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Johannes
30/8/2016
a aimé ce texte
Bien
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Il est évidemment dangereux de reprendre le titre d'un célèbre poème de Baudelaire.
Les comparaisons du crépuscule à la vieillesse et de la nuit à la mort sont usées jusqu'à la corde. Ceci étant dit, le texte se lit agréablement et ne ressemble nullement, heureusement, au "pantoum" de Baudelaire. Je" ne comprend pas bien, au neuvième vers, "en rupture des âges". |
dom1
30/8/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bel écrit qui présente avec élégance le jour vieillissant.
Ce vers: " Les contrastes offerts à son humanité. ", me gène un peu. Je le verrais mieux ainsi: " Les contrastes offerts de son humanité. " Pourquoi ? Pour mettre en lumière le " parcours tourmenté " d'une vie. mais c'est un détail... dom |
Vincent
4/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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La mort s’annoncerait ainsi comme la nuit…
Prolongeant d’indolence une journée féconde Pour contempler le cours des heures qui s’enfuient En dévidant le fil de pensées vagabondes. bonjour, je ne vois pas du tout la mort ainsi je la vois comme un passage où nous pourrions vivre libres et désincarnés je vois aussi la vieillesse comme une longue préparation je suis d’ailleurs dans cette préparation propice à la poésie pendant laquelle nous pouvons sublmer mais vous le voyez autrement et c'est bien écrit |
Donaldo75
21/9/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Bonjour Fanch,
J'ai bien aimé ce poème: * Son rythme, lent ("est tel un soir d'été quand s'étire le jour" illustre bien cette mesure); * Ses sonorités, apaisantes, rondes; * Sa progression vers la mort. En cela, le lecteur rentre progressivement dans l'idée de la vieillesse, même si elle n'est pas son sujet majeur du moment (inutile d'être vieux et souffrant pour penser à demain). Merci pour ce moment de douceur, Donald |
Anonyme
21/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
J'aime bien ce parallèle entre la venue de la nuit et la fin de la vie imagé par quelques beaux vers : Est tel un soir d’été quand s’étire le jour et l'ensemble du premier quatrain. Peut-être que la réflexion n'est pas assez profonde, le poème aurait demandé plus d'envergure pour étayer ce fameux parallèle. Mais l'ensemble est agréable dans son ensemble de fond et de forme. |
Annick
21/9/2016
a aimé ce texte
Bien
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Un poème bien construit où la belle et juste comparaison "L’harmonie vieillissante et fragile d’une âme/ Est tel un soir d’été quand s’étire le jour..." est développée tout au long de celui-ci.
Je trouve que les phrases qui se poursuivent à chaque fois jusqu'au quatrième vers, pour chaque strophe, alourdissent un peu la forme. Cela reste néanmoins un poème agréable à lire. |
Anonyme
21/9/2016
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Bonjour Fanch
Un beau poème avec de belles images sur un sujet battu et rebattu. Cela ne m’empêche pas d’en apprécier les vers. Je regrette juste les participes présents qui allongent les phrases. J’ai manqué de souffle à voix haute. Je crois qu’il est possible de remédier à ce petit souci. Cordialement. |
Alcirion
21/9/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Fanch,
C'est bien écrit mais je ne vois pas où est le sens. Un jeune parnassien des années 1860 aurait pu arriver à un résultat assez proche. N'y voyez aucune critique, car votre forme est belle, c'est juste un sentiment circonscpect qui me saisit souvent quand je lis des poèmes en contemporaine rimée. Merci pour ce point d'accès à votre univers, même si l'essentiel m'échappe. |
Pouet
21/9/2016
a aimé ce texte
Pas
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Bjr,
Pardonnez-moi par avance mais je n'ai pas aimé votre poème. Ce n'est que mon avis hein, pour ce que ça vaut... Le ton suranné ne me parle pas, soit. Mais je regrette surtout des emplois ressassés ou banalités du type "un soir d'été", "rouge flamboyant", "belle saison", "douce fraîcheur", "cours des heures", "pensées vagabondes" etc etc etc... Je pense que je pourrais citer le poème en son entier. J'ai l'impression d'avoir déjà lu cent fois ce poème. Cela se lit certes mais pour ma part je n'y vois vraiment guère d'intérêt. Désolé. |
