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Marite
4/1/2014
a aimé ce texte
Un peu
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Le thème est intéressant mais j'ai noté plusieurs irrégularités de rythme qui nuisent à la fluidité de l'expression.
" ... Non de sable ni de terre, mais d’idées et de mots." Pourquoi pas : Non de sable et de terre, mais ... , " Une horreur jouissive traverse soudain mes pensées : ... " Pourquoi ne pas supprimer " soudain" : Une horreur jouissive traverse mes pensées ... ? " ... Échapperais-je ainsi à mes relents de détresse ? Exploser mes défenses me semble pourtant effroyable ;... " Je préfèrerais : Échapperais-je ainsi aux relents de détresse ? Exploser mes défenses m'apparaît effroyable ; Ainsi ces deux vers s'insèreraient en rythme entre le premier et le dernier vers de cette strophe. En fait je pense qu'en retravaillant un peu ce poème l'ensemble porterait plus harmonieusement le message. |
Robot
4/1/2014
a aimé ce texte
Bien ↓
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Le thème est bien exploité mais la forme pêche par des vers pas toujours bien construits et qui parfois s'embarrassent de mots béquilles qui n'ont pas d'utilité comme: qui - soudain - en fait - ainsi - et viennent alourdir l'ensemble.
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Miguel
4/1/2014
a aimé ce texte
Bien ↑
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J'aime le thème et le ton de ce poème, ses images, ses rythmes. Les irrégularités de prosodie ne me gênent pas, elles donnent au texte (qui ne se revendique pas comme classique) son propre tempo. Il est vrai que quelques remarques des autres commentateurs (celle sur "soudain" notamment) ne sont pas inopportunes, mais il y a dans cette réflexion quelque chose de naïf et profond à la fois, une simplicité de l'expression qui traduit fort bien une pensée élaborée, quelque chose de démuni, très révélateur de la détresse humaine, et qui va au coeur.
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senglar
4/1/2014
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour Ffooffoo,
La peur de se confronter au monde, le repli sur soi, beaucoup ont vécu ça ou le vivent encore. Ce poème décrit très bien ce sentiment et cette attitude avec ses craintes et ses interrogations, par rapport au monde, par rapport à soi. Et puis c'est tellement sécurisant avec de grands auteurs comme autant de fenêtres sur soi, sur cour aussi ;-) comme en témoigne le style très classique de cette poésie. Contemporain ? Mon oeil ! (lol) Reste à cette âme apeurée de se risquer en libre ou en Dada. Pour sûr elle sortira de sa tour d'ivoire :) Lâchez les patins à roulettes pour la planche à patins :))) Brabant |
Anonyme
1/12/2016
a aimé ce texte
Bien ↑
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Belle écriture, je viens de vous lire et de relire, votre poème est bien scander.
Nous sommes toujours en quête de réponses que nous suggèrent nos interrogations intérieures. Nous subissons bon nombre de nos turpides fâcheuses à vouloir vaincre absolument nos doutes. Il faut apprendre à briser les carcans qui nous enferment sans demi-mesure. Plus l'on s'isole plus on est isolé. Et si l'on se faisait confiance un peu plus, par un certain laisser-aller qui allègerait bien le fardeau que nous imposons. C'est un poème aux propos conséquents, subtils. |