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Poésie contemporaine
Fanch : La vie d'en ville
 Publié le 26/06/14  -  6 commentaires  -  906 caractères  -  155 lectures    Autres textes du même auteur

Les mouvements humains donnent le sentiment d'une errance… Sont-ils aveuglés par les "feux de la ville" ou savent-ils s'inspirer du doute pour "découvrir" l'essentiel… ?


La vie d'en ville



J’aime la vie d’en ville et les âmes passantes
Qui s’en vont et s’en viennent au hasard des chemins
Tracés par l’imprévu des rues qu’elles arpentent,
Espérant y trouver raison à leurs desseins.

Ainsi naissent les songes auxquels on se raccroche
Dans la clarté des feux brûlants d’urbanité
Qui offrent l’illusion d’une nouvelle Antioche
Pour être d’exception, empreint d’édilité.

Dans l’au-delà pourtant d’attrayantes lumières
Se plaisent et sévissent quelques entités sombres
Qui savent agiter les peurs qui nous altèrent
En déni des fortunes cachées sous les décombres.

Et pour demain rêver d’équilibre des choses
En ruinant les chimères d’un trop-plein d’abondance
À l’écart de la haine et ce qu’elle suppose,
Il est de l’incertain comme d’un doute immense

Qui laisse dériver au cours de l’espérance…


 
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   Miguel   
14/6/2014
 a aimé ce texte 
Bien
Un peu de Baudelaire dans ce blues urbain, et des vers ma foi agréables, faciles à dire, ce qui est une qualité, avec de belles et puissantes images. Le vers 8 me paraît plus faible ; dommage aussi, la non alternance des rimes masculines-féminines dans les strophes 3 et 4 ; je sais bien que le néo le permet, mais si le classique le condamne ce n'est pas pour embêter les gens.

   newman   
26/6/2014
 a aimé ce texte 
Bien ↑
bonjour,

j'aime bien le début du poème (1ere strophe) qui pose immédiatement la situation et le sujet traité.

la suite se lit agréablement mais la dernière strophe est pour moi moins empreinte de poésie.

à l'écart de la haine et ce qu'elle suppose
il est de l'incertain comme d'un doute immense

ces deux vers ne sont pas très mélodieux,mais bon....

   Francis   
26/6/2014
 a aimé ce texte 
Beaucoup
la ville et ses passants, le pas pressé . La ville et ses néons, ses vitrines. La ville et son univers chimérique du paraître, de l'avoir.
La ville et ses contrastes d'ombres et de lumière...
Des images que j'ai rencontrées sous ces vers .

   Anonyme   
26/6/2014
 a aimé ce texte 
Bien
Salut c'est TOTO

La ville tentaculaire, la pieuvre urbaine.
Après les deux bonnes premières strophes, TOTO s'est perdu
en route comme dans une forêt sans boussole.
De quoi parle l'auteur, TOTO aimerait le savoir ?
Savoir aussi que des entités sombres sévissent dans l'au-delà
fait froid dans le dos de TOTO.
Brrr ! il ne se promènera plus dans les rues comme avant.

   ikran   
26/6/2014
Salutation,

j'ai beaucoup aimé

mais je regrette un peu que ce soit de la poésie contemporaine car, à quelques réagencements près, on pouvait obtenir un beau poème classique ou néo-classique.

vous parlez très bien de la ville et de ses problèmes.

   margueritec   
28/6/2014
 a aimé ce texte 
Bien
Je ne suis pas certaine d'avoir saisi ce que vous vous vouliez exprimer. Mais la musique un peu XIX° de votre poème m'a bercée et j'ai dérivé dans cette ville où j'ai reconnu les "entités sombres" et rencontré les "peurs.


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