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Miguel
3/1/2014
a aimé ce texte
Bien
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Une expression un peu tortueuse dans l'ensemble, qui fait qu'on a parfois du mal à suivre cette pensée. D'ailleurs, pour une pensée qui meurt, elle est un peu vive et virevoltante. Mais il y a quelques vers bien frappés, quelques belles images, et une tonalité en mode mineur qui n'est pas sans émouvoir. On pense aux mots de François Mitterrand : "Je crois aux forces de l'esprit et je ne vous quitterai pas."
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Arielle
3/1/2014
a aimé ce texte
Un peu
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J'ai beau lire et relire votre poème, Fanch, je dois m'avouer vaincue. Au delà des deux premiers vers, la profondeur de votre pensée devient trop touffue pour moi et quasiment inextricable. J'en suis vraiment désolée parce que je devine qu'elle vous tient à coeur mais franchement je ne vois pas du tout où se situe
"(ce) monde secret des rêves épuisables Au souffle généreux de trop d’aménités." Je vous suivrai mieux une autre fois, peut-être. |
Robot
3/1/2014
a aimé ce texte
Bien ↓
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Dommage que trois vers rompent le déroulement en alexandrins (excellents). Comme quoi, le choix du libre ou du contemporain n'est pas forcément plus simple quand il ne rompt pas suffisamment avec la structure classique ou néoclassique.
Ce n'est pas la complexité de la pensée qui m'a gêné, car chaque vers en lui même est compréhensible. Entre ce que disent le titre et le premier vers: "pensée qui meurt" alors qu'au final l'auteur laisse à penser que cette pensée est "en forces immuables." J'ai du mal à assimiler la contradiction d'ailleurs soulignée dans l'incipit qui parle de pensée immortelle. |
Anonyme
3/1/2014
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Bonjour
J'avoue humblement avoir attendu quelques commentaires pour m'éclairer et me situer sur cette pensée qui meurt n'ayant pas compris grand chose à ce que l'auteur voulait nous dire. Quelques beaux vers effectivement mais qui me semblent tomber comme des cheveux dans la soupe. N'ayant pu pénétrer entièrement ce texte je m'abstiendrai de mettre une appréciation car je me sens passer à coté. Bien à vous. Hananké |
Anonyme
3/1/2014
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Malgré une attention toute particulière je n'ai pas su définir le fond réel de ce texte.
Certains vers dont le sens m'échappe totalement : " L’âme que l’on effleure a su nous ennoblir." " Sans avoir à bâtir de vaines cathédrales. " " Au souffle généreux de trop d’aménités. " |
Marite
4/1/2014
a aimé ce texte
Beaucoup
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Difficile en effet de mettre en mots le ressenti que l'on éprouve à la lecture de ces vers. J'ai lu plusieurs fois ce poème et à à la fin je pense "oui, c'est tout à fait cela".
Le thème s'attache davantage à l'intuitif et donc peut désarçonner la compréhension. " Une pensée qui meurt s'attache aux souvenirs ... Car elle sait se nicher au coeur des éphémères ... Toujours elle dévoile, cahotante et bancale Vivace et libérée ... l'intime d'une vie Elle se plaît et demeure, en forces immuables ... Dans le monde secret des rêves inépuisables ..." En ce qui concerne la forme, j'ai apprécié la fluidité des vers et le rythme sauf : " Pour devenir le germe éternel, que déterrent Pourtant ces abandons que les doutes inspirent." La répétition de "que" alourdit l'expression. |