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Poésie contemporaine
Fanch : Eldorados
 Publié le 12/04/16  -  7 commentaires  -  808 caractères  -  149 lectures    Autres textes du même auteur

Une humanité jeune et un temps dérisoire de vie doivent être compensés par l'espoir en des lendemains éloignés de cette "humanité".


Eldorados



De quels Eldorados nous viendrait l’espérance
Que notre vie déroge à ses tristes soupirs
Pour inspirer l’envie et les pas d’une danse
Qui ne laisserait plus la peur nous asservir ?

On ne les trouve pas aux confins des nuages
D’un ciel imaginaire aux airs de paradis
Mais bien dans l’essentiel de tant de paysages
Que la conscience, seule, entrevoit et prédit.

Penser et deviner ainsi qu’il est une âme
Inquiète et pourtant fière, à force et à dessein
De voir l’humanité à peine en son entame
Tendre vers l’horizon d’un prodigue destin !

Savoir, là, que l’esprit de nos êtres mortels
Se trouve galvaudé par leurs temps dérisoires
Pour mieux s’offrir enfin aux rêves éternels
Et dire l’idéel des tracés de l’Histoire…


 
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   StayinOliv   
17/3/2016
 a aimé ce texte 
Pas ↑
Votre poème est assez confus de part le message que vous voulez exprimer et de part sa forme. En effet il manque cruellement de ponctuation, ce qui n'aide pas à bien séparer vos vers et vos idées. Je n'ai pas bien compris vos images, la majorité des vers sont pour moi incompréhensibles ( les deux dernières strophes surtout ). A clarifier !

   Mauron   
27/3/2016
 a aimé ce texte 
Un peu ↓
L'ensemble me semble un peu ronflant et confus, les alexandrins "tournent" bien, mais à vide à mon sens. Ça ronronne mais le propos est très général, assez vague, trop "noble" pour être vraiment ressenti. Que signifie, par exemple "l'essentiel de tant de paysages"? Ce mot "essentiel" semble être là pour "faire nombre", il est abstrait et porte peu de sens, en tout cas, ici. Enfin, le "ainsi qu'il" est à la fois une cheville classique dans la poésie du XIXème et un mot au sens ambigu ici, qui ne permet pas de bien comprendre le sens de la strophe. Faut-il entendre "ainsi que" (comme)? Ou bien "ainsi, qu'il est" (donc, qu'il y a)? Certes, un poème se doit d'être polysémique mais peut-être pas à travers des ambiguïtés ou des maladresses syntaxiques.

   Lulu   
12/4/2016
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Bonjour Fanch,

j'ai souvent du mal à entrer dans vos vers. Ici, il en est à peu près de même, mais je suis plus satisfaite que d'ordinaire, y saisissant quelques images et de la douceur après vous avoir relue plusieurs fois. En effet, à l'abstrait - ou aux idées purement abstraites - s'ajoutent des choses bien concrètes, comme "les pas d'une danse" que l'on peut se représenter et sur quoi l'on peut s'appuyer. En fait, pour que cela fonctionne, il faut bien équilibrer le concret et l'abstrait, il me semble. Sans cela, cela devient difficile pour le lecteur.

J'ai bien aimé vos deux premiers quatrains pour les images, leur questionnement. Je trouve "On ne les trouve pas aux confins des nuages / D'un ciel imaginaire aux airs de paradis" bien fluide, ce qui me plait beaucoup.

Les deux derniers quatrains me semblent plus complexes que les premiers, moins fluides, même si on parvient aisément à les comprendre.

En tout cas, je salue votre travail. Persévérez pour notre plus grand plaisir...

   Robot   
12/4/2016
 a aimé ce texte 
Bien ↓
Si dans sa forme ce texte est contemporain, dans sa rédaction il me paraît écrit comme il y a deux siècles. Aussi bien pour ce qu'il exprime que pour l'idée à transmettre.
Ce n'est pas déplaisant mais une écriture réellement classique ou néo classique aurait mieux convenu me semble-t-il ou alors se saisir d'un langage d'aujourd'hui dans une poésie libre assumée.

   Vincendix   
12/4/2016
 a aimé ce texte 
Bien ↑
Bonjour,
Je me demande pourquoi ces vers ne sont pas, à mes yeux et à mes oreilles, enthousiasmants. C’est d’ailleurs le cas pour beaucoup de vos poèmes, ils sont pourtant bien construits et chacun délivre un message.
Peut-être une certaine rigidité, un manque de chaleur et surtout, à mon avis, quelques « fausses notes ».
Par exemple, dans le dernier quatrain, le premier vers et le dernier seraient peut-être plus harmonieux en remplaçant « savoir, là, que l’esprit» par « concevoir que l’esprit », remplacer « et dire l’idéel « par « affirmer l’idéel ».

   Teneris   
13/4/2016
 a aimé ce texte 
Beaucoup ↑
J'ai énormément apprécié l'harmonie de ces vers, leur fluidité sonore portée par un rythme impeccable qui m'a véritablement transporté... au point que je n'ai commencé à m'attacher au sens qu'après plusieurs lectures. Sens pourtant fort et joliment esquissé !

J'ai particulièrement aimé l'avant-dernier vers, l'allitération en « r » habilement adoucie par des sons plus fluides soulignant cet élan dont chaque mot semble se faire l'écho. La césure est également fort habile, posant un son puissant comme un tremplin vers les « rêves éternels ». Le dernier vers est également admirable, son effet miroir, magnifié par l'assonance et par la double allitération, mirant brillament son sens, entre passé et avenir. Le reste du poème m'a semble très fluide et harmonieux, sauf peut-être le huitième vers qui, bien que très agréable, me semble légèrement en-deçà des autres.

   FABIO   
16/4/2016
 a aimé ce texte 
Un peu ↑
Le deuxième quatrain me parle pour le reste c'est confus, le sens
part dans tous les sens....


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