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Anonyme
6/6/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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Le thème n'est pas ce qui me botte le plus, l'écriture est limpide mais sans guère plus de recherche que cela. Dommage acr le sonnet est maîtrisé. C'est l'un des premiers poèmes classiques (purs) que je lis sur Oniris, pour cela merci.
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David
6/6/2008
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Fattorius,
Bravo pour les anachronismes, le sonnet d'internet, des mots comme "clavardage" et "blog", "clic" et "scoop", il y a de la virtuosité. Pour le fond je n'y trouve pas mon compte, je connais ce couplet sur une virtualité/réalité à laquelle je n'adhère pas. |
strega
6/6/2008
a aimé ce texte
Bien ↓
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Ben... je n'ai pas accroché non plus. Je comprends le besoin de dire certaines choses sûr internet, mais les dire dans une forme classique m'a justement un peu "gênée". En fait, peut-être j'aurais préféré voir une critique en utilisant une forme vraiment différente, plus audacieuse. Justement pour se servir du système.
Ceci dit, effectivement, le sonnet est vraiment maîtrisé, et ça, je ne peux qu'apprécier vraiment. |
Lycanthrope
7/6/2008
a aimé ce texte
Bien
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Un poème classique sur un theme moderne...pas trop fan, mais pourquoi pas =). L'écriture est maîtrisée, fluide, se lit sans trop demander d'efforts...
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Fattorius
9/6/2008
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... la grande question est en effet de savoir si la forme classique se prête au moderne. J'ai tranché, en partant du principe que le classique est justement une forme de toujours. Elle a servi pendant au moins trois siècles; pourquoi ne serait-elle pas actuelle pour dire Internet? (j'ai un autre sonnet en chantier sur le TGV...)
Pour le reste, je me suis efforcé de coller aux règles de prosodie classique: ça crée à coup sûr un rythme, une musique - le choix d'une valeur sûre, en somme. Ceux qui veulent en savoir plus se référeront avec profit au site suivant: http://www.poete.ch. |
Anonyme
14/6/2008
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Encore quelque chose que je n' aime pas trop dans le registre poétique : vouloir défendre une idée en s' astraignant à tout prix aux règles académiques, à la rime ...etc
J' aime la poésie lorsqu' elle est déjantée, libre de tout et de tous, pourvu qu' elle m' envoute. j' aime aussi les alexandrins , les octosylabes, la césure parfaite et les fautes en la matière voulues. Et maitrisées. Je sais, je suis paradoxale. Mais là , c' est le fond qui m' embête, et qu' il y ait un propos m' ennui profondément. J' ai l' impression d' entendre un slogan de manif, sans ressentir le transport que j' attends d' un poème : quelque chose de visceral, d' humain, d' animal et sexuel. Pourvu que ça chante, que j'entende une mélodie, et que ça parle à mes sens. Là, il y a quelque chose d' un exercice scolaire avec thème imposé, contraintes oulipiennes. Je vais faire comme calouet : ne pas noter, ou indiquer ma notation perso. Ce sera : pas glop pas glop. |
Anonyme
17/6/2008
a aimé ce texte
Pas
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je crois que nine a tout dit
que rajouter de plus ? ... |
ANCELLY
29/6/2008
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Beaucoup
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ah oui, alors...
Parler de bits et d'octets en vers m'intéresse particulièrement. Le manichéisme quasi incontournable entre réalité et virtualité de l'Internet est un sujet qui me gave au plus haut point. Les réponses à cette questions sont, à mon avis, toujours réductrices. Il y aurait les demeurés et autres débiles toujours scotchés à leur ordinateur... Et les autres, les "in life". Quoi qu'il en soit du fond... Dont on se moque un peu, moi en tout cas, oui ! Reste la forme de ce poème. Je ne suis pas un grand spécialiste, mais pour m'être frotté à l'art du sonnet classique, j'en connais la difficulté et suis admiratif de tout, je dis bien tout sonnet qui est un sonnet. D'aucun diront que trop de travail sur une poésie nuit à la spontanéïté, ce n'est pas toujours le cas. La spontanéïté, l'art du poète le conduisent à écrire des vers super, des vers qui émeuvent. Et puis, la lecture à haute voix révèle hiatus "honteux", diérèse "fautive" ou pied surnuméraire... Est-ce nuire à la spontanéïté que de transformer en bel alexandrin un vers de treize pieds ? Comment noter moyen ou faible un joli sonnet qui sonne bien, justement, et mettre des excellentissimes à de la prose approximativement rimée se cachant sous le terme de vers libres ? Moi, je ne peux pas... Ancelly |
Anonyme
30/12/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Fattorius
J'apprécie l'humour léger qui se dégage de cet impeccable sonnet. Et dire qu'ils se trouve encore des gens pour prétendre que cette forme poétique est obsolète. Merci pour ce démenti (lol) |
CharlesVerbaud
31/10/2012
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Un peu
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Un propos intéressant sur le décalage entre le virtuel et le réel.
Pour la forme, bien des choses à dire Toutes les rimes qui finissent pas une voyelle (on aux quatrains, ées au tercets) sont pauvres, il leur faut une consonne d'appui pour être valables dans un sonnet. Des diérèses manquantes : li-en, attenti-on, séri-eux. Aux tercets, la rime en ées féminine est apposée à la rime heure, également féminine. Le mot rien est répété (vers 4, 8, 11), de même que tout (vers 4, 6, 8, 13), comme un tic de langage, ou des syllabes pour avoir le nombre. J'aime le propos, mais ce poème est à reclasser en "néo-classique" |
Anonyme
2/3/2016
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Pas
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Ce sujet traité toujours de la même façon, n'apporte pas vraiment grand chose, n'est-ce pas à chacun de savoir doser, faire le tri, et retenir que ce qu'il l'intéresse d'Internet, est-ce que cela valait bien un sonnet, pourquoi pas, mais c'est sans conviction pour ma part.
Pour le sonnet, la forme classique a de très nombreuses exigences, quelques petites erreurs par ci, par là, mais difficile d'atteindre la perfection en ce domaine. |