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brabant
31/7/2013
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Fanch,
Si vous me permettez une certaine trivialité, je dirais que l'on ne peut être sans avoir été, car d'une certaine façon on a été bien que n'étant pas quand on aurait pu être. Alors maintenant que l'on est vieux sans doute est-il trop tard pour être, ainsi ne soyons pas ; de toute façon nous nous illusionnons sur notre capacité à crier ; de toute façon aussi nous passerions pour de vieux croûtons grillant criant dans le désert. Bon, ben mon com c'est un peu le reflet de l'impression que m'a fait votre texte hein ;) par ailleurs tout en subtilité :) Ô jeunesse ennemie ! La valeur hélas attend le nombre des années pour n'être plus alors qu'une Wonder sans boîtier... Lol |
Robot
31/7/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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Vous ne répondez pas vraiment à la question posée dans votre incipit; question qui avait attisé ma curiosité. J'ai trouvé beaucoup de pessimisme, où plutôt de désenchantement dans votre poème. Il a atteint ce qui était probablement son but: réduire mon optimisme béat. J'ai besoin de brûler au soleil brillant de tout son éclat le cafard pris à la lecture de votre beau texte qui cependant se laisse lire sans heurt.
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Ioledane
1/8/2013
a aimé ce texte
Bien ↓
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J’apprécie le ton de ce poème, dont certains passages en particulier me semblent bien trouvés :
« ce halo d’impuissance et de vide » « Est-ce la fin d’une ère comme en il en est du jour » « Et qu’un regard contemple, vieillissant, impavide » « Brisant la destinée d’un trop morne parcours ». Le questionnement me ‘parle’, je le trouve juste un peu trop ‘dilué’ dans les images dévidées au fil des trois premiers quatrains, pas toujours évident à suivre. Le quatrième est plus affirmé et semble trouver sa conclusion. Je déplore dans ce texte les « e » non élidés, beaucoup trop nombreux et souvent disgracieux dans cet écrit qui méritait une belle fluidité. |