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Anonyme
15/1/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Alors moi j'aime bien les chansons du terroir et plus c'est celtes plus ça m'intéresse. Ici un langage poétique soigné, un dessin landais précis sous l'oeil de l'auteur. J'aime les regards particuliers. J'aime aussi les "sommes-nous" qui associent l'homme à sa terre.
Un bon ensemble. "Sommes-nous de ces lieux à la beauté trop sombre Qui nous diraient pourtant qu'on se meurt d'artifices Aux lumières nourries de la terreur de l'ombre Et qu'il reste à trouver en de nouveaux solstices" |
thea
15/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup
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bravo cher auteur pour ce poème bien rythmé qui nous emmène au sein de la terre, notre terre...
quelques mots pour dire nos maux, ce trop plein d'artifices..il y aurait eu à dire encore mais peut être vaut-il mieux rester sur sa faim. j'ai beau chercher je ne peux avoir de préférence. d'un quatrain. j'apprécie ce poème superbe, le fond..et quant à la forme il a gardé sa liberté de ressenti..et je pense que c'est bien. |
Marite
23/1/2011
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Questionnement avec des mots et images simples mais choisis. Rien ne m'a dérangée à la lecture, le rythme est régulier. Il me laisse seulement une impression d'inachevé. J'aurais aimé y trouver, à la fin ne serait-ce qu'un début de réponse ...
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Anonyme
27/1/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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un joli poème au rythme mélodieux. Aucune accroche, c'est fluide comme de l'eau de source. Le thème de la nature, l'odeur de la terre, a ici une touche originale. Entre une nature authentique et une nature fabriqué par la main de l'Homme pour la survie de la Terre, peu importe ici les images nous offre une belle photo. Une certaine force émane de ce poème. Pour le côté technique j'y connais rien des formes classiques et néo- mais juste que je n'ai pas détecté de hiatus, ça au moins je comprends ce que c'est, peut-être "terre aride", mais je vais m'arrêter là et laissé les connaisseurs en parler.
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Anonyme
27/1/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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Salut Fanch ! Une lecture bien agréable où les vers s'enchainent sans le moindre accroc... Un détail m'a cependant frappé, le quatrième vers du premier quatrain. Ne valait-il pas mieux employer "qu'on ensème . A moins que ça ne soit les herbes rares ( que je vois plutôt sauvages en jachères) que l'on sème ?
J'avoue ne pas avoir la réponse... pour l'instant. De jolis vers formant de belles images pour un thème que j'ai malgré tout quelque mal à cerner... |
Chene
27/1/2011
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Bonsoir Fanch
Si je suis plutôt séduit par le thème et le sens de ton poème, je n'en dirais pas autant pour les approximations orthographiques et de ponctuation et également pour la surabondance de certains pronoms relatifs. "Sommes-nous d'une terre aride et sans mystère Ou ne sauraient germer que quelques herbes rares, Ce "Ou" ne serait-il pas plutôt un "Où" ? Le doute sur l'accord de "que l'on sème" est également permis, même si l'on peut concevoir syntaxiquement qu'il s'accorde avec "son étendue", mais le sens ne colle pas trop... On sème plutôt des labours et non une "étendue d'improbables jachères". Quant à la ponctuation, juste un rappel : les doubles ponctuations sont toujours précédées d'une espace ; il en est ainsi du point d'interrogation. (exemple : au hasard? ---> au hasard ?). De plus, je ne suis pas fan du tout de ce genre de multiple ponctuation (surtout en classique et en néo-classique) : la lande est matrice…? Je ne vois pas ce qu'elle a de poétique... ni ce qu'elle apporte en terme de sens sur le questionnement. De plus la surabondance des "qui, que, quand, que quelque... " apporte beaucoup de sonorités dures et un phrasé plus commun que poétique. Enfin quelques rimes approximatives : "rares" (son ouvert) et "hasard" (son fermé) ; "édens" et "entrain" ne riment pas. En conclusion, si le thème m'a intéressé, les imperfections relevées me semblent trop nombreuses pour un ressenti positif. Avec l'espoir de te relire dans un poème plus abouti... Chene |
Anonyme
29/1/2011
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'ai apprécié ce questionnement qui, me semble-t-il, tente par moments de faire table rase des clichés concernant la terre où l'on nait, pour ne retenir qu'une épure.
Le deuxième quatrain, hélas, souffre d'une rime vraiment approximative (édens/entrain). Ce "sans entrain" est d'ailleurs, à mon avis, assez peu poétique, trop commun, disons. malgré tout, un moment de lecture bien agréable. joceline |
David
4/2/2011
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Fanch,
J'aime bien ce vers : "Aux lumières nourries de la terreur de l'ombre" J'ai un peu ris, pardon, en me disant que pour faire rimer "edens" et "entrain" il fallait prononcer la fin du premier comme celle de mot à l'orthographe voisine tels "doyens" et "moyens". Mais "édens" se prononce "édenne" à moins que ce ne soit pour évoquer ce paradis perdu, jusque dans sa prononciation. Il y a une grande cohérence du sujet, le poème forme un tout sans se perdre, un sens de la chute aussi. |