila. ericboxfrog |
Donaldo75
26/5/2023
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Je suis mitigé après la lecture de ce poème. Le vers de fin tape bien, je trouve, et c’est tant mieux dans un format aussi court que de bénéficier d’un point d’orgue mémorable. Avant ça, c’est entre-deux en termes de puissance évocatrice, au limite parfois de l’artifice. Du coup, je ne sais pas quoi penser de ce poème. J’ai l’impression de voir une pluie de petits papiers sur lesquels sont écrits des groupes de mots dont certains me parlent d’autres me laissent de marbre et l’ensemble part avec le vent de mes pensées.
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Absolue
2/6/2023
trouve l'écriture
très aboutie
et
aime beaucoup
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Plonger dans cette ville, y glisser et fumer sur son épaule la nuit venue...La lecture à haute voix est très harmonieuse et rythmée, malgré l'absence de rimes.
"Merci la ville de me perdre dans tes bras", j'aime beaucoup. "Trouver le sang rêvé"... je n'ai pas compris, expliquez-moi si vous voulez. En peu de mots, il y a tout ce qu'il faut, bravo! |