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Anonyme
1/5/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Un texte qui après plusieurs lectures reste assez hermétique.
Il nous rappelle notre nature animale, et toutes les images bouchères me font frémir. La brièveté de la vie qui s'écaille jour après jour. Mais des images et des choix de mots m'échappent complètement J'avoue ne pas comprendre: -le retour à la ligne pour "d'aventure". - la syntaxe de la cinquième strophe n'est pas facile à décoder ni à déclamer. -pour quoi boucher "chevalin"? A la fin, tu fais allusion à la naissance de Vénus? |
Anonyme
1/5/2009
a aimé ce texte
Pas
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Sans doute suis-je mal réveillé, mais après moult lectures, je n'ai toujours rien compris.
Et si l'auteur l'avait fait exprès ? |
FIACRE
1/5/2009
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Ces quelques mots pour rendre le vivant difficile, une sorte de survie permanente coincée comme ces bouts de viande entre les dents. Egalement l'amour impossible à être.
Ce sont des instantanés immédiats. |
Anonyme
1/5/2009
a aimé ce texte
Bien
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Sans prétendre avoir tout saisi, j'ai aimé lire ce texte.
Quelques effluves de boucherie, équarrisseur du veau d'or! Je prefère le début aux derniers vers toutefois. Poème certes hermétique mais sympatoche. |
nico84
1/5/2009
a aimé ce texte
Un peu
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Comme notrac, le début m'a davantage plu, j'ai même cri que tu parlais du coprs aprés la mort qui se transforme en bonne viande pour certains animaux !!
Aprés, le reste, j'aime pas trop ... |
Anonyme
2/5/2009
a aimé ce texte
Bien
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Je ne sais pas si je suis mal réveillé, mais après trois lectures je ne comprends toujours pas bin le texte.
Une opposition entre la mort et l'amour? Je ne sais pas trop. mais il reste le plaisir de lire un texte bien écrit avec des images agréables ou ingénieuses. |
Anonyme
3/5/2009
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Désolée... je m'y suis reprise à plusieurs fois, mais je n'ai pas réussi à saisir ton intention et ton propos.
J'aurais bien aimé pourtant, parce que je déteste ne pas comprendre ce que je lis, et que je me sens à chaque fois un peu coupable de ne pas saisir ce qu'un auteur a pris la peine d'écrire... Mais ici, je ne suis pas sensible à la forme, qui me déconcerte même quelque peu, et le fond m'est inaccessible. Je n'évaluerai pas, je m'en sens incapable. |
David
3/5/2009
a aimé ce texte
Bien
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Bonjour FIACRE,
Ce n'est pas à prendre au pied de la lettre alors, se lit comme un verre de liqueur, pas trop identifiée la liqueur, mais pas désagréable, repasserai ! |
Marquisard
4/5/2009
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je ne pense pas avoir tout saisi, mais le texte m'a entrainé assez loin, de la boucherie du coin de la rue au métro parisien en passant par le londres du dix huitième siècle... petit voyage opportun, le pied.
les trois dernières strophes en revanche, pas fan. au plaisir |
Anonyme
2/12/2016
a aimé ce texte
Pas
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Vous avez il me semble une écriture bien personnelle (c'est un compliment), sans doute un peu trop. Il faut vous suivre dans vos propos très hermétiques, trop peu pour moi.
J'aime à lire un poème plus ouvert, plus accessible, qui me permette d'une certaine manière, d'avoir un échange. Là, ce n'est pas le cas, donc je ne m'attarde pas davantage. La forme signe votre marque de fabrique, mais elle n'est pas déplaisante, j'aurais aimé un fond plus perceptible. |