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Anonyme
20/5/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour "Ciel Joufflu" Fatysky
Votre texte a un grand mérite, celui de l'originalité. Dans l'idée et dans la présentation. L'angoisse de la mort ressentie par un androïde. Immanquablement on pense au délicieux R2 D2 de Star War. Par contre l'écriture est trop ordinaire. Trop peu de poésie. Trop de clichés style "masturbation de mon cerveau" L'évocation de Guernica n'est pas décente , les Achéens ???? La chute, "intelligence principielle et non artificielle" : trop banale. Bref. Superbe idée. Développement faible. Creusez et ressortez nous quelque chose qui a du punch. Faites-nous du Mad Max. |
Lulu
20/5/2018
a aimé ce texte
Un peu
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Bonjour Fatysky,
Je ne suis pas fan du thème, mais vous m'avez tout de même intéressée avec ce texte que j'ai trouvé juste un peu trop condensé. Dans la forme, en effet, j'aurais mieux vu des retours à la ligne pour les précisions notées entre parenthèses. Je trouve toujours dommage de mettre des parenthèses dans un poème. Pour moi, elles témoignent souvent, et c'est le cas ici, d'une difficulté à dire autrement, plus simplement, pour que l'ensemble reste fluide. J'ai aimé les rimes. Elles donnent une dimension poétique que je n'aurais peut-être pas perçue autrement, du fait du thème, peut-être... Les rimes offrent, effectivement, un rythme, une douce musique... Je n'ai pas trop aimé la formule "A côté desquels". Je trouve que cela fait trop prosaïque, mais c'est un ressenti tout subjectif. Je n'ai pas tout saisi du poème. Ainsi, dès le départ, avec "Couleurs de chair ocre", au singulier, au premier vers, puis "Couleurs de chairs ocres sur mes paupières" au deuxième vers... Je ne sais à quoi renvoient ces couleurs. Pourquoi le singulier, puis le pluriel ? Pour moi, ce poème a bien une dimension poétique au travers de sa narration, mais je le trouve perfectible. Bien à vous. |
Anonyme
20/5/2018
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Loin d'être un adepte du genre (je n'ai jamais visionné Star Wars, shame on me !) je n'ai pas été intéressé par ce texte.
Toutefois, je reconnais que l'idée est intéressante. Cet Androïde rouillé, qui, dépourvu de ses logiciels, n'est plus qu'assimilable à un amas " métallique et poussiéreux ". Mais, contrairement à l'homme, une machine peut être remise en fonction... L'allusion à Guernica m'a surpris dans le contexte. |
papipoete
20/5/2018
a aimé ce texte
Pas
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bonjour Fatysky
en anglais, votre pseudo sonne agréablement ; bref, revenons à nos moutons, ou plus exactement à cet androïde ! Il parle à sa tête électronique, à son coeur atomique, et gémit face à son sexe grippé par la rouille ; en fait, il réfléchit et se lamente comme un humain jamais content ! Un robot maintenant ne pense pas, il obéit sans jamais rechigner ; un jour peut-être, quand le lien social ne sera qu'un lointain souvenir, dont on déchiffrera sur des disques durs préhistoriques l'explication , le robot sourira, fera la causette, pleurera ou râlera mais l'homme ne sera plus ! A part cela, votre poésie ne m'a pas emballé ; le langage n'y est pas étranger ; mais après tout, ce n'est pas Vous qui parlez ! |
BlaseSaintLuc
20/5/2018
a aimé ce texte
Bien
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Le concept d'androïde ne peut être dissocié de l'anthropomorphisme. C'est-à-dire la projection de l'image de l'être humain sur un objet réel ou imaginaire.
Donc je m'en tiens à la transposition d'un état d'âme (celui de l'auteur) dans le métal rouillé d'un androïde, le poème quoique convenu, à un petit coté SF qui me plait(je suis fan.) |
Anonyme
22/5/2018
a aimé ce texte
Vraiment pas ↑
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Le titre "Les lamentations d'un androïde rouillé" a attisé ma curiosité.
Ma lecture ne concrétisera pas ma démarche favorablement, et bien mal m'en a pris, le texte n'est en rien comparable à mon attente. Il manque totalement d'originalité, par un langage bien trop proche de l'être humain et qui n'avait nul besoin de ce prétexte pour s'exprimer ainsi. Ce n'est que banalité sans attrait. Idée en soi est intéressante mais vous n'avez en aucun cas su la mener, de telle façon que celle-ci engendre une lecture étrange et passionnante. |