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LeopoldPartisan
12/12/2016
a aimé ce texte
Passionnément
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j'aime parce que c'est moi et que c'est lui. J'aime le côté désabusé et désespérement optimiste.
L'auteur en plus ne me semble pas inconnu on verra si je me suis trompé. En hommage à feu Marcel Gotlib, j'ai remplacé l'asphalte par du fluide et çà marche... |
Anonyme
19/12/2016
a aimé ce texte
Bien
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Bien vu, pour moi ! J'ai aimé cet instant fugace, le parallèle entre la froideur dehors et le "palais dur" du narrateur. Une ambiance bien posée, je trouve,
De l’évanescence De l’existence J'ai toutefois un sérieux bémol sur la présence d'une majuscule au début de chaque vers (d'autant qu'ils sont courts), ce qui pour moi revient à faire sonner la grosse caisse "attention poésie !" pendant un petit air grêle de flûte accompagnée par-ci par-là d'un tintement de grelot... Selon moi, ça détone et ça détonne. |
SaintEmoi
28/12/2016
a aimé ce texte
Bien
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cela ressemble a un poème écrit sur un bout de nappe dans un café de centre ville un jour d'hiver.
Mais là on est au MacDo donc pas de nappe. J'aime beaucoup le côté photographique de ce texte, juste la description d'un moment, fugace et fondamental. Merci |
MissNeko
28/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour
J ai été tres agréablement surprise par plusieurs points : - vous parvenez à introduire beaucoup de poésie alors que vous parlez du Mac do Et d'un Mac Fleury. Déjà c est un exploit en soi ! - votre texte est simple mais pourtant soulève des interrogations t'elle que l évanescence des choses - vous mélangez humour et mélancolie. On passe de l'un à l autre. Ex :Humour : la commémoration de la disparition du flocon est très drôle ! Mélancolie : le parking sauvagement goudronné ( il devait y avoir des arbres à la place ...) J'aitrouvé intéressant de faire un parallèle entre l'asphalte glaciale goudronnée sauvagement et le palais dur comme l asphalte : perdriions-nous toute humanité en allant au Mac do ? |
papipoete
28/12/2016
a aimé ce texte
Bien
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bonjour Fatysky,
L'exercice périlleux d'accomoder Macdo et poésie est ici réalisé sans filet ; et ce flocon de neige qui n'en finit pas de virevolter avant de toucher le sol, fondra sur l'asphalte, accompagné par la bouche de l'auteur qui mâche, et repasse en mémoire la chute de l'ami-flocon . NB original... |
Robot
28/12/2016
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Je ne sais pas ce qu'est un Mc Flurry car je ne suis jamais allé dans un Mc Donald. Ceci dit sans a priori sur ces restaurants.
Je trouve la métaphore globale du flocon et de la nourriture fondante assez légère. Je vois un peu de poésie dans ce flocon qui fond sur le bitume. J'ai été chagriné par plusieurs choses. Trop de vers introduit par - de du d' - dont l'effet répétitif m'est peu agréable. Effet accentué par la non ponctuation à laquelle s'ajoute les majuscules en début de vers. Il me semble qu'en libre, il faut choisir entre non ponctué et majuscules conformes à la syntaxe. Ici les deux ensemble donnent une lecture peu aisée car on a tendance à s'arrêter à chaque vers. |
vendularge
28/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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Bonjour,
J'aime beaucoup cette "petite" chose en miroir inversé, un flocon de neige qui meurt c'est une vision très poétique. Je trouve ce texte très drôle, complètement désabusé aucunement désespérant (ce qui le serait, serait que ce jeune homme n'ai pas vu le flocon:) merci Vendularge |
Pouet
28/12/2016
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Bjr,
J'avais lu ce texte en Espace Lecture, plusieurs fois même, et ne savais vraiment pas qu'en penser. Je vous avoue que je ne sais toujours pas... Je commente tout de même car ici je ne suis pas tenu de mettre une évaluation, j'en serais bien incapable. Que dire alors? Je pense que c'est le Mc Do qui me bloque, alors peut-être qu'avec un Flunch, un Buffalo Grill ou un Hippopotamus, ça m'aurait pas fait le même effet... ;) C'est surtout le McFlurry, c'est particulièrement dégueu un McFlurry... Vous connaissez Berthillon? (oui je suis bobo à mes heures...) Je regrette d'autant plus ces allusions culinaires que je trouve le texte assez agréable et la métaphore filée pas mal vue, il se dégage du poème une certaine ambiance. Je salue toutefois cette "prise de risque" mais ne suis pas certain d'y adhérer, ou peut-être que si... Voilà, vous n'êtes pas plus avancé avec mon commentaire, et moi non plus. Au plaisir. |
Marite
28/12/2016
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Toujours un peu de difficulté à ressentir de la poésie avec de tels vers, hachurés, très courts. A chaque fois je reprends ma lecture comme si c'était de la prose ordinaire :
-De la fenêtre vitrée du McDonald, mon regard accompagna la chute triste d’un flocon de neige sur l’asphalte glacial du parking sauvagement goudronné ... |
Anonyme
30/12/2016
a aimé ce texte
Bien ↓
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J'ai vraiment bien aimé la partie I de ce poème. Il y a du poème zen la dedans. Quelque chose de méditatif.
Du coup, la partie II me semble presque trop bavarde même si j'aime beaucoup l'idée du flocon / ami éphémère. Après je ne suis pas sûr de comprendre le parallèle avec le McFlurry ainsi que celui de l'asphalte avec le palais. Dommage aussi pour les majuscules en début de chaque vers. Inutiles à mon sens. |
ADN
31/12/2016
a aimé ce texte
Beaucoup
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Bonjour.
Pour moi c'est un poème incroyablement brut de décoffrage; on a l'impression qu'il a été écrit d'une traite. Ce qui à mes yeux donne du rythme au texte c'est le fait que les rimes de font que deux ou trois mots maximum. Ce qui m'a marqué aussi c'est que dans la partie I "asphalte" et "glacial" sont sur deux vers différents alors que sur la partie II "asphalte glacial" est sur un seul vers. Je saurais pas vraiment expliquer pourquoi mais je trouve ça assez génial. J'imagine que c'est fait exprès. |
lucilius
3/1/2017
a aimé ce texte
Bien
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Ce qui rend ce texte plaisant, c'est son originalité. Sa concision souligne bien l'esprit de solitude et de muette contemplation qui pousse à la méditation philosophique dans un MacDo.
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