plumette
21/9/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Fanch,
A la première lecture, j'ai été gênée par le fait que chaque quatrain est une phrase complète.Je m'aperçois ainsi, par comparaison avec d'autres lectures que j'ai plus de facilité et de plaisir avec les phrases courtes. le rapprochement vieillesse/ crépuscule, même s'il est commun est traité ici avec de belles images, l'approche de la mort n'est pas angoissante, c'est peut-être ce que je retiens de ma lecture. Merci pour ce partage Plumette |
Proseuse
21/9/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Merci Fanch
C' est vrai que j' ai un peu de mal avec les poèmes "classiques" et rimés ! votre texte n' est donc pas à lui seul en cause , mais aussi mon .. confort de lecteur !! :-) Votre texte est beau et fait dans les règles de l' art sans doute ( je ne suis pas experte !) mais voilà , pour moi, il lui manque le petit quelque chose qui fait vibrer le coeur .. je crois, qu' en fait, je ne perçois pas vos émotions dedans ( ou pas assez!) et je me dis que peut-être parfois, la recherche de la "perfection" au sens prosodie du terme peut altérer le sujet et perdre en sensibilité ? enfin, je ne sais pas bien, c' est un très beau poème certes auquel pourtant, il me manque ... ce p'tit quelque chose ! mais, je vous le redis, cela tient aussi de ma position de lecteur qui a besoin sans doute que quelque part .. on le "titille" un peu ! :-) Merci à vous pour ce partage |
MissNeko
21/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une belle lecture : les vers glissent, les mots se suivent en créant une atmosphère entre calme et douceur. Pourtant le fond du poème est grave. J ai beaucoup aimé même si certaines images sont certes un peu déjà vues.
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Anonyme
21/9/2016
a aimé ce texte
Bien
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Les âges de la vie comparés à des saisons, le crépuscule à la vieillesse, la mort à la nuit profonde ; les poésies ne manquent pas à ce propos.
Celle-ci est dans l'esprit. Pas doriginalité spécifique mais de belles images. |
Vincente
21/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonsoir Fanch,
Votre poème est accordé à son évocation, l'harmonie de sa formulation apaise sans heurt les idées sombres qui traversent l'âge avancé, en contemplation à la lisière de la mort. "En allongeant le temps qu’un crépuscule enflamme Sculptant la silhouette des ombres alentour." (J'aime beaucoup ces 2 vers) On sent toute la sérénité qui irrigue cette méditation. Vous en parlez sous une forme impersonnelle, comme l'attitude d'une évidente généralité et pourtant, c'est bien votre expérience qui imagine ces mots. Chacun ne se mettra pas naturellement dans votre disposition pour regarder sa fin de vie, voyons donc cette invitation comme une proposition bénéfique pour aborder nos derniers jours. Et comprendre ainsi sa vie en "journée féconde". De l'humilité émane en filigrane sous chacune de vos lignes, dans une forme claire, dans votre regard éveillé, dans votre humanité simple et poétique. Merci pour ce beau texte. |
Marite
24/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Une belle sérénité émane de ce poème. Le dernier quatrain me plaît tout particulièrement car c'est un peu de cette façon que j'aimerais pouvoir achever mon parcours ici-bas. Je sais qu'il n'est pas dans l'air du temps de se poser ainsi et pourtant, qui sera épargné ? Alors, n'est-ce pas un privilège que de pouvoir, dans la dernière ligne droite,
" ... contempler le cours des heures qui s’enfuient En dévidant le fil de pensées vagabondes." Merci Fanch d'avoir évoqué ce thème de façon si sereine. |
Evitanteanonym
25/9/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Merci pour cette harmonie du soir qui décrit avec respect la sagesse que peut acquérir une âme vieillissante. Votre poème nous permet de voyager avec cette âme et me donne encore plus envie de choyer nos aïeuls. Merci encore.
Au plaisir de vous lire. |