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Lebarde
14/4/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Ces anonymes de la musique découverts au détour d’un trottoir ou d’un couloir de métro, dans un square: accordéoniste, violoniste, guitariste, trompettistes, flûtiste, pianiste, ils n’ont pas toujours le talent attendu, mais qu’importe “ces humbles compagnons” sont là pour apporter la vie et l’émotion.
Un joli sujet plein de charme, une écriture d’une belle poésie et élégance qui me séduit. Bravo. Est il bien dans le thème du concours? Chacun appréciera. Dommage que l’expression et la syntaxe desservies par l’absence de ponctuation soient parfois un peu confuses et rendent le propos difficile à suivre. Rien de grave, un ressenti tout à fait personnel de ma part. Bonne chance pour la suite. |
BlaseSaintLuc
21/4/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime un peu
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Bonjour, je me suis d'abord cru dans le métro, à la découverte des artistes qui s'y produisent, le rapport avec le dessin des chaussons ne se faisant qu'en chemin et réellement que sur la fin. Je trouve le texte bien fait, mais perdu en route vers Wagram dans les souterrains d'une pensée qui s'égare au gré des stations RATP.
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Provencao
30/4/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Plusieurs lectures pour mieux m'approprier votre poésie. J'y ai lu un véritable sens de l’échange : de ces humbles compagnons.
Un sens de l'échange qui revêt la forme d'une praxis : on ne retrouve pas dans votre poésie la maîtrise des moyens en vue d'une limite, mais la métamorphose sans fin du sujet choisi et du sens à donner en lui-même: un sens qui n'est autre chose que son "échappée". Une échappée qui se délie de ces rêves dansés, pour devenir elle-même: ces humbles compagnons avec les uns avec les autres... |
Pouet
30/4/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime bien
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Slt,
c'est "la poussière diapason" du début qui m'a interpellé, je me suis demandé le rapprochement qu'on pouvait en faire, moi je comprends que le diapason représente la justesse et la poussière l'infime, et j'en tire la conclusion que ce sont les petites joies qui font la vie plus que les grands bonheur. Nous sommes en souterrain, où va donc pouvoir s'échapper la musique ? J'ai pris ce texte comme un hymne à l'émerveillement, une ouverture à la beauté, ou comment s'évader d'un lieu par l'esprit. Il y a aussi cet esprit de "boucle" et d'échos, les musiciens se répondent comme les pas des autres, la danse du quotidien. J'ai apprécié cette déambulation basée sur la surprises de la rencontre, le chemin est balisé par les notes et les empreintes évanescentes. Merci. |
Robot
30/4/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Un regard arrêté sur ces musiciens anonymes qui animent des lieux à priori peu faits pour l'écoute. Cependant, ils les illumine de leur ferveur intérieure, sans être sûr d'être entendu et vu par les passants tout aussi anonymes.
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Corto
30/4/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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Bravo pour l'originalité. Ici ni porte ni portail, mais bien un "arrêt sur image" que l'on peut rencontrer à l'improviste.
On sent le narrateur à l'écoute de ce qu'il découvre sans le chercher et bien des formules sont originales. Ainsi dès le début le premier quatrain creuse l'intime qui plus loin sera précisé par "Dans nos cheminements, qui ne les a croisés". Les musiciens défilent sous nos yeux, jusqu'à refléter "nos douleurs et fige nos entrailles". Tant de musique approche le trop plein, mais au final "le danseur exprime en volupté"... On voit et on entend cette scène envoûtante. Bravo. |
papipoete
1/5/2024
trouve l'écriture
aboutie
et
aime beaucoup
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bonjour concurrent
en voilà un sujet dont il ne me semble pas, qu'en poésie l'on évoqua souvent ? entre ce violoniste et un autre au bandonéon, devant un commerce, dans un couloir du métro, tout-au bout d'une passerelle, où chante une demoiselle dans le froid d'une bise cruelle. NB la 5e strophe est fort touchante, avec ce balcon plus loin sur une fosse d'orchestre où l'anonymat recouvre l'ensemble, si ce n'est ce soliste auquel le chef donne son la. anecdote que ce vagabond devant une vitrine ; il grattait sa guitare, sans plaquer le moindre accord ! j'en souris, mais lui demandai " ne pouvez-vous tenter un air ? " sinon, j'aime bien l'allure de votre poème, qui j'espère visera une bonne place ! |
Donaldo75
12/5/2024
trouve l'écriture
convenable
et
aime un peu
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Je ne suis pas spécialement fan de ce poème dont le fond est transporté par de la description, une forme narrative que je trouve souvent trop documentaire. Ceci étant dit, l’ensemble est agréable à lire ; c’est dommage que j’ai quand même plus l’impression de lire un texte du concours lancé par la RATP (je ne dis pas que c’est le cas, entendons nous bien) que du concours numéro trente-cinq du site Oniris (pas celui anti-ronflements).
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