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Pluriels1
26/10/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Toute une danse dans le rythme court (et voulu) des 1/2 vers qui donnent leur souffle à ton poème.
Un bonheur à toucher à portée (musicale) de mains. J'aime beaucoup les 1ers vers de chaque strophe pour leur rendu sonore et qui, en ouverture, lancent les suivants. |
jaimme
26/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Je suis revenu plusieurs fois avant de me décider à commenter.
C'est la répétition du "de" qui me gêne beaucoup. Car dire à une femme qu'elle est "de" femme, "de" cœur, "d"'harmonie, etc. c'est indiquer qu'elle est de cette catégorie, de ces catégories. C'est lui refuser le statut d'unique. C'est lui trouver des qualités que l'on trouve chez les autres. Ce n'est donc pas l'aimer pour elle-même. Et je trouve, qu'en plus, la musicalité en souffre. Et pourtant il y a du souffle, de l'amour dans ce beau poème. J'aime: "Des paysages qu'elle enflamme Quand leurs saisons se font d'ennui" "Des combats où l'on rend les armes Quand le martyr devient sublime." et la quatrième strophe, qui peut, à mon avis, est comprise selon plusieurs angles. et la fin, bien sûr. Voila pourquoi j'ai hésité à commenter. |
Marite
26/10/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Bonjour Fanch Le titre m’a attirée mais je trouve que la grande régularité des rimes et du rythme ne correspondent pas au ressenti d’une passion. Trop de raisonné dans ce poème alors que la passion fait fi de la raison, du moins je le crois .. ? Au final la forme est inadaptée au fond. Rassure-toi, ce n’est qu’un avis très subjectif. Je pense que c’est un texte qui a été très travaillé, peut-être trop. Ce n’est pas si aisé d’associer le rythme, les rimes et ce que l’on souhaite partager. Peut-être Fanch aurait-il dû se libérer des entraves imposées par la forme classique ?
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Anonyme
26/10/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour,
Cet inventaire qui tend à décrire, qualifier la passion ne m'emballe pas. Pourtant certaines choses me semblent agréables comme : "Quand il ne nous est plus d'amante." "Elle est d'un temps, elle est d'absence, Des instants bénis de l'attente" Mais pour le reste je ne trouve pas l'élan que devrait susciter la passion, ni dans le verbe ni dans le dire. Personnellement la redondance des "de" et le caractère litanique dans "elle est de" m'a véritablement ennuyée. Une autre fois certainement. |
wancyrs
26/10/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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la passion est juste "de femme" ? je ne comprends pas très bien le sens ; à moins que tu fasse allusion à l'article qui l'accompagne...
Je n'ai pas aimé juste une chose :"de cet albatros qui s'élève" qui pour moi fait trop cliché et inutile dans ces vers assez pensés. J'ai aimé assez l'allusion à Chimène, et tout ceux qui ont lu "Le Cid" de Corneille comprendraient. Je suis d'accord lorsque certains parlent de passion comme emportement, donc pas cartésien ; mais après la passion, comment peut-on décrire ces moments ? de façon cartésienne ou bien dans un imbroglio total ? merci Fanch pour ce texte. |
Lapsus
26/10/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Des variations sur la passion qui, par moments, ne manquent pas de lyrisme, par exemple
"[la passion] de Chimène en son dilemme, Quand l'honneur est raison du glaive" est bien placé. Quand je lis des vers rimés, je m'attends à trouver en tout temps le minimum syndical. Faire rimer harmonie et ennui n'est, outre leur nature féminine/masculine, pas suffisant, il aurait probablement été possible de construire quelque chose d'intéressant avec monotonie, dont le sens est proche. "Des combats où l'on rend les armes Quand le martyr devient sublime" Je subodore que c'est le supplice qui devient sublime et non celui qui l'endure, en ce cas il faut écrire martyre. |
colibam
26/10/2009
a aimé ce texte
Un peu ↓
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Un poème sur la passion qui me laisse plutôt froid alors qu'il devrait m'embraser les neurones.
Si certains ont apprécié la construction des premiers vers de chaque strophe, je trouve pour ma part que cela alourdi l'ensemble, sans doute à cause du « de » que je trouve maladroit (je rejoins sur ce point le commentaire de Jaimme). Je ne suis malheureusement pas parvenu à rentrer dans l'âme de ton poème, sans doute principalement à cause du style que tu as choisi pour décrire la passion, trop terne à mon goût. Les mots et expressions manquent de fougue, de pétulance. La passion, qu'elle soit dirigée vers une activité ou une personne, un pays ou tout autre chose, est un flot impétueux qui submerge, embrase, exalte les sens et la plume. Et je ne retrouve pas dans les parfums de tes vers la fougue qui devrait accompagner l'expression de la passion. C'est le principal reproche que je formule à l'encontre de ton poème. J'ajouterais un petit bémol au niveau de la rythmique ou de la construction des vers suivants : « Des combats où l'on rend les armes » « Quand il ne nous est plus d'amante » |
bulle
26/10/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Des octos sautillants, pour faire danser la vie ?
(c'est la vie que je ressens plus que la passion) J'aime la rythmique... mais j'ai du mal à associer la cadence au fond.. Quelques sons maladroits (le "de" en répétition, déjà signalé), ou "Quand l'honneur est raison" les rrrr sont un peu abrupts à mon oreille.. En fait, j'entends une petite ritournelle que j'ai eu plaisir à découvrir tout de même.. |
Anonyme
27/10/2009
a aimé ce texte
Un peu
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j'entends la musique mais je n'arrive pas à m'envoler.
Après le premier quatrain je m'attendais à partir, à m'élancer, comme le laisse deviner l'horizon que tu évoques, mais non, je retombe sur un autre départ et ainsi de suite, ainsi de suite, c'est dommage... |