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jaimme
28/8/2009
a aimé ce texte
Beaucoup
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Qu'il me soit... permis de te dire que j'ai été très touché.
Et à tous les niveaux de lecture. Tout de suite ce qui m'a semblé être défauts. Ces deux vers: "Des chambres et des couloirs que la blancheur habille ... Au tempo dissonant de nos pensées en vrille". Pourquoi? Dans un poème aussi magnifique les rimes "ille" peut-être. C'est vraiment au niveau du ressenti. Mais laisse, c'est vraiment rien. Tout le reste... est splendide. Musicalement, en acoustique, je suis enthousiasmé. Le choix des mots montre une recherche très poussée, mais ton art ne montre aucune ficelle. Cette nostalgie, ces désespoirs, cet espoir... Cette délicatesse. J'ai adoré:"Ou d'un dessein fragile un sublime vouloir" (et bien d'autres) Bravo. Et surtout merci. Je reviendrai te lire. |
Anonyme
28/8/2009
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Bonjour,
Je trouve ce texte très bien écrit mais, et cela vient sans doute de moi, je n'ai pas éprouvé grand chose en le lisant. Par ailleurs, il manque à mon sens d'images fortement évocatrices, il se situe plus à un niveau de réflexion qu'à un niveau d'émotion ou d'images. En tout cas, c'est ainsi que je l'ai perçu, mais je peux fort bien me tromper. Mais, pour cette raison même, c'est la dernière strophe, contrairement à l'ami Jaimme, qui emporte mon adhésion car là, je peux "voir" ce que tu écris et c'est ainsi que je conçois pour ma part la poésie (et le côté peut-être moins "parfait" question sonorité est me semble-t-il en parfaite adéquation avec cette période de la vie). Mais c'est vraiment très personnel et je n'ai pas de qualification particulière pour en juger. Donc je m'abstiendrai de noter et je te souhaite une bonne continuation. |
Anonyme
28/8/2009
a aimé ce texte
Bien ↑
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Va savoir pourquoi, tout au long de ma lecture (mes lectures : je l'ai relu plusieurs fois), j'ai eu en tête la chanson de Brel "il nous faut regarder".
Une très beau texte dès le matin, j'aime ça. Ce poème doux-amer est touchant, mélancolique, comme une bruine de fin d'été. Et en même temps puissant dans sa manière d'évoquer en peu de mots des émotions universelles et intenses. J'aime un peu mieux la dernière strophe, moins forte et moins réussie que les autres sur le plan rythmique et du vocabulaire choisi. Belle lecture, merci. |
brabant
26/5/2010
a aimé ce texte
Beaucoup
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Votre texte va du "+" au "-", s'enfonce dans le sombre... pour finir dans la renonciation.
Str. 1: REVES... les fées ne sont-elles pas par essence de l'outre-monde? Str. 2: SENTIMENTS: bon travail... Str. 3: TEMPS QUI PASSE: bel ouvrage... Str. 4: ANGOISSES: belle ouvrage... Conclusion: De toute façon on n'y peut rien. Il faut subir. Pourquoi ne pas avoir suivi cette progression dans la ligne de présentation? Vouliez-vous savoir si l'on était attentif? Gredines et gredins! 1: vie/mirage égalent contes, balivernes. 2: amitié/larmes égalent efforts malhabiles. 3. destin/dessein égalent échecs. 4. Tout est cacophonie. 5. Rien à faire. Poème essentiellement pessimiste dit sur un ton enchanteur et une musique enchanteresse. La parure ne fait pas la belle au bois dormant mais celle du bois dormi. Pessimisme profond. Problématique existentielle de caractère sartrien: absence de Dieu. Votre texte a l'habillage contraire de ce qu'il dit. "soit... reste... demeure..." égalent immobilité. D'accord... "viennent..." débouche aussi sur l'inanité de l'action. Tant pis pour nous... Je vois ce poème comme une "vanité", séduisante nature morte des XVIIè/XVIIIè S. où le ver est dans le fruit, fruit superbe dans sa maturité qui porte en lui son pourrissement et sa fin. Tout cela est dit avec une grande élégance. Mais, si l'optimisme n'est pas permis, n'y a-t-il vraiment aucune place pour un juste milieu où l'on situerait "l'honnête homme"? Candide après avoir été confronté à un pessimisme fondamental ne s'en est-il pas retourné cultiver son jardin? Vous me direz qu'on se contentait de jus de chique comme pesticides au XVIIIème siècle et vous aurez raison. Aussi cloué-je là mon bec de commentateur... |
FIACRE
29/8/2009
a aimé ce texte
Bien
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Mélodie en demi teinte qui porte un bilan mélancolique. J'ai juste " buté " sur le " zeste de destin " malgré son allitération heureuse.
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