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Anonyme
5/11/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Dés lors: un accent grave peut-être. Dès lors que: dès l'instant où, étant donné que, puisque.
Au dernier vers de la quatrième strophe, la forme interrogative suppose une question donc le point d'interrogation s'imposerait. Je n'aime cependant pas le pourtant que je changerais pour alors. Restera-t-il alors ce que l'âme dépose? Je me demande aussi pourquoi le point d'interrogation au dernier vers... La ponctuation, surtout les virgules, serait à reviser. Exemples: penser, d'aventure, désirs, anciens, ouvragé, de hasard, se fait, d'avenir, J'ai beaucoup aimé ce quatrain: Dès lors que l'on se glisse, à la traîne d'un rêve, Dans le lit des dénis d'un réel appauvri, Il se fait d'avenir, aux heures en sursis, Un destin sans envol que l'inertie achève. |
placebo
16/11/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonsoir,
J'ai trouvé certaines formulations lourdes et me suis un peu ennuyé, la fin m'a plu davantage. (je signale juste deux hiatus : "joyau oublié" et "vanité en", l'auteur les a sans doute remarqué) 1ère strophe : - "dès lors" et plus loin "alors", je ne trouve pas ça très heureux. - "d'aventure" me semble bizarrement placé en bout de phrase, il fait redondance avec dès lors en plus je trouve, sur un registre différent. - "qui se parjurent" un peu lourd/vieilli je trouve. Sur les virgules, j'en aurais peut-être supprimé une poignée (désirs anciens, glisse à la traîne, en nos cœurs déployée). Je trouve que les deux quatrains suivants empruntent le même schéma : lourdeurs, expressions un peu vieillies. Les cinq derniers vers ont plus de classe, malgré l'inversion "inutiles choses". Bonne continuation, placebo |
Charivari
17/11/2011
a aimé ce texte
Un peu
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La prosodie est intéressante, (par exemple le premier vers, on ne sent presque pas l'hemistiche, ce qui nous donne une impression de fluidité), les tournures coulent toutes seules, les mots son jolis... Mais j'ai un peu honte de dire que je n'ai RIEN compris au message que vous avez voulu transmettre. j'ai relu trois fois, eet non, je ne sais pas de quoi vous parlez. Beaucoup de grands mot très génériques qui veulent un peu tout dire et le contraire. Du coup, ça m'a paru un peu creux.
C'est dommage, parce que c'était bien écrit. |
David
21/11/2011
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Pour la musicalité, j'aime bien la chute, le dernier quatrain et le rejet, mais les strophes précédentes sont trop maladroites à mon goût. Dans la première, la dernière incise coupe le rythme au vers 4, les verbes au pluriel alourdissent aussi "fireu", "pareu", d'autant que "faire nos mémoires" c'est mal formulé à mon goût "faire" fait un peu verbe par défaut. Dans la seconde, une autre incise coupe le rythme au vers 7, et "au zeureu zan" alourdit aussi le rythme. Dans la troisième, encore deux incises aux vers 10 et 12, c'est les quatre ensembles qui sont lourdes, la ponctuation pourrait être moins appuyées. Ces brisures ou mauvaises euphonies ne donnent pas un sens plus prenant il me semble, ça empêche les vers de couler plus simplement, le thème de se faire ressentir. |
Anonyme
17/12/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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Je ne suis pas compétent pour juger sur la forme, "dès lors" que je peux lire sans buter sur un mot, sur une liaison, j'adhère.
J'aime cette musique un peu nostalgique, ce retour sur le passé que l'on trouve différent suivant l'humeur, suivant les circonstances. |
funambule
17/12/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Je ne suis pas un immense spécialiste en poésie... mais là j'ai entendu une magnifique musique et la douceur profonde, désabusée et chaleureuse des mots m'a délicieusement emporté. Étant nouveau je ne sais où je suis (quelle "sorte" de poésie) mais j'y ai entendu une musique Verlainienne (tant pis si je blasphème). Je suis moi, sidéré par la précision de sens et émotionnelle que la mélodie peut sembler couvrir mais que chaque lecture appuie et mêle à mon plaisir... que je ne vais pas bouder!
J'aime énormément |
Miguel
29/12/2011
a aimé ce texte
Bien
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J'aime bien le ton mélancolique de ce poème, son atmosphère vague et désenchantée. Quelques virgules sont placées maladroitement mais le point d'interrogation final est tout à fait justifié par la forme interrogative de la dernière phrase.
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