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Anonyme
27/11/2019
a aimé ce texte
Bien ↓
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Bonjour,
Pas du tout au fait des réseaux sociaux, je suis curieuse de découvrir votre poème. Je suis un peu rassurée, si vos paragraphes de cinq vers entrent dans un tweet, on peut pas ce biais continuer à utiliser la langue française et non pas seulement les abréviation et phrases de 3 mots. J'imagine que le titre et ces "virgules" intermédiaires sont directement liés au premier support prévu. Sinon, j'avoue ne pas en voir vraiment l'utilité. Ensuite, j'ai trouvé les paragraphes un peu inégaux en qualité. Le premier est très réussi, à mes yeux. le second un peu moins harmonieux, par exemple le mot "tout" au troisième vers me semble vraiment présent pour satisfaire au nombre de syllabes. J'aime beaucoup le cinquième, pour son harmonie. Le découpage 7/5 de plusieurs vers s'il passe inaperçu parfois heurte vers un peu trop la lecture dans d'autres, comme "Sur un grand tableau tout noir ou un parchemin", ou est-ce le hiatus qui m'a arrêté à la lecture. Non spécialiste des formes plus classiques, le changement de rythme de 6/6 à 7/5 me surprend toujours et casse le rythme de ma lecture, surtout dans un même paragraphe. Enfin, la continuité du poème, ne coule pas vraiment de source mais peut s'appréhender comme un ensemble. Merci du partage, Éclaircie |
Gemini
8/12/2019
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Un peu
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Si j'ai bien compris, on rajoute une contrainte en limitant sur 6 vers le nombre de caractères. Pourquoi pas ? Exercice oulipien. Mais je trouve que la contrainte sur l'alexandrin très personnelle, et la ponctuation peu respectée amoindrissent l'exploit.
Au niveau technique, pour rester dans la catégorie proposée, en métrique, les vers vont de 11 (v35) à 14 syllabes (v25). Avec quoi riment "vain" v6, "nombre" v13, "être" v31, "voix" v33 ? Pour le fond, j'avoue avoir un peu calé. Cinq strophes sur 6 où l'on parle beaucoup de soi (et pas pour se mortifier), et même au début de la quatrième : " Si la mélancolie enrichit le poète / Alors pourquoi mes nuits sont-elles vouées à l’ennui ? " Auto proclamation. La première strophe est, pour moi, la plus compréhensible. La suivante moins : trouver un secret dont on ne sait pas à quoi il sert, ça laisse songeur effectivement. Troisième virgule, que sont " les nuées infertiles d’une âme nue " ? … et ainsi de suite, beaucoup trop de formulations un peu pompeuses : " En baignant mon chagrin qu’une lumière inonde. " « qu’il reste le goût de ta voix dans ma bouche de cendre », avec peu de sens précis et peut-être le souci d’entretenir un flou qu’on espère artistique. Quelques jeux de mots : cor/corps, auteur/hauteur. Des répétitions : vierge, âme, chair. Enfin, je n’ai pas bien saisi le titre et ses divisions. Est-ce que, vu la contrainte du tweet, un titre aurait été possible à caser ? (et donc pourquoi l’avoir appelé ici virgule ?). J’imagine qu’il y a une réponse que je n’ai pas. En somme, la volonté d’emboîter une forme (néo)classique dans un mécanisme moderne est originale, voire amusante, mais ne devrait-on pas maîtriser les premières contraintes avant de s’en donner d’autres ? |
BlaseSaintLuc
8/12/2019
a aimé ce texte
Passionnément
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Que de virgules au cœur pendant, mélancolie de ponctuation, suis Je contagieux ? NON !
C'est l'époque qui nous plaque contre une ombre de plastique, un spectre de carbone à noyer dans l'alcool. Dans le doute crayeux et noir, défilant au chant des morts fusillés aux poitrines infertiles. Le poète n'est pas un courtisant, il n'a pas l’âme d'un charmeur de serpents, triste et sombre, il s'en va et coule aux bords des mirages hargneux. Merci pour ce texte somptueux ! |
Corto
8/12/2019
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Pas
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Finalement une virgule pour un tweet reste peut-être la solution.
Cette succession de notions et de propos où il faut s'acharner à trouver une cohérence ne m'a guère conquis. Peut-être y aura-t-il des amateurs qui expliciteront avec enthousiasme ce qui ne me séduit pas. Bonne chance à l'auteur. |
Davide
1/1/2020
a aimé ce texte
Pas
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Bonjour,
Je n'ai pas compris la visée de ce poème. Six sizains (sans parler des "virgules"), mais… pour dire quoi ? Je ne vois pas le lien entre chacune des strophes, comme si elles avaient été collées les unes aux autres après coup (l'exergue l'avoue !). Puis, la syntaxe m'a semblé très approximative en certains endroits, ponctuée par des jeux de mots maladroits ("Je défile au son du cor, au corps défendant" ou "Si j’avais eu le choix de naître ou ne pas être", par exemple) et des images curieuses ("Sensible comme une vierge" (?)). Pour information, plus de la moitié des vers de ce poème ne sont pas des alexandrins "contemporains", car un alexandrin doit compter 12 syllabes avec une cassure au milieu : 6/6 syllabes (ou 4/4/4 syllabes). Puis je ne comprends pas le pourquoi du titre, sans doute en référence aux réseaux sociaux (?) En somme, je n'ai rien aimé dans ce poème qui, selon moi, se perd dans son verbiage, à tel point que je me demande si l'auteur(e) ne s'est pas lui/elle aussi perdu(e) dans sa démonstration. Pourquoi ne pas avoir fait plus simple ? |
FabDo
30/1/2020
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Modéré: commentaire de l'auteur sous son texte
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FabDo
31/1/2020
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Modéré : Commentaire hors-charte (se référer au paragraphe 6 de la charte).
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Anonyme
31/1/2020
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Modéré : Commentaire hors-charte (se référer au paragraphe 6 de la charte).
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