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nico84
11/12/2007
a aimé ce texte
Beaucoup ↑
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J'ai adoré, voila !
Tu transcris bien la peur du premier enfant de voir l'amour s'en aller (en même temps que la mer dans son dessin) par l'apparition d'un "petit frére". Il faut savoir le rassurer et même si c'est compliqué parfois lui donner autant d'amour et lui donner un rôle nouveau de "grand frére". L'écriture est naturelle et à la fin tout s'éclaircit, bonne forme, trés bon fond, je te félicite. |
clementine
23/1/2008
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C'est un joli tableau que tu as peint.
Un vrai portrait de famille et les sentiments sont bien exprimés. L'anxiété ressentie par le premier né, à l'annonce de la venue d'un prochain bébé est perceptible et la mère qui déploie tout son amour pour le rassurer est touchante. |
Anonyme
17/1/2008
a aimé ce texte
Beaucoup ↓
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Très joli l'amour d'une maman... L'avant dernière strophe superbe. Peut-être un poil de sentimentalisme mais là c'est vraiment pour faire mon intéressant... Car j'ai beaucoup aimé.
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jensairien
22/1/2008
a aimé ce texte
Bien ↑
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ah oui alors un beau poème, très touchant qui se déroule naturellement et subtilement. Je trouve comme Notrac l'avant dernière strophe bien sonnée !
un joli exercice dans le style "dites en le plus possible avec le moins de mots possibles" |
widjet
22/1/2009
a aimé ce texte
Un peu ↑
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Jusqu'au dernier moment j'ai eu peur...puis "ouf" cette avant dernière strophe, bien senti qui tire le texte vers le haut et donne finalement un cachet assez touchant à cet amour maternelle.
Widjet |
Anonyme
29/11/2016
a aimé ce texte
Passionnément ↑
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Vous avez une écriture très agréable, par son côté fluide, je dirais que vote poésie est abordable, dans prendre la tête, elle est simple, élégante par la sincérité de ses propos. Mais vous ne faites pas pour autant dans le mélo-dramatique.
J'ai vraiment pris un très très grand plaisir à lire et à relire votre écrit, il est si éloquent, si significatif de ce qu'est la peur ressenti de l'enfant lorsque vient un "autre". " Mon tout petit, mon cœur, Oublie l'arithmétique. Qui t'as dit que l'amour Etait mathématique ? On peut le partager Mais pas le diviser. Et quel que soit le nombre, Il reste toujours entier. Cette strophe est puissante, en moi, elle résonne, je peux aisément comprendre cette incertitude, car il n'en est pas toujours ainsi, "l'amour parfois se divise et pire encore se soustrait". Vous avez su étayer tout au long de ce texte vos propos, avec beaucoup d’authenticité et de pertinence. |