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Robot
29/1/2014
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Un bien beau texte pour parler de cette fusion amoureuse telle qu'on la voudrait toujours... mais se peut-il ? Car elle n'est pas puisque revient cette imploration qui débute les quatrains... devenir...
En tout cas beaucoup de très belles expressions. Petit regret: Le lecteur lancé sur des alexandrins se voit obligé de rechercher lui même comment passer en 12 pieds sur ce vers irrégulier: Devenir un seul geste--que person ne n'attend Devenir un seul ges te que personne--n'attend Ni l'une ni l'autre des deux dictions n'est agréable. Mais ce poème m'a beaucoup plu. |
KIE
31/1/2014
a aimé ce texte
Un peu
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Voilà ce qui limite ma notation:
Vers 4 : douceur affrète a) pour la mauvaise sonorité qui n'est pas douce du tout, b) pour la connotation du mot "affrète". Vers 9-10 : Le sens s'y prête, mais je suis gêné par la rime du même au même : "roule" (à tort, sans doute, c'est un réflexe de vieux classicard borné). Vers 16 : 13 pieds, même en faisant la synérèse néoclass sur "anciennes". On peut garder le texte ainsi (ça gêne toujours), mais il faut le mettre en contemporain. L'ensemble est plutôt bien tourné, délicat et vaut plus que ma note. |
Anonyme
12/2/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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Il est vrai que le seizième vers ne semble pas suivre les "règles de prononciation" du reste du poème et que cela a largement gêné ma lecture. Je ne suis pas d'accord avec l'élision automatique du "e caduc" à la césure, mais c'est une poétique valable, me semble-t-il.
Je crois que la ponctuation est à affiner, notamment au second quatrain, pour que la première lecture hésite moins, et qu'elle soit réelle découverte plutôt que tâtonnement du sens. Le pronom "en" prend beaucoup trop de place dans ce poème, il y en a partout, même là où il ne devrait pas être ; c'est une maladie très répandue de nos jours, particulièrement sur Oniris. La poésie est cependant là, dans les vers et entre les mots, les sentiments parviennent au lecteur, et l'effleurement doux de la beauté est merveilleusement rendu en ces quelques vers. J'hésite, mais je note. |
Pimpette
11/2/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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J'ai déjà croisé Fanch sur un autre site et j'ai toujours le même problème:
Il a une imagination poétique de grande envergure, des trouvailles et des images à foison...Une vraie richesse! Alors...pourquoi: -Tatata tatata -Tatata tatata ...qu'il ne fait même pas très bien??? Une poésie libre réglerait le problème, non??? ce n'est que mon avis et je n'y tiens pas tellement...:-) |
senglar
11/2/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour Fanch,
Ce "Devenir..." est tout simplement magnifique, doit être lu avec délicatesse pour un registre de la délectation. C'est la troisième strophe que j'ai préférée et dans la troisième strophe le quatrième vers. D'accord encore avec les larmes de la quatrième. "De ces discrets sentiers que la mémoire affleure." "Et, se laissant griser par des larmes qui viennent," (mais là on n'a même pas besoin de faire l'amour) "Rêver qu'elles soient d'enfance, en images anciennes Et parfums oubliés de nos premiers jardins..." - Euh... "... consommer sans fin" : Le tout est de ne pas se lasser quand on est devenu. lol. Ben oui quoi ! brabant |
FABIO
12/2/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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L'effort de vouloir respecter les règles poétiques a surement rajouter
a la musicalité du poème ; mais un auteur avec cette finesse dans ces images poétiques et surement capable de composer des proses magnifiques. |